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Partie, Chap.
1 1, I| Va ! je réponds de tout. Marcof n’a jamais culé devant la 2 1, I| breton.~ ~ ~– Dame ! monsieur Marcof, répondit la jeune fille, 3 1, I| Ah çà ! mon gars, fit Marcof en souriant, il paraît que 4 1, I| pourquoi souffrirais-je, Marcof, quand Yvonne ne souffre 5 1, I| pas, ma fille ? continua Marcof en se retournant vers Yvonne.~ ~ ~– 6 1, I| vent dedans, c’est…~ ~ ~ ~Marcof s’arrêta brusquement, comme 7 1, I| Tonnerre ! s’écria Marcof après un moment de silence, 8 1, I| laissa tomber à genoux. Marcof saisit lui-même la barre 9 1, I| chacun à son poste ! hurla Marcof d’une voix tellement impérieuse 10 1, I| Yvonne, reprit plus doucement Marcof en s’adressant à la jeune 11 1, I| Et pourquoi cela, Marcof ?~ ~ ~– Parce que le temps 12 1, I| attendant, ma fille, reprit Marcof, va me chercher ce bout 13 1, I| S’il y a du danger, Marcof, laissez-moi et sauvez-vous !… 14 1, I| approche, murmura vivement Marcof à voix basse. Silence tous 15 1, I| effroyable rapidité.~ ~ ~– Marcof ! dit le vieux Bervic en 16 1, I| Silence… s’écria durement Marcof ; à ton poste ! Prends ta 17 1, II| par une main vigoureuse. Marcof, toujours attaché à Yvonne, 18 1, II| Impossible ! fit Marcof, nous n’avons pas doublé 19 1, II| Tonnerre ! rugit Marcof en frappant du pied avec 20 1, II| Ne blasphémez pas, Marcof ! s’écria vivement Yvonne. 21 1, II| récifs que la baie.~ ~ ~– Marcof ! entendez-vous ? fit tout 22 1, II| demandent des prières !…~ ~ ~Marcof, lui aussi, avait sans doute 23 1, II| prières aux siennes.~ ~ ~ ~Marcof s’était élancé dans la mâture. 24 1, II| nous perdront ! murmura Marcof. Le Jean-Louis a doublé 25 1, II| direction prise par son lougre, Marcof ne put retenir un mouvement 26 1, II| sinistre sur les vagues.~ ~ ~ ~Marcof avait fait carguer ses huniers, 27 1, II| Jette le loch ! ordonna Marcof en s’adressant à Bervic.~ ~ ~ ~ 28 1, II| minutes ! murmura froidement Marcof. Tu entends, Yvonne ? Prie, 29 1, II| grommela Bervic à l’oreille de Marcof.~ ~ ~– Homme ou démon, fais-lui 30 1, II| Keinec ! fit vivement Marcof avec un brusque mouvement 31 1, II| promis. Il se dirigea vers Marcof et il lui tendit la main.~ ~ ~– 32 1, II| qui t’envoie ! répondit Marcof. Tu connais la côte. Prends 33 1, II| qu’il avait échangés avec Marcof. Soit hasard, soit intention 34 1, II| terre, Bervic s’approcha de Marcof, et se penchant vers lui :~ ~ ~– 35 1, II| basse.~ ~ ~– Non ! répondit Marcof.~ ~ ~– Eh bien, regardez-y ! 36 1, II| Pauvre Yvonne ! murmura Marcof.~ ~ ~ ~Il ne put achever 37 1, II| lorsque la main puissante de Marcof s’appesantit sur son épaule. 38 1, II| la chambre du commandant, Marcof entra le premier. Keinec 39 1, II| gui-arden (Eau-de-vie) ? demanda Marcof en s’asseyant.~ ~ ~ ~Keinec, 40 1, II| Keinec ! dit lentement Marcof, je vais te donner ce que 41 1, II| du pied avec impatience. Marcof ouvrit la caisse.~ ~ ~ ~ 42 1, III| III~ ~ KEINEC.~ ~ ~ ~Marcof, reculant de quelques pas, 43 1, III| douze balles de calibre, dit Marcof, et un moule pour en fondre 44 1, III| toi, Keinec ?~ ~ ~– Si. Marcof. Pardonne-moi et soyons 45 1, III| jaloux !…~ ~– Tais-toi, Marcof, tais-toi !… murmura Keinec.~ ~ ~– 46 1, III| C’est un malheur, Marcof, mais il faut qu’Yvonne 47 1, III| sombre et résolue.~ ~ ~ ~Marcof se leva et fit quelques 48 1, III| Tue-moi donc ! tue-moi, Marcof ! au moins je ne souffrirai 49 1, III| ne souffrirai plus.~ ~ ~ ~Marcof, ému par l’accent déchirant 50 1, III| mouvement, serra les mains de Marcof, leva ses yeux vers le ciel, 51 1, III| Il va la tuer ! s’écria Marcof en brisant d’un coup de 52 1, III| trouvait à sa portée.~ ~ ~ ~Marcof sortit de sa cabine, poussa 53 1, III| Jean-Louis et la terre ferme. Marcof se dirigea de ce côté. Au 54 1, III| disparut dans les ténèbres. Marcof réveilla Bervic, lui donna 55 1, V| Heureusement que Marcof est un bon marin ! reprit 56 1, V| trouvé un engagement avec Marcof. Nous allons courir le monde 57 1, V| nouvelles. Au bout de ce temps Marcof revint ; mais il était seul. 58 1, V| que ce que nous avait dit Marcof. Yvonne et moi nous l’avions 59 1, V| la main.~ ~ ~– C’est toi, Marcof ! dit-il. Pourquoi n’entres-tu 60 1, V| Qu’avez-vous à nous dire, Marcof ? fit le recteur dès que 61 1, V| moi qui vous le dis !…~ ~ ~Marcof n’osa pas exprimer toute 62 1, VI| poitrine.~ ~ ~– Êtes-vous fou, Marcof ? dit-il.~ ~ ~– Non, monseigneur, 63 1, VI| monseigneur !~ ~ ~– Eh ! mon cher Marcof, qui donc mieux que vous 64 1, VI| de votre affection !…~ ~ ~Marcof porta vivement la main à 65 1, VI| Frère, embrasse-moi.~ ~ ~ ~Marcof lança autour de lui un coup 66 1, VII| SECRET DE FAMILLE.~ ~ ~ ~Marcof fut le premier qui parvint 67 1, VII| marquis de Loc-Ronan et Marcof le Malouin !~ ~ ~– Encore !~ ~ ~– 68 1, VII| sérieuses.~ ~ ~– Mon cher Marcof, reprit le marquis après 69 1, VII| indifférence apparente ; mon cher Marcof, vous avez été à Paris dernièrement.~ ~ ~– 70 1, VII| enfin brusquement devant Marcof, et lui prenant la main :~ ~ ~– 71 1, VII| bibliothèque ?~ ~ ~– Oui, répondit Marcof, je le vois.~ ~ ~– En dérangeant 72 1, VII| monseigneur, je me retire, reprit Marcof à voix haute.~ ~ ~– Quand 73 1, VII| pareille heure ? s’écria Marcof.~ ~ ~– Des voyageurs égarés 74 1, VII| pénétra dans la petite pièce. Marcof tenait respectueusement 75 1, VII| retournant vivement vers Marcof, le marquis ajouta :~ ~ ~– 76 1, VII| Qu’as-tu donc ? demanda Marcof en remarquant la subite 77 1, VII| élança vivement au dehors. Marcof, demeuré seul, resta quelques 78 1, VIII| nous venger le feront sur Marcof le Malouin.~ ~ ~– Qu’avez-vous 79 1, VIII| portrait de vieillard que Marcof avait embrassé en partant 80 1, IX| veille au soir, au lougre de Marcof. Le soleil s’élevant rapidement 81 1, IX| était dans cette crique que Marcof avait jeté l’ancre hier 82 1, IX| à la voile ce matin, ce Marcof enragé ?~ ~ ~– Probablement.~ ~ ~– 83 1, IX| mieux.~ ~ ~– Sans doute. Marcof est difficile à intimider, 84 1, IX| fait dire que le départ de Marcof nous sert, c’est que, tu 85 1, IX| avaient voulu aller remercier Marcof, et n’avaient quitté Penmarckh 86 1, IX| appelle le patron ?~ ~ ~– Marcof le Malouin, monseigneur.~ ~ ~– 87 1, X| entre les deux marquis est Marcof.~ ~ ~– Oui ; mais Marcof 88 1, X| Marcof.~ ~ ~– Oui ; mais Marcof n’est pas facile à exploiter…~ ~ ~– 89 1, XVI| ce n’est pas le lougre de Marcof.~ ~ ~– Le lougre de Marcof ! 90 1, XVI| Marcof.~ ~ ~– Le lougre de Marcof ! répéta Raphaël.~ ~ ~– 91 1, XVI| à peine, nous a dit que Marcof était allé à Paimbœuf et 92 1, XVI| Jean-Louis, j’en réponds !…~ ~– Marcof n’est peut-être pas à bord.~ ~ ~– 93 1, XVI| patron.~ ~ ~– Alors si c’est Marcof, Diégo, raison de plus pour 94 1, XVI| mort soient ses éléments. Marcof, sans armes, attaquerait 95 1, XVIII| XVII~ ~ MARCOF.~ ~ ~ ~Le comte de Fougueray 96 1, XVIII| était bien le lougre de Marcof qu’il avait aperçu au loin 97 1, XVIII| alla droit à la chambre de Marcof dont la porte était ouverte. 98 1, XVIII| pas Keinec entrer.~ ~ ~– Marcof ! fit le jeune homme après 99 1, XVIII| Keinec ! s’écria Marcof en relevant la tête, et 100 1, XVIII| nouvelles pour nous, reprit Marcof.~ ~ ~– Et moi de mauvaises 101 1, XVIII| marquis de Loc-Ronan ! s’écria Marcof. Sans doute ! je l’aime 102 1, XVIII| courage, dis-tu ?~ ~ ~– Oui, Marcof, il t’en faut !~ ~ ~– Mais 103 1, XVIII| Non, dans son lit.~ ~ ~ ~Marcof demeura immobile. Sa physionomie 104 1, XVIII| religieux silence. Enfin Marcof releva lentement la tête. 105 1, XVIII| De sorte, continua Marcof, que c’est hier matin que 106 1, XVIII| souffrir un homme ! continua Marcof, dont les larmes débordèrent 107 1, XVIII| peut-être, de voir pleurer Marcof, Marcof le cœur d’acier, 108 1, XVIII| de voir pleurer Marcof, Marcof le cœur d’acier, comme l’ 109 1, XVIII| profondément ému lui-même. Marcof se calma peu à peu.~ ~ ~– 110 1, XVIII| m’es fidèle ?~ ~ ~– Oui, Marcof, fidèle et dévoué !…~ ~– 111 1, XVIII| passe.~ ~ ~ ~Keinec obéit et Marcof demeura seul. Alors face 112 1, XVIII| corps brisé, l’âme torturée, Marcof se jeta sur son hamac.~ ~ ~ ~ 113 1, XVIII| nature !… Jusqu’à la nuit Marcof ne bougea plus. Deux fois 114 1, XVIII| stupéfaits de ne pas avoir vu Marcof présider au mouillage, s’ 115 1, XVIII| homme voulait qu’on laissât Marcof libre dans sa douleur.~ ~ ~ ~ 116 1, XVIII| Vers huit heures du soir, Marcof se jeta à bas de son hamac. 117 1, XVIII| la demeure seigneuriale, Marcof continua sa route, longea 118 1, XVIII| espace d’une centaine de pas, Marcof s’arrêta devant une porte 119 1, XVIII| Tous deux entrèrent. Marcof, en homme qui connaît parfaitement 120 1, XVIII| bâtiment principal.~ ~ ~ ~Marcof se dirigea vers l’angle 121 1, XVIII| frappa au visage.~ ~ ~ ~Marcof tira un briquet de sa ceinture, 122 1, XVIII| Où sommes-nous donc, Marcof ? demanda Keinec à voix 123 1, XVIII| Keinec se signa. Marcof avançait toujours. Après 124 1, XVIII| par la torche que tenait Marcof, on pouvait apercevoir une 125 1, XVIII| Ramasse la torche, dit Marcof d’une voix parfaitement 126 1, XVIII| épars autour de ce tombeau. Marcof, avant de s’en approcher, 127 1, XVIII| Que veux-tu donc faire, Marcof ?~ ~ ~– Enlever cette pierre, 128 1, XVIII| Une profanation, Marcof !…~ ~– Non ! je te le jure ! 129 1, XVIII| je veux le faire !…~ ~– Marcof !…~ ~– Ne veux-tu pas me 130 1, XVIII| réflexion, Keinec, interrompit Marcof ; réponds oui ou non. Pars 131 1, XVIII| Je ne te comprends pas, Marcof ; mais, n’importe, dispose 132 1, XVIII| MARQUIS DE LOC-RONAN.~ ~ ~ ~Marcof donna la pioche à Keinec 133 1, XVIII| servit comme d’un levier. Marcof joignit ses efforts aux 134 1, XVIII| Le sépulcre était ouvert. Marcof fit un signe de croix sur 135 1, XVIII| donne-le moi aussi.~ ~ ~ ~Marcof enroula les cordes autour 136 1, XVIII| scellées dans la muraille. Marcof l’attacha solidement, puis 137 1, XVIII| froide et inébranlable de Marcof décuplait ses forces. Keinec 138 1, XVIII| redoublèrent d’efforts. Marcof, laissant à son compagnon 139 1, XVIII| amitié qui guidait l’autre !… Marcof voulait revoir les restes 140 1, XVIII| avait perdu. Keinec aidait Marcof dans l’accomplissement de 141 1, XVIII| ce pieux désir, parce que Marcof était son ami.~ ~ ~ ~Encore 142 1, XVIII| être couronné de succès. Marcof voyant la bière maintenue 143 1, XVIII| lourdement à terre.~ ~ ~ ~Marcof poussa un cri de douleur. 144 1, XVIII| autres.~ ~ ~ ~Keinec et Marcof se regardèrent. Ils frémissaient 145 1, XVIII| cela pouvait être ! fit Marcof en s’inclinant, ce serait 146 1, XVIII| serait trop de bonheur.~ ~ ~– Marcof, si tu m’en crois, tu renonceras 147 1, XVIII| Puis, d’une main ferme, Marcof souleva les planches déclouées.~ ~ ~ ~ 148 1, XVIII| blanc leur apparut.~ ~ ~ ~Marcof porta la main sur l’extrémité 149 1, XVIII| son tour. Keinec recula. Marcof écarta le linceul et se 150 1, XVIII| lui.~ ~ ~– Keinec, reprit Marcof, le marquis n’est pas mort.~ ~ ~– 151 1, XVIII| donc, te dis-je !~ ~ ~ ~Et Marcof, arrachant le linceul, découvrit, 152 1, XVIII| pas de miracle ! répondit Marcof. Le marquis a voulu faire 153 1, XVIII| hors du caveau sépulcral, Marcof entraîna Keinec avec lui. 154 1, XVIII| faire jouer un ressort, Marcof s’arrêta.~ ~ ~– Nous ne 155 1, XVIII| témoins !~ ~ ~– Je te le jure, Marcof ! répondit Keinec. Pour 156 1, XVIII| Oui, sans doute ! répondit Marcof avec impatience.~ ~ ~– Impossible.~ ~ ~– 157 1, XVIII| crois que c’est le capitaine Marcof !~ ~ ~– Eh oui ! c’est moi-même ; 158 1, XVIII| peut-il être ? se demandait Marcof en se frappant le front.~ ~ ~– 159 1, XVIII| il se hâta de se retirer. Marcof et Keinec s’éloignèrent. 160 1, XVIII| Arrivés sur les falaises, Marcof s’arrêta, et, saisissant 161 1, XVIII| Je ne le puis pas, Marcof.~ ~ ~– Pourquoi ?~ ~ ~– 162 1, XVIII| Toujours !~ ~ ~ ~Marcof demeura silencieux. Keinec 163 1, XVIII| démentit pas l’assertion de Marcof.~ ~ ~– Sorcier de malheur ! 164 1, XVIII| Keinec demeura impassible. Marcof frappait du pied avec colère.~ ~ ~– 165 1, XVIII| un clin d’œil. Cela fait, Marcof le prit dans ses bras et 166 1, XVIII| voix basse :~ ~ ~– Ah ! Marcof, pirate maudit, tu veux 167 1, XVIII| Pendant ce temps, Marcof pénétrant de nouveau dans 168 1, XVIII| liasse de papiers.~ ~ ~ ~Marcof tira ces papiers à lui, 169 1, XVIII| splendidement la campagne. Marcof reconnut la place ; il la 170 1, XIX| dit-il enfin, tu vois ce que Marcof a tenté contre toi ?~ ~ ~– 171 1, XIX| Ne parlons plus de Marcof, répondit Keinec avec impatience ; 172 1, XIX| Keinec avec impatience ; Marcof est mon ami. Quoi que tu 173 1, XIX| belle voie ! Tu pardonnes à Marcof ; pendant que tu es en train, 174 1, XXII| Jean-Louis, commandés par Marcof. Le patron du lougre était 175 1, XXII| constitution ! répondit Marcof en fendant la tête du sous-lieutenant 176 1, XXII| sanglante, et au moment où Marcof, pressé, entouré par cinq 177 1, XXII| Keinec ! s’écria Marcof en se détournant. Merci, 178 1, XXII| signe qu’ils se rendaient. Marcof arrêta le feu et s’avança 179 1, XXII| agitation la plus vive. Marcof, dans la crainte d’un retour 180 1, XXIII| recherches furent vaines. Marcof revint avec les paysans, 181 1, XXIII| Keinec est ici, interrompit Marcof.~ ~ ~– Il est revenu ? s’ 182 1, XXIII| au moins ! dit vivement Marcof.~ ~ ~– C’est bien simple : 183 1, XXIII| mer. À bord, j’appris que Marcof et ses hommes étaient ici. 184 1, XXIII| intérieurement à mille conjectures. Marcof, surtout, réfléchissait 185 1, XXIII| avoir lieu le lendemain. Marcof se leva, et, frappant du 186 1, XXIII| sauver. Tu entends ce que dit Marcof. Quant à ce qui me concerne, 187 1, XXIII| Touchez-vous la main ! ordonna Marcof.~ ~ ~ ~Les deux jeunes gens 188 1, XXIII| vigoureux tous deux ; aidez Marcof, et Dieu récompensera vos 189 1, XXIII| elle ? demanda vivement Marcof.~ ~ ~ ~Le tailleur fit signe 190 1, XXIII| Tu en es sûr ? dit Marcof avec vivacité.~ ~ ~– Sans 191 1, XXIII| suis sûr ! dit brusquement Marcof. Allons, mes gars, continua-t-il 192 1, XXIII| entendant prononcer ce nom, Marcof tressaillit.~ ~ ~– Carfor 193 1, XXIII| Un quart d’heure après, Marcof, Keinec et Jahoua suivaient 194 1, XXIII| un fusil que l’on arme. Marcof, au lieu de répondre, porta 195 1, XXIII| Qu’est-ce que cela ? fit Marcof en s’arrêtant. Ce cri vient 196 1, XXIII| rocher et s’avança vers lui. Marcof le regarda fixement, puis, 197 1, XXIII| ce que j’avais à te dire, Marcof.~ ~ ~– Adieu, Jean Chouan.~ ~ ~ ~ 198 1, XXIII| remontant vers le village. Marcof revint à ses deux compagnons, 199 1, XXIII| élancèrent à bord du lougre. Marcof leur donna des armes et 200 1, XXIII| des Trépassés, répondit Marcof.~ ~ ~– Nous allons à la 201 1, XXIII| conduit Yvonne, répondit Marcof ; et, par l’âme de mon père, 202 1, XXIII| nageaient avec force pendant que Marcof tenait la barre.~ ~ ~ ~En 203 2, II| Qui donc ?~ ~ ~– Marcof.~ ~ ~– Marcof ?… En effet, 204 2, II| donc ?~ ~ ~– Marcof.~ ~ ~– Marcof ?… En effet, Philippe, jadis 205 2, II| tout jamais ce mystère… Marcof, lui, ce noble cœur, ne 206 2, II| fréquentes de son maître avec Marcof, il n’avait cependant jamais 207 2, II| et ne pouvant prévenir Marcof qui, on le sait, avait pris 208 2, II| demeure à l’heure à laquelle Marcof arrivait à Penmarckh. Le 209 2, II| toujours, et quoi qu’il arrive, Marcof le Malouin comme votre frère ! 210 2, III| un pauvre pêcheur nommé Marcof. Cet homme vivait seul, 211 2, III| Comment te nommes-tu.~ ~ ~– Marcof le Malouin.~ ~ ~– Quel est 212 2, III| nous allons voir.~ ~ ~ ~Marcof était d’une nature violente. 213 2, III| conduit vers lui !…~ ~ ~Marcof attendait.~ ~ ~– Écoute, 214 2, III| et s’éloigna rapidement. Marcof se gratta la tête ; réfléchit 215 2, III| ton fils et s’appellera Marcof.~ ~ ~– C’est bien. Vous 216 2, III| singulière que celle de ce Marcof : l’argent que lui avait 217 2, III| de travailler. Le jeune Marcof voulut intervenir. Le brutal 218 2, III| infligeait à sa triste victime. Marcof le défia.~ ~ ~ ~Ceci se 219 2, III| jeune homme s’avança vers Marcof. Celui-ci ne recula pas ; 220 2, III| courut sus au pauvre enfant. Marcof devint pâle, puis écarlate. 221 2, III| était appuyé sur sa hache. Marcof la lui arracha, et, la brandissant 222 2, III| baptisèrent « matelot. » Marcof était enchanté.~ ~ ~ ~L’ 223 2, III| L’année suivante, Marcof avait onze ans à peine, 224 2, III| cruelle et brutale sentence, Marcof, qui prodiguait ses soins 225 2, III| qu’il croyait son père, Marcof se laissa aller à un profond 226 2, III| de lui son fils adoptif. Marcof accourut en s’efforçant 227 2, III| occupe plus de moi !…~ ~ ~Marcof pleurait sans répondre. 228 2, III| toutes mes forces !… répondit Marcof en embrassant le mourant.~ ~ ~– 229 2, III| Puis il aimait sincèrement Marcof, et il pensait aussi qu’ 230 2, III| entretien, le pêcheur dévoila à Marcof le mystère qui avait entouré 231 2, III| amaigries sur la tête de Marcof. Puis, les yeux fixés vers 232 2, III| question, entre le pêcheur et Marcof, du gentilhomme qui était 233 2, III| rendait son âme à Dieu. Marcof le pleura amèrement. Il 234 2, III| courte inscription. Le soir, Marcof revint dans la cabane, qui 235 2, III| On était alors en 1765. Marcof avait douze ans à peine. 236 2, III| et, de là, à la Virginie. Marcof resta deux ans et demi absent. 237 2, III| Bref, à dix-neuf ans, Marcof le Malouin, car il avait 238 2, III| Jusqu’alors l’existence de Marcof avait été heureuse, sauf, 239 2, IV| comme il était lié avec Marcof, il lui demanda s’il voulait 240 2, IV| embarquer à bord du corsaire. Marcof remercia chaleureusement 241 2, IV| répartition de ces richesses. Marcof emporta deux cent mille 242 2, IV| Ce temps écoulé, Marcof s’aperçut un beau matin 243 2, IV| apprêtait à reprendre la mer. Marcof le suivit de nouveau.~ ~ ~ ~ 244 2, IV| seconde, ayant pour chef Marcof, se jeta dans l’autre.~ ~ ~ ~ 245 2, IV| et s’y réfugier. Celui de Marcof fut moins heureux. Entraîné 246 2, IV| rochers. À l’exception de Marcof, tous les marins périrent. 247 2, IV| dura cet évanouissement ? Marcof l’ignora toujours. Lorsqu’ 248 2, IV| lumière dorée.~ ~ ~ ~Autour de Marcof se tenaient, dans des attitudes 249 2, IV| subissant un transport lointain. Marcof, en ouvrant les yeux, fit 250 2, IV| voici qu’il remue.~ ~ ~ ~Marcof, en effet, se dressait sur 251 2, IV| lieu en patois napolitain. Marcof, en sa qualité de navigateur, 252 2, IV| rien, répondit naïvement Marcof, qui, le corps brisé et 253 2, IV| répondit une troisième fois Marcof, incapable de prononcer 254 2, IV| un air mécontent.~ ~ ~ ~Marcof fit un effort et rassembla 255 2, IV| vous donner à manger.~ ~ ~ ~Marcof prit la gourde et la porta 256 2, IV| instants après, on servait à Marcof un mauvais dîner, et on 257 2, IV| il parla longtemps, et Marcof apprit qu’il avait été recueilli 258 2, IV| proposa, sans préambule, à Marcof de s’enrégimenter sous ses 259 2, IV| les séductions de l’état. Marcof hésitait.~ ~ ~ ~Ce mot de 260 2, IV| Cavaccioli renouvela ses offres. Marcof n’hésita plus.~ ~ ~– J’accepte, 261 2, IV| de ta discrétion.~ ~ ~ ~Marcof fut présenté officiellement 262 2, IV| paraissait des plus joyeux. Marcof lui en demanda la cause.~ ~ ~– 263 2, IV| camarade.~ ~ ~– Allons, murmura Marcof, il y a de bonnes natures 264 2, IV| festin dans l’hôtellerie, et Marcof en eut les honneurs. Chacun 265 2, IV| lendemain, au point du jour, Marcof, devenu bandit calabrais, 266 2, V| Quinze jours après, Marcof parcourait, la carabine 267 2, V| deux combats successifs, Marcof avait arraché Piétro des 268 2, V| prompte et haute pendaison. Marcof, en réalité, avait donc 269 2, V| en véritable adoration. Marcof était son dieu.~ ~ ~ ~Bientôt 270 2, V| des cris et des larmes, Marcof sentit tout ce qu’il y avait 271 2, V| impérativement d’obéir. Marcof lui répondit qu’il n’était 272 2, V| la main à leur poignard. Marcof leva la tête, croisa ses 273 2, V| les bandits se turent. Marcof revint vers le chef.~ ~ ~– 274 2, V| daigner tourner la tête. Marcof avait l’habitude de se retirer 275 2, V| dont nous venons de parler, Marcof, suivant sa coutume, s’était 276 2, V| serpent ? était-ce un homme ? Marcof prit un pistolet et l’arma 277 2, V| bruit cessa tout à coup. Marcof attendit néanmoins, toujours 278 2, V| amie fit entendre un appel. Marcof avait reconnu Piétro. Le 279 2, V| me veux-tu donc ? demanda Marcof étonné des allures mystérieuses 280 2, V| en indiquant du geste à Marcof qu’il parlait trop haut.~ ~ ~– 281 2, V| m’importe ! interrompit Marcof.~ ~ ~– Laisse-moi achever ! 282 2, V| Les lâches ! murmura Marcof. Après ?~ ~ ~– On sait que 283 2, V| J’ai songé, interrompit Marcof, et mon plan est fait ; 284 2, V| C’est vrai, répondit Marcof.~ ~ ~ ~Puis après un moment 285 2, V| reprit-il.~ ~ ~– Oui, Marcof, répondit Piétro. Seulement 286 2, V| ton poste, et merci.~ ~ ~ ~Marcof serra vivement la main du 287 2, V| je vais dormir.~ ~ ~ ~Et Marcof, serra de nouveau la main 288 2, V| Félicité.~ ~ ~ ~Le lendemain, Marcof alla se promener dans la 289 2, V| sauf-conduit pour la route. Marcof accepta, lui disant que 290 2, V| tendre une embûche.~ ~ ~ ~Marcof continua sa promenade, pour 291 2, V| énormes au-dessus des rochers. Marcof posa ses armes contre lui, 292 2, V| endroit était désert et que Marcof n’était pas encore arrivé, 293 2, V| il atteignait le sommet, Marcof lui apparut face à face. 294 2, V| pousser un cri d’alarme. Marcof, l’étreignant à la gorge, 295 2, V| corps demeura immobile. Marcof le repoussa du pied pour 296 2, V| avait coutume de se coucher Marcof.~ ~ ~ ~Le marin ouvrit une 297 2, V| surnaturelle.~ ~ ~ ~Quant à Marcof, il ne se préoccupa pas 298 2, V| à distance respectueuse. Marcof et Cavaccioli demeurèrent 299 2, V| Ma foi, non, répondit Marcof ; à moins que tu ne m’y 300 2, V| Pour me tuer ? interrompit Marcof.~ ~ ~ ~Cavaccioli ne répondit 301 2, VI| Parbleu, répondit Marcof, tu n’as vu jusqu’ici que 302 2, VI| Allons, dépêche ! dit Marcof en lui saisissant le bras.~ ~ ~ ~ 303 2, VI| Surtout, continua Marcof, pas de signes cabalistiques, 304 2, VI| point ce que lui ordonnait Marcof. Piétro prit les devants, 305 2, VI| une distance convenable, Marcof lâcha Cavaccioli.~ ~ ~– 306 2, VI| ses compagnons. Quant à Marcof et à Piétro ils continuèrent 307 2, VI| péninsule italienne.~ ~ ~ ~Marcof voulait gagner Reggio. Il 308 2, VI| en Espagne et en France. Marcof avait la maladie du pays. 309 2, VI| donné un sauf-conduit à Marcof. Il leur fallait trois jours 310 2, VI| sépara de son compagnon. Marcof se trouvait alors dans un 311 2, VI| aventuraient pas aussi loin, Marcof quitta la montagne et suivit 312 2, VI| hasardât dans un tel pays, Marcof se retourna et attendit. 313 2, VI| jeune et fort jolie. Puis Marcof continua sa route. Mais 314 2, VI| trompé dans ses calculs, ou Marcof s’était fourvoyé dans les 315 2, VI| fournaise de l’enfer.~ ~ ~ ~Marcof fit quelques pas dans l’ 316 2, VI| composés par la nature. Marcof, charmé et séduit, se laissa 317 2, VI| retentit à une courte distance. Marcof bondit comme mu par un ressort 318 2, VI| son dîner et sa fatigue, Marcof visita les amorces de ses 319 2, VI| étoiles sur la voûte céleste. Marcof marchait au hasard. Deux 320 2, VI| des rires, des chansons. Marcof hâta sa course. Bientôt 321 2, VI| voiture encore attelée.~ ~ ~ ~Marcof reconnut du premier coup 322 2, VI| de la bande des voleurs. Marcof connaissait trop bien les 323 2, VI| devait être poignardée.~ ~ ~ ~Marcof écarta davantage alors les 324 2, VI| arrivant.~ ~ ~– Holà ! dit Marcof en relevant les canons des 325 2, VI| répondit tranquillement Marcof. Allons ! ne te mets pas 326 2, VI| Un instant ! fit Marcof en l’arrêtant.~ ~ ~– Encore ! 327 2, VI| connaissance du papier.~ ~ ~ ~Et Marcof le remit au bandit. Celui-ci 328 2, VI| moitié menaçants, entouraient Marcof qui les toisait avec dédain. 329 2, VI| marin :~ ~ ~– Tu t’appelles Marcof ? lui dit-il.~ ~ ~– Comme 330 2, VI| demandé si je me nommais Marcof, je t’ai répondu que tel 331 2, VI| reçois avec plaisir.~ ~ ~ ~Marcof secoua la tête.~ ~ ~– Tu 332 2, VI| entre les miennes ? répondit Marcof d’un ton menaçant, et en 333 2, VI| stupéfaction était grande. Marcof reprit :~ ~ ~– J’ai quitté 334 2, VI| bandit en s’adressant à Marcof ; car je viens de gagner 335 2, VI| Une Française ! s’écria Marcof en repoussant rudement le 336 2, VII| qui me convient, répondit Marcof en se plaçant entre la jeune 337 2, VII| dans l’œil expressif de Marcof que les brigands n’osaient 338 2, VII| armait sa carabine.~ ~ ~ ~Marcof jetait autour de lui un 339 2, VII| vibrer les échos de la forêt. Marcof se jeta rapidement à terre, 340 2, VII| commencèrent à lâcher pied. Marcof frappait toujours. Diégo 341 2, VII| directions différentes.~ ~ ~ ~Marcof, entraîné par l’ardeur du 342 2, VII| avec des forces nouvelles, Marcof détacha rapidement celle 343 2, VII| La mer était devant lui. Marcof poussa un cri de joie. En 344 2, VII| femme rouvrit les yeux. Marcof la déposa sur l’herbe et 345 2, VII| Enfin elle les fixa sur Marcof. Celui-ci lui adressa quelques 346 2, VII| jeune fille ne répondit pas. Marcof renouvela ses demandes. 347 2, VII| était devenue folle.~ ~ ~ ~Marcof et sa compagne étaient alors 348 2, VII| mettre à la mer ? lui demanda Marcof, qui, pendant son séjour 349 2, VII| heureuse. En touchant à Catane, Marcof conduisit sa compagne dans 350 2, VII| meilleur docteur de la ville. Marcof le pria de venir visiter 351 2, VII| il ne répondait de rien. Marcof ne possédait plus qu’un 352 2, VII| si charitablement.~ ~ ~ ~Marcof accepta la lettre, partit 353 2, VII| interrompant le marquis.~ ~ ~– Oui, Marcof est une noble nature ! répondit 354 2, VII| quel était son nom ?~ ~ ~– Marcof ne l’a jamais su ; elle 355 2, VII| étrange !~ ~ ~– Et que devint Marcof ? Que fit-il après avoir 356 2, VII| Amérique venait d’éclater. Marcof résolut d’aller combattre 357 2, VII| Six ans après que Marcof eut quitté la Calabre, c’ 358 2, VII| Et il se nommait ?~ ~ ~– Marcof le Malouin.~ ~ ~ ~En entendant 359 2, VIII| Brest, une fois, ce nom de Marcof le Malouin frappa mon oreille ; 360 2, VIII| avait tenté ses recherches, Marcof était en Calabre. Lorsque 361 2, VIII| de celle qu’éprouverait Marcof en retrouvant une famille 362 2, VIII| Le soir même j’emmenai Marcof dans ma bibliothèque, et 363 2, VIII| pardonner quoi ? demanda Marcof avec étonnement.~ ~ ~– Mais, 364 2, VIII| Toute la grandeur d’âme de Marcof se révélait dans ce peu 365 2, VIII| à moi. Je le présentai à Marcof.~ ~ ~– Regardez ce portrait ! 366 2, VIII| rappelle aucun souvenir ?~ ~ ~ ~Marcof contempla la peinture. Puis 367 2, VIII| marquis de Loc-Ronan ! répéta Marcof qui vint tout à coup se 368 2, VIII| vous ! vous ?…~ ~– Moi, Marcof, je suis ton frère !~ ~ ~ ~ 369 2, VIII| lui révéler un tel secret. Marcof, par amitié pour moi, aurait 370 2, VIII| dis rien ; il ignore tout. Marcof aurait trop souffert.~ ~ ~ ~ 371 2, VIII| mains.~ ~ ~– Et que devint Marcof ? demanda-t-elle pour écarter 372 2, VIII| l’habitude de me nommer Marcof ; laisse-moi paisiblement 373 2, VIII| l’autre le pauvre marin Marcof. Nous nous verrons en secret, 374 2, VIII| En effet, jamais Marcof ne changea de façon de penser, 375 2, VIII| appartient.~ ~ ~ ~Le lendemain Marcof partit pour Lorient. Il 376 2, VIII| et à ébranler le trône, Marcof se lança dans le parti royaliste. 377 2, VIII| Comment cela ?~ ~ ~– Marcof, d’après nos conventions, 378 2, VIII| et la subite arrivée de Marcof. Il ne savait pas que le 379 2, VIII| marquis. Je connais le cœur de Marcof ; je sais combien il m’aime, 380 2, XI| par une voix amie. Oh ! si Marcof était à Penmarckh, je n’ 381 2, XII| avait rencontré autrefois Marcof, et une courtisane éhontée 382 2, XII| depuis le jour où ce damné Marcof, que Dieu confonde ! a détruit 383 2, XIV| emprisonnement de leur recteur, Marcof, Keinec et Jahoua s’étaient 384 2, XIV| était tellement grande, que Marcof et Jahoua ne doutaient pas 385 2, XIV| qui avait eu lieu entre Marcof et Jean Chouan, lequel lui 386 2, XIV| conduire le vieux recteur. Marcof avait promis et Chouan s’ 387 2, XIV| quelques brasses de la côte, Marcof avait ordonné de revenir 388 2, XIV| armé chacun un aviron, et Marcof, tenant la barre, on avait 389 2, XIV| bras nus jusqu’à l’épaule. Marcof contemplait en souriant 390 2, XIV| dédain.~ ~ ~– Ah ! continua Marcof, je sais que vous êtes braves 391 2, XIV| Tu fus toujours le mien, Marcof ; je t’obéirai.~ ~ ~– Très-bien ! 392 2, XIV| approbatif.~ ~ ~– Jurez ! dit Marcof.~ ~ ~– Nous le jurons ! 393 2, XIV| d’abord, toi ! commanda Marcof en s’adressant à Keinec.~ ~ ~– 394 2, XIV| Et tu l’as manqué ? fit Marcof avec étonnement ; car il 395 2, XIV| défense, continua durement Marcof. Est-ce ainsi que je t’ai 396 2, XIV| appris à combattre ?~ ~ ~– Marcof !… fit Keinec humilié.~ ~ ~– 397 2, XIV| est une lâcheté !~ ~ ~– Marcof !~ ~ ~– Tais-toi ! Si je 398 2, XIV| Parleras-tu ? s’écria Marcof d’un accent tellement impératif, 399 2, XIV| Pauvre niais ! fit Marcof. Tu ne t’apercevais donc 400 2, XIV| comprends-tu ?~ ~ ~ ~Tandis que Marcof parlait, le jeune homme, 401 2, XIV| agitaient en lui. Quand Marcof eut achevé, il releva lentement 402 2, XIV| retiens ton serment, répondit Marcof ; mais souviens-toi de celui 403 2, XIV| eu manqué Jahoua, reprit Marcof, que s’est-il passé ?~ ~ ~– 404 2, XIV| du jour.~ ~ ~– Bien ! fit Marcof. Maintenant, écoutez-moi. 405 2, XIV| je te suis reconnaissant, Marcof, d’avoir réveillé dans mon 406 2, XIV| la main que lui tendait Marcof ; puis, se retournant vers 407 2, XIV| influence du cœur loyal de Marcof, sa loyauté était revenue. 408 2, XIV| rougir son front.~ ~ ~ ~Marcof aimait sincèrement Keinec. 409 2, XIV| côté la baie des Trépassés. Marcof, gouvernant au milieu des 410 2, XIV| suivi le premier.~ ~ ~ ~Marcof pensait que ces deux hommes, 411 2, XIV| On comprend tout ce que Marcof était disposé à faire pour 412 2, XIV| opposât à rien de ce que lui, Marcof, voudrait faire, et qu’il 413 2, XIV| dirigeait vers la terre. Aussi Marcof quitta-t-il la côte qui, 414 2, XIV| qui s’éteint ! répondit Marcof.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela 415 2, XIV| que nous allons voir, dit Marcof. En tous cas, nous approchons ; 416 2, XIV| se défiera pas.~ ~ ~ ~Et Marcof, mettant ses paroles à exécution, 417 2, XV| superstitieuse.~ ~ ~– Oui, répondit Marcof. Mais ne t’effraye pas, 418 2, XV| Laisse aller ! ordonna Marcof.~ ~ ~ ~Keinec cessa aussitôt 419 2, XV| sable.~ ~ ~ ~Sur un geste de Marcof, Keinec s’élança hors de 420 2, XV| monta jusqu’à la ceinture. Marcof et Jahoua demeurèrent dans 421 2, XV| Eh bien ? demanda Marcof en le voyant près de lui.~ ~ ~– 422 2, XV| il est absent.~ ~ ~ ~Et Marcof, se levant vivement, sauta 423 2, XV| de la barque. Keinec et Marcof gagnèrent vivement la grotte. 424 2, XV| pris la fuite ! répondit Marcof.~ ~ ~– Il est sans doute 425 2, XV| fais mon affaire, répondit Marcof. Va retrouver Jahoua. Cherchez 426 2, XV| lui transmit les ordres de Marcof.~ ~ ~ ~Tous deux conduisirent 427 2, XV| demanda Jahoua.~ ~ ~– Attendre Marcof ! répondit Keinec, et veiller 428 2, XV| falaises. Pendant ce temps Marcof avait quitté la grotte, 429 2, XV| descendus dans la baie.~ ~ ~ ~Marcof, pour ne pas être embarrassé 430 2, XV| joie illumina la figure de Marcof.~ ~ ~ ~Dix minutes après 431 2, XV| beaucoup plus rapproché. Marcof imita de nouveau le cri 432 2, XV| écarter les plantes.~ ~ ~ ~Marcof fit un pas en avant et se 433 2, XV| de charme. En apercevant Marcof il lui tendit la main.~ ~ ~– 434 2, XV| marquis est mort ! répondit Marcof.~ ~ ~– Tué, peut-être ?~ ~ ~– 435 2, XV| Un malheur pour nous, Marcof.~ ~ ~– Un véritable malheur, 436 2, XV| de la Cornouaille ? dit Marcof avec un peu d’étonnement.~ ~ ~– 437 2, XV| voulez-vous ensuite, mon cher Marcof ?~ ~ ~– Je vais vous le 438 2, XV| monsieur le comte.~ ~ ~ ~Et Marcof raconta brièvement l’histoire 439 2, XV| plus tôt possible.~ ~ ~ ~Marcof réfléchit.~ ~ ~– Après-demain, 440 2, XV| et bonne chance, mon cher Marcof. Après-demain, Boishardy 441 2, XV| enfoncer dans les genêts. Marcof, pour revenir à la falaise. 442 2, XV| Quelques minutes après, Marcof était de retour auprès de 443 2, XV| rien, mes gars, répondit Marcof en les calmant du geste. 444 2, XV| comprends pas vos paroles, Marcof.~ ~ ~– Tu ne comprends pas, 445 2, XV| Keinec.~ ~ ~– C’est bien, fit Marcof. Quoi qu’il arrive, je vous 446 2, XV| double le promontoire, ajouta Marcof.~ ~ ~– C’est Carfor, sans 447 2, XV| le berger.~ ~ ~– Attends, Marcof ! fit brusquement le jeune 448 2, XV| tout va bien ! répondit Marcof.~ ~ ~– Que devons-nous faire ?~ ~ ~– 449 2, XV| comme tu le dis, répondit Marcof.~ ~ ~ ~Les trois hommes 450 2, XV| doute que pour revenir à Marcof et à ses deux compagnons, 451 2, XV| avançait-il lentement, et Marcof n’avait-il pas eu tort en 452 2, XV| breton. Il abordait.~ ~ ~ ~Marcof s’avança doucement dans 453 2, XVI| pénétrer dans la grotte avec Marcof, et que le jeune marin avait 454 2, XVI| le front et pâlit.~ ~ ~– Marcof ! murmura-t-il ; Marcof, 455 2, XVI| Marcof ! murmura-t-il ; Marcof, peut-être !~ ~ ~– Tu ne 456 2, XVI| vivement et tressaillit. Marcof était debout entre le berger 457 2, XVI| Mais…~ ~ ~– Assez.~ ~ ~ ~Et Marcof se retournant :~ ~ ~– Venez, 458 2, XVI| Et s’adressant à Marcof :~ ~ ~– Encore une fois, 459 2, XVI| dans laquelle il pénétra. Marcof et ses deux compagnons l’ 460 2, XVI| l’y suivirent pas à pas. Marcof prit pour siége un quartier 461 2, XVI| résolu ; il attendait que Marcof lui adressât la parole.~ ~ ~– 462 2, XVI| Très-bien ! dit froidement Marcof.~ ~ ~– Carfor ! s’écria 463 2, XVI| traits du second compagnon de Marcof. Terrifié par la subite 464 2, XVI| se passait dans son âme. Marcof sourit ironiquement.~ ~ ~– 465 2, XVI| garda le silence. Alors Marcof s’adressant aux deux jeunes 466 2, XVI| se reculèrent, tandis que Marcof, se tournant vers Carfor, 467 2, XVI| parleras, cependant.~ ~ ~ ~Marcof prit un bout de corde qui 468 2, XVI| Attachez-lui les mains, continua Marcof impassible ; seulement, 469 2, XVI| passât de quelques lignes, Marcof tira un briquet de sa poche, 470 2, XVI| un peu maintenant, reprit Marcof d’une voix parfaitement 471 2, XVI| frémissaient d’impatience. Marcof les calma du geste. Les 472 2, XVI| commence ! fit observer Marcof. Je savais bien que le procédé 473 2, XVI| Suivant l’expression de Marcof, la chair grillait sous 474 2, XVI| ses membres se roidirent. Marcof contemplait d’un œil froid 475 2, XVI| Keinec.~ ~ ~– Silence ! fit Marcof en écartant le jeune homme 476 2, XVI| et Jahoua tressaillirent. Marcof remarqua le mouvement.~ ~ ~– 477 2, XVI| tout à l’heure, répondit Marcof.~ ~ ~ ~Carfor, en proie 478 2, XVI| Jahoua.~ ~ ~– Bah ! continua Marcof en haussant les épaules. 479 2, XVI| Keinec, continua froidement Marcof.~ ~ ~ ~Mais avant que le 480 2, XVI| avait rouvert les yeux. Marcof alors procéda à l’interrogatoire.~ ~ ~– 481 2, XVI| La seconde mèche ! fit Marcof.~ ~ ~– Je dirai tout ! s’ 482 2, XVI| Tonnerre ! s’écria Marcof en laissant enfin éclater 483 2, XVI| nom de cet homme ? demanda Marcof.~ ~ ~– Grâce ! pitié !~ ~ ~– 484 2, XVI| Carfor ne put répondre. Marcof renouvela sa question.~ ~ ~– 485 2, XVI| répondit Keinec. Après Marcof, c’est à moi qu’il appartient.~ ~ ~ ~ 486 2, XVI| était évanoui de nouveau. Marcof délia une seconde fois les 487 2, XVI| tel accent de vérité, que Marcof vit bien qu’il ignorait 488 2, XVI| jeunes gens s’élancèrent. Marcof se rapprocha de Carfor et 489 2, XVI| dans la gorge ! continua Marcof en faisant sentir au misérable 490 2, XVII| avoir laissé Yvonne.~ ~ ~ ~Marcof espérait obtenir là de précieux 491 2, XVII| expression des matelots. Marcof était trop bon marin pour 492 2, XVII| heure plus tard, répondit Marcof.~ ~ ~– Alors virons de bord.~ ~ ~– 493 2, XVII| et laissons courir, dit Marcof.~ ~ ~ ~Trois quarts d’heure 494 2, XVII| rapidement sur l’horizon. Marcof fit armer le grand canot, 495 2, XVII| contenant le poison des Borgia. Marcof, Jahoua, et Keinec se séparèrent 496 2, XVII| plus violent désespoir. Marcof seul conservait sa raison.~ ~ ~– 497 2, XVII| Tonnerre ! s’écria Marcof avec colère, le désespoir 498 2, XVII| porte d’une ferme voisine, Marcof s’arrêta.~ ~ ~– Tu dois 499 2, XVII| chevaux.~ ~ ~ ~En voyant Marcof ferme et résolu, ses deux 500 2, XVII| la direction de l’abbaye. Marcof était en tête.~ ~ ~ ~Arrivés 501 2, XVII| retentir à peu de distance. Marcof étendit vivement la main.~ ~ ~– 502 2, XVII| Fleur-de-Chêne ! dit Marcof en reconnaissant l’un d’ 503 2, XVII| veille attentivement.~ ~ ~ ~Marcof se remit en selle, et les 504 2, XVII| Continuons, dit Jahoua en voyant Marcof hésiter.~ ~ ~– Non, répondit 505 2, XVII| car, sans la réflexion de Marcof, les trois cavaliers, continuant 506 2, XVIII| le plus profond silence, Marcof Keinec et Jahoua atteignirent 507 2, XVIII| milieu des ténèbres.~ ~ ~ ~Marcof et ses deux compagnons entrèrent 508 2, XVIII| agiles que les deux marins. Marcof et Keinec furent bientôt 509 2, XVIII| dans la cour ! répondit Marcof.~ ~ ~ ~Ils pénétrèrent dans 510 2, XVIII| Montons, répondit Marcof.~ ~ ~– Je garde la porte 511 2, XVIII| appellerez si besoin est.~ ~ ~ ~Marcof et Keinec gravirent les 512 2, XVIII| pas pris soin de refermer. Marcof s’avança vivement.~ ~ ~– 513 2, XVIII| une traînée de lumière. Marcof et Keinec écoutèrent, lis 514 2, XVIII| Entrons ! répondit Marcof sans hésitation.~ ~ ~ ~La 515 2, XVIII| brûlures, et au moment où Marcof et Keinec pénétrèrent dans 516 2, XVIII| gagnait son habit.~ ~ ~ ~Marcof s’élança, brisa la fenêtre, 517 2, XVIII| aucun renseignement, dit Marcof après avoir déposé Raphaël 518 2, XVIII| bougies et s’élança au dehors. Marcof redescendit près de Jahoua.~ ~ ~ ~ 519 2, XVIII| cri terrible. Keinec et Marcof accoururent. Ils trouvèrent 520 2, XVIII| Qu’y a-t-il ? s’écria Marcof.~ ~ ~– Cette croix ! répondit 521 2, XVIII| avait conduite ici ? dit Marcof.~ ~ ~– Qu’est-elle devenue ?~ ~ ~– 522 2, XVIII| mort ! fit Jahoua.~ ~ ~ ~Marcof lui posa la main sur le 523 2, XVIII| papier.~ ~ ~– Donne s’écria Marcof en le lui arrachant.~ ~ ~ ~ 524 2, XVIII| chevalier de Tessy ! continua Marcof.~ ~ ~– Celui qui a enlevé 525 2, XVIII| ces misérables ! murmura Marcof avec une joie féroce.~ ~ ~ ~ 526 2, XVIII| Il veut boire dit Marcof en interprétant le geste 527 2, XVIII| décomposée du misérable. Marcof porta la main à son front.~ ~ ~– 528 2, XVIII| demanda Keinec.~ ~ ~ ~Marcof ne lui répondit pas, mais, 529 2, XVIII| Je l’ignore, répondit Marcof, et cependant cette lettre 530 2, XVIII| rapprochèrent du moribond, Marcof de plus en plus singulièrement 531 2, XIX| n’est-ce pas ? demanda Marcof.~ ~ ~ ~Raphaël fit un effort. 532 2, XIX| Empoisonné ? s’écria Marcof.~ ~ ~– Oui, empoisonné ! « 533 2, XIX| ses traits bouleversés. Marcof lui secoua le bras.~ ~ ~– 534 2, XIX| va mourir ! dit Keinec. Marcof, viens à notre aide !~ ~ ~– 535 2, XIX| viens à notre aide !~ ~ ~– Marcof ?… répéta Raphaël que ce 536 2, XIX| parut faire revenir à lui. Marcof !~ ~ ~– Me connais-tu donc ?~ ~ ~– 537 2, XIX| est-il donc passé ici ? fit Marcof en regardant autour de lui.~ ~ ~ ~ 538 2, XIX| Que dis-tu ? fit Marcof en s’élançant près de lui.~ ~ ~– 539 2, XIX| Raphaël regarda Marcof avec des yeux hagards.~ ~ ~– 540 2, XIX| Keinec.~ ~ ~– Mort ! répéta Marcof avec stupeur.~ ~ ~– Mort ! 541 2, XIX| cela ? fit Keinec.~ ~ ~ ~Marcof, sans répondre, s’élança 542 2, XIX| des embuscades royalistes. Marcof se fit reconnaître des paysans 543 2, XIX| était M. de Boishardy.~ ~ ~ ~Marcof laissa Keinec et Jahoua 544 2, XIX| Bourdonnaie écoutait. À la vue de Marcof, le narrateur s’interrompit 545 2, XIX| Nullement, mon cher Marcof. Vous arrivez, au contraire, 546 2, XIX| nouvelles de Paris ? demanda Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit de 547 2, XIX| Poignard ? »~ ~– Parbleu ! dit Marcof, je sais encore par cœur 548 2, XIX| Pays-Bas.~ ~ ~– Quoi ! s’écria Marcof stupéfait, le roi abandonne 549 2, XIX| Le roi arrêté ! dit Marcof avec une stupeur profonde.~ ~ ~– 550 2, XIX| révolutionnaires !~ ~ ~ ~Marcof laissa échapper un énergique 551 2, XIX| roi, le roi ? dit encore Marcof.~ ~ ~– Je vous répète qu’ 552 2, XIX| royale.~ ~ ~– Ainsi, dit Marcof, le roi n’est plus rien ?~ ~ ~– 553 2, XIX| hautement la tête.~ ~ ~ ~Marcof réfléchissait profondément.~ ~ ~– 554 2, XIX| prouverons, Boishardy.~ ~ ~ ~Marcof, on le voit, ne prenait 555 2, XX| Tonnerre ! s’écria Marcof, ne discutons pas et dépêchons.~ ~ ~– 556 2, XX| par un sourire railleur. Marcof se mordait les lèvres avec 557 2, XX| l’arme meurtrière, mais Marcof lui saisit le bras et la 558 2, XX| marquise de Loc-Ronan ! s’écria Marcof en bondissant.~ ~ ~– Crois-tu 559 2, XX| ouvrent enfin ! murmura Marcof.~ ~ ~– Yvonne ! Yvonne ! 560 2, XX| comte ? demanda Boishardy à Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit le 561 2, XX| Attendez ! s’écria Marcof, il faut que je l’interroge.~ ~ ~– 562 2, XX| Fleur-de-Chêne, dit Marcof, fais toujours attention…~ ~ ~ ~ 563 2, XX| Fleur-de-Chêne ! s’écria Marcof.~ ~ ~– Grâce !… fit Hermosa 564 2, XX| Attends encore !… répondit Marcof.~ ~ ~ ~Hermosa réfléchit 565 2, XX| Répondez ! reprit Marcof.~ ~ ~– Vous pouvez tuer 566 2, XX| empoisonné ! accentua fortement Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit Hermosa 567 2, XX| Son frère ! s’écria Marcof. Vous entendez, messieurs ?~ ~ ~– 568 2, XX| Non ! dit vivement Marcof ; je lui promets la vie 569 2, XX| rugissement de joie et de colère. Marcof les arrêta de la main. Puis, 570 2, XX| favorable pour fuir, que Marcof et ceux qui écoutaient Hermosa 571 2, XX| Boishardy.~ ~ ~– Non, dit Marcof ; elle devait être trop 572 2, XX| dans l’abbaye ? demanda Marcof.~ ~ ~– Oui, dit Fleur-de-Chêne, 573 2, XX| vous rejoins, mes gars, dit Marcof.~ ~ ~ ~Fleur-de-Chêne et 574 2, XX| désignant Hermosa.~ ~ ~ ~Marcof l’entraîna, ainsi que Boishardy, 575 2, XX| main fidèle au capitaine Marcof, commandant le lougre le 576 2, XX| relâche à Penmarckh. »~ ~– Marcof, dit le comte en tendant 577 2, XX| que l’on m’écrit.~ ~ ~ ~Marcof prit la lettre et l’enveloppe. 578 2, XX| révéler un secret, répondit Marcof. Écoutez-moi attentivement. 579 2, XX| lettre que lui présentait Marcof.~ ~ ~– C’est un bras et 580 2, XX| Expliquez-nous ce mystère, Marcof !~ ~ ~– Je ne puis vous 581 2, XX| Nous écoutons.~ ~ ~ ~Marcof commença la lecture de la 582 2, XX| Mon cher et aimé Marcof, écrivait le marquis, si 583 2, XX| notre cause, messieurs, dit Marcof en repliant la lettre.~ ~ ~– 584 2, XX| vous remettrai la lettre, Marcof.~ ~ ~– Serez-vous encore 585 2, XX| attendrai, messieurs.~ ~ ~ ~Marcof prit les mains de ses deux 586 2, XX| J’ai toujours pensé que Marcof était un gentilhomme qui 587 2, XX| cela, messieurs, répondit Marcof en souriant avec fierté. 588 2, XX| Adieu donc !~ ~ ~ ~Marcof quitta rapidement la clairière 589 2, XX| libre, je le jure !~ ~ ~ ~Marcof était arrivé devant l’abbaye. 590 2, XX| infecte et insoutenable. Marcof sortit vivement. Il appela 591 2, XX| les souterrains, murmura Marcof ; ils n’ont pas besoin de 592 2, XX| aucun indice qui put mettre Marcof sur la voie qu’Yvonne avait 593 2, XX| un de ses angles.~ ~ ~ ~Marcof employa inutilement ses 594 2, XX| bois craqua sous l’acier. Marcof arracha la porte qui céda, 595 2, XX| derrière lequel il y a vide. Marcof poussa un cri de joie et 596 2, XXI| XXI~ ~ DIÉGO ET MARCOF.~ ~ ~ ~Une heure avant que 597 2, XXI| Une heure avant que Marcof ne franchit le seuil de 598 2, XXI| Bourdonnaie, M. de Boishardy et Marcof. Il y avait six heures environ 599 2, XXI| C’étaient les pas de Marcof que l’Italien avaient entendus. 600 2, XXI| Bientôt la marche de Marcof résonna au-dessus de la 601 2, XXI| torche à la main. C’était Marcof.~ ~ ~ ~Le marin, après avoir 602 2, XXI| lui et s’éloigner.~ ~ ~ ~Marcof appela, croyant avoir affaire 603 2, XXI| protégé par l’obscurité. Marcof fut donc obligé d’ajuster 604 2, XXI| perdit dans la voûte. Mais Marcof, sa torche d’une main, sa 605 2, XXI| en pleine lumière.~ ~ ~– Marcof ! s’écria Diégo dont les 606 2, XXI| dents grincèrent de rage. Marcof ! je vais te payer la dette 607 2, XXI| marin en pleine poitrine. Marcof poussa un cri rauque, tourna 608 2, XXI| Tous deux avaient vu tomber Marcof et enlever celle qu’ils 609 2, XXI| flots de la poitrine de Marcof, et Diégo, longeant les 610 2, XXI| demeurer la proie du bandit ? Marcof devait-il mourir ? Que ceux