Partie,  Chap.

 1     1,     II| navires d’un médiocre tirant d’eau. Cette crique, refuge momentané
 2     1,     II|   autre chose que le ciel et l’eau. À peine la masse des nuages,
 3     1,     II|        vigoureux, ruisselant d’eau de toute part, ne daigna
 4     1,      V|     cuivre qu’ils emplissent d’eau et de morceaux de fer ;
 5     1,     XI|    dans sa bouche une gorgée d’eau de mer, et il insuffla cette
 6     1,     XI|      mer, et il insuffla cette eau dans les oreilles de la
 7     1,    XII|      clergé, pour lui offrir l’eau bénite. Le marquis la reçut
 8     1,   XIII|      un vase de terre rempli d’eau fraîche. Le marquis n’était
 9     2,    III|     ambition nageait en pleine eau ; puis, au réveil, la réalité
10     2,     IV|      son misaine et une voie d’eau se déclara dans sa cale.
11     2,     IV|       à alléger le navire de l’eau qui montait de minute en
12     2,      V|       se lava les mains dans l’eau pure de la source, reprit
13     2,     VI|        l’émeraude, coulait une eau fraîche et limpide sautillant
14     2,     IX|  baignait les tempes avec de l’eau fraîche. Mais qu’il y avait
15     2,     XI|    rencontraient des flaques d’eau bourbeuse creusées par les
16     2,    XIV|     jaillir une seule goutte d’eau et sans provoquer le moindre
17     2,    XVI|               Va chercher de l’eau, Keinec, continua froidement
18     2,  XVIII|      apportant un vase plein d’eau fraîche qu’il approcha de