Partie,  Chap.

 1     1,      I|          hurla Marcof d’une voix tellement impérieuse que ses hommes
 2     1,      I|           filait sur les vagues, tellement penché à tribord que ses
 3     1,    VII|    mépris pour cette femme était tellement profond, que ma main dédaigna
 4     1,     XI|      rôle de sorcier, il s’était tellement identifié avec son personnage
 5     1,    XIV|              Les paysans étaient tellement loin de s’attendre à une
 6     1,  XVIII|         cartes marines. Il était tellement absorbé par son travail
 7     1,    XIX|         répéta Keinec d’une voix tellement impérative que Carfor se
 8     1,     XX| Cependant cette opposition était tellement évidente, que le brigadier
 9     2,    VII|     Alors le marin poussa un cri tellement puissant que les brigands
10     2,    VII|         cette seconde partie est tellement liée à mon existence, continua
11     2,   VIII|          pas. Mes souvenirs sont tellement confus, et j’étais si jeune
12     2,   VIII|       qui est d’une ressemblance tellement admirable que, lorsque je
13     2,     XI|          nous l’avons dit, était tellement profonde que la jeune fille
14     2,    XII|           La mort du marquis est tellement récente, continua Hermosa,
15     2,   XIII|      lorsque son cheval s’arrêta tellement court que le cavalier faillit
16     2,    XIV|    prévoir. La coïncidence était tellement grande, que Marcof et Jahoua
17     2,    XIV|         écria Marcof d’un accent tellement impératif, que le jeune
18     2,    XVI|                La douleur devint tellement vive que Carfor ne put étouffer