Partie,  Chap.

 1     1,    III|                   Chère Yvonne ! je sens votre bras trembler sous
 2     1,    III|             Non, Jahoua, mais je me sens faible.~ ~ ~– Voulez-vous
 3     1,    VII|            longtemps sur ce ton, je sens que la colère me dominerait
 4     1,   VIII|              Je ne comprends pas le sens de vos paroles, je le répète,
 5     1,      X|            mon excellent ami, je me sens maintenant tout à fait disposé
 6     1,     XI|             deux, et, l’écartant en sens inverse, il entreprit de
 7     1,   XIII|           avec avidité.~ ~ ~– Je me sens mieux, dit-il, remettons-nous
 8     1,   XIII|        murmura Jocelyn.~ ~ ~– Je me sens mourir, répondit faiblement
 9     1,   XIII|            reprit le marquis, je me sens mourir, je le sens ! Envoie
10     1,   XIII|            je me sens mourir, je le sens ! Envoie chercher un prêtre…~ ~ ~–
11     1,    XVI|             eût marché dans le même sens que nous, pourquoi penser
12     1,     XX|            campagnes, tiraillées en sens contraire, penchaient ouvertement
13     2,      I|                     C’est que je me sens un véritable appétit de
14     2,    III|          Celui-ci était un homme de sens droit et profond. Il conseilla
15     2,     IV|      toujours. Lorsqu’il reprit ses sens, il se trouvait au milieu
16     2,     VI| cabalistiques, pas de mots à double sens ! Que je lise et que je
17     2,     VI|     découvrir une source, car je me sens la gorge aride et brûlante
18     2,     IX|            des plus délicats. Je me sens en disposition de fêter
19     2,    XII|             ses lèvres.~ ~ ~– Je me sens mieux ! fit Raphaël en s’
20     2,    XII|          perception mystérieuse des sens qui résulte en général de