Partie,  Chap.

 1     1,      I|       peine aux clochers de la côte voisine, et la nuit semblait
 2     1,      I|        poussait le navire à la côte avec une effroyable rapidité.~ ~ ~–
 3     1,     II|      déferlait rudement sur la côte, on entendait des clameurs
 4     1,     II|    pour pousser le lougre à la côte. En virant de bord, il s’
 5     1,     II| répondit Marcof. Tu connais la côte. Prends la barre, gouverne
 6     1,     II|     Dès que les pêcheurs de la côte eurent halé le lougre vers
 7     1,     IX| carabine. Arrivés au bas de la côte, ils frappèrent à la porte
 8     1,    XII|       belles complaintes de la côte. La nouvelle Ève écoute
 9     1,  XVIII|        heure où j’ai quitté la côte, les prières étaient commencées,
10     1,  XXIII|        Et sur quel point de la côte semblaient-ils mettre le
11     1,  XXIII|           Sur quel point de la côte mettons-nous le cap ? demanda
12     1,  XXIII|     seul qui se trouvât sur la côte. Puis ils allèrent à la
13     1,  XXIII|   coururent une bordée vers la côte. Le vent les poussait rapidement.
14     2,     IV|     Cornic essaya de gagner la côte. Ce fut en vain. Les pompes
15     2,     XI|       est pêcheur et habite la côte voisine, près d’Audierne.
16     2,    XIV|       à quelques brasses de la côte, Marcof avait ordonné de
17     2,    XIV|        des récifs, longeait la côte pour tenir son embarcation
18     2,    XIV|    Aussi Marcof quitta-t-il la côte qui, en la suivant, aurait