Partie,  Chap.

 1     1,    VII|    bien que nous, se nomme Marie-Augustine. Il est inutile, je le pense,
 2     1,    VII| vous demandâtes la main de Marie-Augustine, et qu’enfin, d’heureux
 3     1,    VII|    coquette qu’elle était, Marie-Augustine se prit à vous rire au nez
 4     1,    VII|   château de vos ancêtres. Marie-Augustine pleura, pria, supplia. Vous
 5     1,    VII|    celle du fruit défenduMarie-Augustine se voyant en prison, ne
 6     1,    VII|   Le baron tira son épée ; Marie-Augustine s’évanouit. Ils ne vous
 7     1,   VIII|  son singulier beau-frère. Marie-Augustine était là couchée sur ce
 8     1,   VIII|  Alors, désignant du geste Marie-Augustine, que l’incertitude et l’
 9     1,   VIII|  après, ajouta le marquis, Marie-Augustine partait avec son amant.~ ~ ~–
10     1,   VIII| séparation violente d’avec Marie-Augustine de Fougueray, vous devîntes
11     1,   VIII|   avez deux femmes. L’une, Marie-Augustine de Fougueray, qui habite
12     1,   VIII| issu de votre mariage avec Marie-Augustine. Lui transmettre votre nom
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