Partie,  Chap.

 1     1,      I|     elle a le pied et le cœur marins, et qu’elle serait capable
 2     1,      I|  régler entre toi et tous les marins de Penmarkh, moi en tête !
 3     1,      I|      infernale tourmente, les marins, stupéfaits, demeurèrent
 4     1,     II|   voir s’y aventurer d’autres marins que ceux qui sont originaires
 5     1,     II|      épouvante dans l’âme des marins et des pêcheurs, était une
 6     1,     II|      Keinec ! s’écrièrent les marins.~ ~ ~– Keinec ! fit vivement
 7     1,    III|      n’y était plus. Quelques marins, étendus çà et là, sommeillaient
 8     1,  XVIII|     Keinec.~ ~ ~ ~Et les deux marins échangèrent une amicale
 9     1,   XXII|    des paysans. C’étaient les marins du Jean-Louis, commandés
10     2,    III|     auxquels sont exposés les marins. À dix ans, il était le
11     2,    III|        Comme presque tous les marins, il craignait peu la mort,
12     2,    III|  officiers dénicheurs de bons marins, et les armateurs eux-mêmes
13     2,     IV|       gentilshommes français, marins comme lui. Puis il les ramena
14     2,     IV|      coulait bas aux yeux des marins français qui dansaient joyeusement
15     2,     IV| exception de Marcof, tous les marins périrent. Seul il parvint
16     2,   XIII|   écoulées, et que les autres marins seraient à bord dans ce
17     2,  XVIII|     moins agiles que les deux marins. Marcof et Keinec furent
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