Partie,  Chap.

 1     1,    VII|      pour établir correctement l’affaire que nous allons avoir l’
 2     1,   VIII|      trop d’intérêt à étouffer l’affaire pour que l’on essayât de
 3     1,     IX|          homme auquel nous avons affaire.~ ~ ~ ~En effet, debout
 4     1,    XII|     mieux que de se charger de l’affaire, et, sans retard, il s’était
 5     1,    XIV|     domaines ? À qui aurons-nous affaire ? Peut-être à quelque beau
 6     1,    XIV|     pensée, il ignore à qui il a affaire ? Le médecin est-il parti ?~ ~ ~–
 7     1,     XV|          n’oseriez évoquer cette affaire ! répondit Jocelyn.~ ~ ~–
 8     1,    XIX|        bien ! mon gars, j’ai ton affaire.~ ~ ~– Je ne comprends pas.~ ~ ~–
 9     1,    XIX|          masses, et c’est là ton affaire, on arrivera facilement
10     1,     XX|            mais ce n’est pas mon affaire, vous vous arrangerez avec
11     2,      I|   opinion est arrêtée : mauvaise affaire, cher ami, mauvaise affaire ;
12     2,      I|      affaire, cher ami, mauvaise affaire ; c’est une centaine de
13     2,    III| décidément, c’est à toi que j’ai affaire, dit le gentilhomme en attachant
14     2,      V|      demain !~ ~ ~– Ceci est mon affaire.~ ~ ~– Songe donc…~ ~ ~–
15     2,   XIII|        si tu emploies dans cette affaire tout le génie d’intrigue
16     2,     XV|     parler ?~ ~ ~– J’en fais mon affaire, répondit Marcof. Va retrouver
17     2,    XXI|     Marcof appela, croyant avoir affaire à l’un de ses compagnons