Partie,  Chap.

 1     1,    III|           proportionnée.~ ~ ~– Voici douze balles de calibre, dit Marcof,
 2     1,    VII|             reverrai-je ?~ ~ ~– Dans douze jours ; le temps d’aller
 3     1,   VIII|     exception d’une rente viagère de douze mille livres que vous vous
 4     1,     IX|               ce lougre ?~ ~ ~– Dans douze jours si la mer est bonne.~ ~ ~–
 5     1,    XVI|              ne reviendrait que dans douze jours au plus tôt.~ ~ ~–
 6     1,     XX|          colère.~ ~ ~ ~Il y avait là douze soldats en présence de près
 7     2,    III|          alors en 1765. Marcof avait douze ans à peine. Il trouva un
 8     2,     IV|     entre-pont vingt jolis canons de douze. Le brick, une fois lancé
 9     2,      V|         régulières du roi de Naples. Douze heures se passaient rarement
10     2,    VII|            vers 1780, il y a bientôt douze années, chère Julie, et
11     2,   VIII|           devait, m’a-t-il dit, être douze jours absents. Or, en voici
12     2,      X|             ai fait la nuit dernière douze lieues à franc étrier et
13     2,   XVII|                je prendrai avec nous douze hommes, et alors nous gagnerons
14     2,   XVII| admirablement la mer, et enlevée par douze avirons habilement maniés,
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