Partie,  Chap.

 1     1,    VII|           Marcof, vous avez été à Paris dernièrement.~ ~ ~– Oui,
 2     1,    VII|               Quoi ! le peuple de Paris oublierait à ce point ses
 3     1,    VII|          a montré deux lettres de Paris, trois de Londres, deux
 4     1,   VIII|          de Fougueray, qui habite Paris sous un nom d’emprunt, suivant
 5     1,     IX|     amours.~ ~ ~– Nous quitterons Paris, j’imagine ?~ ~ ~– Sans
 6     1,     IX|          crois aisément. Quittons Paris, d’accord, on ne saurait
 7     1,     IX|        Lille qu’au centre même de Paris. Mon bon chevalier, nous
 8     1,      X|          frappons un grand coup à Paris, il est urgent que dans
 9     1,      X|       assez disposé à l’emmener à Paris avec moi.~ ~ ~– Vous voulez
10     1,    XIV|      vieillard.~ ~ ~– Il y a qu’à Paris on s’est battu, on a pendu
11     1,     XX| vingt-neuf curés des paroisses de Paris refusent d’accepter la constitution.
12     1,     XX|   caricature, colportée dans tout Paris, représente un prêtre en
13     2,      I|        les lettres de ses amis de Paris, et toutes étant de chauds
14     2,     IV|           avec fracas la route de Paris. Il avait compris que Brest
15     2,      X|          amour, vous me suivrez à Paris. Jusque-là, vous commanderez
16     2,      X|          joyaux. Puis, une fois à Paris, ce seront des fêtes, des
17     2,   XIII|         recevais si fréquemment à Paris ? fit Diégo avec un sourire.~ ~ ~–
18     2,    XIX|                  Des nouvelles de Paris ? demanda Marcof.~ ~ ~–
19     2,    XIX|          propre cause ? Il quitte Paris, il quitte la France peut-être ?~ ~ ~–
20     2,    XIX|           de Lafayette, envoyé de Paris en toute diligence.~ ~ ~–