Partie,  Chap.

  1      II        |        chouette. Un cri pareil lui répondit ; puis le son d’une corne,
  2      II        |            un peu !~ ~ ~– Eh bien, répondit Keinec, je vais voir Jahoua.
  3      II        |                   Bonjour, Keinec, répondit la Bretonne.~ ~ ~– Jahoua
  4      II        |          sommations des autres, il répondit invariablement par les cris
  5      II        |                Je les ai sus, moi, répondit Keinec.~ ~ ~– Alors nous
  6     III        |          mort ?~ ~ ~– Sans doute ! répondit Cormatin.~ ~ ~– Permettez,
  7     III        |           davantage.~ ~ ~– Et moi, répondit le marquis, je vous préviens
  8     III        |          peut y avoir de duel ici, répondit Boishardy avec dédain.~ ~ ~–
  9     III        |    Chantereau.~ ~ ~– Pis que cela, répondit Boishardy, ils sont ridicules !
 10     III        |          Vendée ?~ ~ ~– Mauvaises, répondit le chouan en s’avançant.
 11     III        |        Nantes ? dit-il.~ ~ ~– Oui, répondit Marcof.~ ~ ~– Si vous aviez
 12     III        |      projets ?~ ~ ~– Tuer Carrier, répondit Marcof sans la moindre hésitation.~ ~ ~–
 13      IV        |          faire entrer ?~ ~ ~– Oui, répondit Boishardy, et se retournant
 14      IV        |  demanda-t-il à Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit le marin ; son père m’a
 15      IV        |      demanda Boishardy.~ ~ ~– Non, répondit le marin ; mais je suis
 16      IV        |                 Elle sera ignorée, répondit Boishardy à voix basse en
 17      IV        |           Mieux qu’un autre, même, répondit Boishardy.~ ~ ~ ~Puis s’
 18      IV        |    comprends ?~ ~ ~– Parfaitement, répondit l’amoureux d’Yvonne.~ ~ ~–
 19      IV        |    déterminé.~ ~ ~– Oui, mon gars, répondit Boishardy en regardant avec
 20      IV        |                  Vous auriez tort, répondit Keinec d’un ton toujours
 21      IV        |            ferons bien des choses, répondit Marcof.~ ~ ~– Je le crois
 22      IV        |          Mariic, là sur la droite, répondit le chouan en désignant du
 23      IV        |            espères donc toujours ? répondit Jahoua.~ ~ ~– Dieu est bon,
 24       V        |        marin.~ ~ ~– Vous avez lu ? répondit Marcof en désignant le manuscrit.~ ~ ~–
 25       V        |         aveuglé par la passion, me répondit que j’étais dans l’erreur,
 26       V        |      surtout qu’elle ne nous voie, répondit Boishardy en souriant.~ ~ ~ ~
 27       V        |       Jean-Louis. »~ ~ ~Elle ne me répondit pas ; mais, se laissant
 28     VII        |                  Bonjour, Brutus ! répondit Pinard.~ ~ ~– D’où viens-tu ?~ ~ ~–
 29     VII        |          ai une idée, mes Romains, répondit Pinard ; une idée toute
 30     VII        |  aristocrates ce matin ?…~ ~– Oui, répondit le sans-culotte.~ ~ ~– Eh
 31     VII        |           on amène tous les jours, répondit Pinard.~ ~ ~– Alors, faut
 32     VII        |                 On ne jugera pas ! répondit Pinard.~ ~ ~– C’est vrai,
 33     VII        |          se dispute avec sa femme, répondit Pinard.~ ~ ~– Ou qu’il s’
 34     VII        |                  J’irai voir cela, répondit Pinard.~ ~ ~– Mais pourquoi
 35    VIII        |           jours, nous savons cela, répondit Angélique avec ironie. Au
 36    VIII        |           pas aimable aujourdhui, répondit Angélique.~ ~ ~– C’est qu’
 37    VIII        |            le raconter, ma belle ! répondit Carrier en passant le bras
 38    VIII        |           secrétaire.~ ~ ~– Bien ! répondit le sans-culotte en se retirant.~ ~ ~ ~
 39    VIII        |           y vas, citoyen Carrier ! répondit une voix forte et bien timbrée.
 40    VIII        |           brusquement.~ ~ ~– Oui ! répondit le nouveau venu.~ ~ ~– Où
 41    VIII        |               Tout autant que toi, répondit ce dernier.~ ~ ~– Alors
 42    VIII        |            Elle est ma maîtresse ! répondit brusquement Carrier.~ ~ ~–
 43      IX        |           plus ?~ ~ ~– Sans doute, répondit Diégo, et cela s’explique
 44      IX        |       double mouvement.~ ~ ~– Oui, répondit Pinard ; le citoyen et moi
 45      IX        |                   C’est cela même, répondit Diégo.~ ~ ~– Il m’a écrit
 46      IX        | partagerons ! dit-il.~ ~ ~– Quoi ? répondit Diégo avec étonnement.~ ~ ~–
 47      IX        |      Ancien procureur, mon cher !… répondit Carrier qui avait tout à
 48      IX        |            défends la République ! répondit Carrier en pâlissant de
 49       X        |           Tu entends ?~ ~ ~– Oui ! répondit Carrier, qui reprit courage
 50       X        |         aristocrates sont ruinés ! répondit Carrier.~ ~ ~– Pas tous,
 51       X        |          mitraillades de ce soir ? répondit Diégo.~ ~ ~– Bah ! ils sont
 52       X        |            que tu as dans ta cave, répondit Diégo.~ ~ ~– Oh ! sois sans
 53       X        |    intérieur.~ ~ ~ ~Un bruit léger répondit à cette interpellation prononcée
 54       X        |                   Méconnaissable ! répondit l’Italien en considérant
 55       X        |          vas voir, attends un peu, répondit Pinard avec un sourire triomphant.~ ~ ~ ~
 56       X        |            stupeur.~ ~ ~– Eh non ! répondit tranquillement Pinard en
 57       X        |             Qu’est-ce que tu dis ? répondit Pinard avec un sourire ironique.~ ~ ~–
 58       X        |       projets !~ ~ ~ ~L’Italien ne répondit pas, mais un nuage sombre
 59       X        |            échappe.~ ~ ~ ~Diégo ne répondit pas, mais il se détourna
 60       X        |             te voilà raisonnable ! répondit Pinard.~ ~ ~– Ne parlons
 61      XI        |         Mais il ne nous voit pas ! répondit Pinard en ricanant.~ ~ ~ ~
 62     XII        |         Jean-Louis.~ ~ ~– Madame ? répondit le marin en se retournant
 63     XII        |          vous trompez pas, madame, répondit Bervic en quittant la religieuse
 64     XII        |   adressant à Bervic.~ ~ ~– Bien ! répondit le vieux maître d’équipage.~ ~ ~ ~
 65     XII        |            une ruse, mes enfants ! répondit Bervic. Parez vos carabines
 66     XII        |                   Mon commandant ? répondit le marin en s’avançant respectueusement.~ ~ ~–
 67     XII        |           âge.~ ~ ~– Oui, mon ami, répondit la religieuse : je veillais
 68     XII        |         vois.~ ~ ~– Comment cela ? répondit Marcof en souriant.~ ~ ~–
 69     XII        |          demanda Julie.~ ~ ~– Non, répondit Marcof ; nous passons la
 70     XII        |      serments ?~ ~ ~– Non, madame, répondit Boishardy, je ne m’étonne
 71     XII        |           mer ? dit-il.~ ~ ~– Oui, répondit la religieuse ; et demain
 72    XIII        |           Nous ne mouillerons pas, répondit Marcof. Tiens le cap droit
 73    XIII        |          son banc.~ ~ ~– Un noyé ! répondit Keinec en désignant du geste
 74    XIII        |             Ah ! mon bon monsieur, répondit le pêcheur en secouant la
 75    XIII        |         ses compagnons.~ ~ ~– Oui, répondit Marcof ; nous serons à Nantes
 76    XIII        |       endosserais celle du diable, répondit le marin, pour arriver à
 77    XIII        |           demanda-t-il.~ ~ ~– Oui, répondit le marin.~ ~ ~– Eh bien !
 78    XIII        |                Pressons l’allure ! répondit Boishardy, et enfonçons-nous
 79    XIII        |        toutefois elle vit encore ! répondit Marcof.~ ~ ~– N’en doute
 80    XIII        |         souffrir !~ ~ ~ ~Keinec ne répondit pas ; mais il leva les yeux
 81     XIV        |          bande.~ ~ ~– J’y consens, répondit Pichet en prenant une pose
 82     XIV        |         modérés ! »~ ~– C’est ça ! répondit Pichet. Pour lors, v’là
 83     XIV        |               Oui, que je le sais, répondit l’enfant.~ ~ ~– Pourquoi
 84     XIV        |        avec aisance.~ ~ ~– Tiens ! répondit l’enfant, vous n’êtes donc
 85     XIV        |         impatience.~ ~ ~– Eh non ! répondit Pichet en faisant un pas
 86     XIV        |      Marcof.~ ~ ~– Êtes-vous fou ? répondit le chef royaliste. Vous
 87     XIV        |       tardera pas.~ ~ ~ ~Marcof ne répondit pas, mais il arrêta l’élan
 88     XIV        |           la place du Département, répondit le marin d’une voix frémissante.~ ~ ~ ~
 89     XIV        |          dans le sang de mes amis, répondit Keinec. Je les laisserai
 90     XIV        |           et de l’innocent alors ! répondit Boishardy. Cela ne peut
 91      XV        |       fixait ainsi.~ ~ ~– Citoyen, répondit le jeune homme, comme tu
 92      XV        |          On tue partout à Nantes ! répondit Marcof.~ ~ ~– Tournons bride
 93      XV        |        raison toujours, Boishardy, répondit Marcof à voix basse ; la
 94      XV        |            feu !~ ~ ~– Volontiers, répondit Brutus qui secoua les cendres
 95      XV        |            service.~ ~ ~– Lequel ? répondit Brutus.~ ~ ~– D’abord, es-tu
 96      XV        |          sommes arrivés trop tard, répondit Marcof en se mêlant à la
 97      XV        |                   C’est possible ! répondit sèchement Keinec, qui avait
 98      XV        |       diable viens-tu l’offenser ? répondit Marcof en souriant.~ ~ ~–
 99      XV        |          là des épaules de satin ! répondit un autre.~ ~ ~– Eh hop !
100      XV        |         Nos chevaux sont fatigués, répondit sèchement le royaliste.~ ~ ~–
101     XVI        |        bien, et ça va aller mieux, répondit Robin qui était l’un des
102     XVI        |        Boishardy.~ ~ ~– Fougueray, répondit Brutus.~ ~ ~– N’est-ce pas
103     XVI        |       Tiens ! tu le connais donc ? répondit le sans-culotte.~ ~ ~– Mais
104     XVI        |          ils n’en ont plus besoin, répondit Brutus ; ça va chez Carrier.~ ~ ~ ~
105     XVI        |         même.~ ~ ~– Et moi aussi ! répondit Keinec.~ ~ ~ ~Ils arrivaient
106     XVI        |            du vin de sans-culotte, répondit Brutus ; du vin rouge comme
107    XVII        |            ai que toi et tes amis, répondit Nicoud.~ ~ ~– Bien sûr ?~ ~ ~–
108    XVII        |           la place du Département, répondit Spartacus.~ ~ ~– Pourquoi ?~ ~ ~–
109    XVII        |                    C’est possible, répondit Marcof ; j’ai connu du monde
110    XVII        |               Je ne sais pas lire, répondit Brutus ; je ne suis pas
111    XVII        |           empressement.~ ~ ~– Oui, répondit le marin.~ ~ ~– Alors buvons,
112    XVII        |                Je vais te le dire, répondit le sans-culotte, tandis
113    XVII        |                    C’est mon avis, répondit Marcof en souriant.~ ~ ~–
114    XVII        |           la voix.~ ~ ~– Parbleu ! répondit Brutus, j’ai le signalement
115    XVII        |          car il en vaut la peine ! répondit le marin. Marcof a dit qu’
116    XVII        |            enfer.~ ~ ~– Tonnerre ! répondit Marcof en soupirant, pourquoi
117    XVII        |            ne s’en inquiétera pas, répondit Keinec ; le costume que
118   XVIII        |          De quelle part viens-tu ? répondit le sans-culotte.~ ~ ~– De
119   XVIII        |       Pinard, je ne bougerai pas ! répondit Nicoud. C’est là tout ce
120   XVIII        |               Merci, mes Romains ! répondit le lieutenant de la compagnie
121   XVIII        |          stupéfaction.~ ~ ~– Oui ! répondit Pinard.~ ~ ~– Sont-ils nombreux ?~ ~ ~–
122   XVIII        |        auditoire.~ ~ ~– En avant ! répondit Pinard qui comprit que l’
123     XIX        |            ce qu’il aurait trouvé, répondit Boishardy.~ ~ ~– Et Keinec ?~ ~ ~–
124     XIX        |             j’entends, cette fois, répondit Boishardy. Qui diable est
125     XIX        |        élancer à terre.~ ~ ~– Oui, répondit Keinec ; c’est cette précaution
126     XIX        |         demanda Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit Keinec.~ ~ ~– Tu en es sûr ?
127     XIX        |         réponds.~ ~ ~– C’est bien, répondit le gentilhomme. Marchez,
128     XIX        |     compris ?~ ~ ~– Parfaitement ! répondit Keinec.~ ~ ~– Rappelle-toi
129     XIX        |          cherche des aristocrates, répondit le patriote nantais qui,
130     XIX        |         Carrier !~ ~ ~– Qui cela ? répondit Pinard, dont la voix partit
131      XX        |     premières paroles.~ ~ ~– Oui ! répondit joyeusement le gentilhomme.
132      XX        |           toi, Keinec ?~ ~ ~– Moi, répondit le Breton en fermant les
133      XX        |                   À Saint-Étienne, répondit Marcof.~ ~ ~– Chez Kérouac,
134      XX        |                 Je ne sais encore, répondit le marin.~ ~ ~– Vous ne
135     XXI        |         Saint-Herblain.~ ~ ~– Non, répondit Marcof ; cela nous ferait
136     XXI        |                   Pas précisément, répondit Marcof ; mais nous avons
137     XXI        |     trouverons d’autres, mon gars, répondit Boishardy.~ ~ ~ ~En ce moment
138     XXI        |            son enfant ?~ ~ ~– Oui, répondit le marin, les bleus sont
139     XXI        |       ajouta-t-il.~ ~ ~– Celui-là, répondit Marcof, celui-là nous procurera
140     XXI        |    froidement le marin.~ ~ ~– Oui, répondit Carfor en se redressant,
141     XXI        |      froidement Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit Boishardy qui avait pris,
142    XXII        |            Certes, cela est vrai ! répondit vivement Fougueray.~ ~ ~–
143    XXII        |       rigueur.~ ~ ~– C’est facile, répondit Carrier ; je vais faire
144    XXII        |            droit-là, je le prends, répondit le proconsul.~ ~ ~ ~Puis,
145   XXIII        |            tu ne m’attendais pas ? répondit Fougueray en prenant l’unique
146   XXIII        |          est l’odeur des cadavres, répondit tranquillement Piétro.~ ~ ~–
147   XXIII        |     pénétrer ?~ ~ ~– Je veux voir, répondit Diégo en s’avançant.~ ~ ~ ~
148   XXIII        |             Toutes sans exception, répondit Piétro.~ ~ ~– Mais pourquoi
149   XXIII        |           Tiens ! lis ces papiers, répondit Diégo en tendant à Piétro
150   XXIII        |           sa poche.~ ~ ~– Inutile, répondit le geôlier, je ne sais pas
151    XXIV        |  demanda-t-il.~ ~ ~– Ici, citoyen, répondit le geôlier.~ ~ ~– Pour quoi
152    XXIV        |            si vous le voulez bien, répondit Diégo avec une ironique
153    XXIV        |        avec vous, cher beau-frère, répondit Diégo avec une affabilité
154    XXIV        |             Oh ! les grands mots ! répondit l’Italien. Les phrases à
155     XXV        |         Que ferais-tu à ma place ? répondit Carrier en éludant ainsi
156     XXV        |        Pinard ? dit-il.~ ~ ~– Oui, répondit Diégo sans hésiter.~ ~ ~–
157     XXV        |                    C’est possible, répondit imperturbablement Fougueray ;
158     XXV        |           fatiguer.~ ~ ~– Sultan ! répondit Diégo en riant. Cet aristocrate
159    XXVI        |          qu’il te faudra, citoyen, répondit la marchande en montrant
160    XXVI        |         tout ce que vous demandez, répondit madame Carbagnolles en souriant
161    XXVI        |           salut public de Paris », répondit Diégo en se redressant sous
162    XXVI        |          Un républicain comme moi, répondit la marchande ; il a des
163    XXVI        |    nomme-t-il ?~ ~ ~– Je l’ignore, répondit madame Carbagnolles ; il
164   XXVII        |       est-ce pas ?~ ~ ~ ~Yvonne ne répondit pas ; mais elle se mit à
165   XXVII        |         demanda-t-elle.~ ~ ~– Oui, répondit l’Italien.~ ~ ~– Pour moi ?
166   XXVII        |            berçait.~ ~ ~ ~Diégo ne répondit pas ; mais il s’avança encore,
167   XXVII        |              En effet, personne ne répondit aux cris de la jeune fille.
168   XXVII        |            aigu de douleur, auquel répondit un cri de joie échappé des
169  XXVIII        |        Alors, l’entrée est libre ! répondit l’autre.~ ~ ~ ~Ces paroles
170  XXVIII        |             Sans doute, Boishardy, répondit le marin, sans doute, et
171  XXVIII        |           vous aurais-je trompés ? répondit le troisième interlocuteur,
172  XXVIII        |            y conduise ?~ ~ ~– Non, répondit Marcof ; attendons Keinec,
173  XXVIII        |        entre les griffes du lion ! répondit Marcof.~ ~ ~– Tonnerre !
174  XXVIII        |           le marin.~ ~ ~– Sauvée ! répondit Keinec avec un élan joyeux
175  XXVIII        |            verrons cela plus tard, répondit Marcof. Maintenant, ne perdons
176  XXVIII        |          es mort !~ ~ ~ ~Carfor ne répondit pas. Marcof lui prit le
177  XXVIII        |          Comment, on n’entre pas ? répondit Pinard avec étonnement.~ ~ ~–
178  XXVIII        |                    Cela est vrai ! répondit Marcof.~ ~ ~– Tandis qu’
179  XXVIII        |          faire ouvrir les prisons, répondit Pinard.~ ~ ~– Alors tu vas
180  XXVIII        |        homme ?~ ~ ~– Allons donc ! répondit le marin, je ne le quitte
181  XXVIII        |      Keinec.~ ~ ~– Bien, mes amis, répondit Marcof. Le temps presse,
182    XXIX        |            Oui, monsieur le comte, répondit le jeune homme.~ ~ ~ ~Et
183    XXIX        |        brusquement.~ ~ ~– En haut, répondit le jeune homme.~ ~ ~– Montons
184    XXIX        |           retournant.~ ~ ~– Rien ! répondit Keinec. Entrons maintenant
185    XXIX        |          Ce n’est pas de la bonté, répondit Keinec en pressant la main
186     XXX        |        demanda Carrier.~ ~ ~– Oui, répondit le marin en s’avançant.~ ~ ~–
187     XXX        |       Parle, alors.~ ~ ~– Il veut, répondit Carfor, il veut avoir le
188     XXX        |     éclaircirent.~ ~ ~– Peut-être, répondit le marin.~ ~ ~– Tu crains
189     XXX        |          est-ce que cela te fait ? répondit le marin, que toutes ces
190     XXX        |           le seuil.~ ~ ~– Citoyen, répondit le pauvre diable, c’est
191     XXX        |         Carrier.~ ~ ~– Fougueray ? répondit le représentant. Je ne sais
192     XXX        |        appelle le tueur de hyènes, répondit Marcof.~ ~ ~– Le tueur de
193     XXX        |            celle de la citoyenne ! répondit Marcof en élevant son verre
194    XXXI        |         voix railleuse.~ ~ ~– Oui, répondit sourdement la courtisane.~ ~ ~–
195    XXXI        |               Qui donc va mourir ? répondit Carrier qui depuis un moment
196    XXXI        |           sang. Un cri d’épouvante répondit à la détonation. Marcof
197    XXXI        |         par ma faute !~ ~ ~– Non ! répondit Boishardy, tout est sauvé ;
198    XXXI        |          vois ce qu’il nous faut ? répondit Boishardy.~ ~ ~– Oui ; mais
199    XXXI        |       longtemps.~ ~ ~– Impossible, répondit Marcof ; Pinard m’a affirmé
200    XXXI        |       accompagner ?~ ~ ~– Inutile, répondit Boishardy, nous trouverons
201    XXXI        |       écria-t-il.~ ~ ~– Tais-toi ! répondit le marin en tirant son poignard.~ ~ ~–
202    XXXI        |   Boishardy.~ ~ ~– Oui, messieurs, répondit le marquis de Loc-Ronan
203    XXXI        |            nous mourrons ensemble, répondit Philippe. Une arme ! Donnez-moi
204    XXXI        |      Essayons toujours de vaincre, répondit Marcof.~ ~ ~– Non, non,
205    XXXI        |         Marcof.~ ~ ~– Ils le sont, répondit le geôlier. Détachez-les
206    XXXI        |           Jocelyn et toi, d’abord, répondit Marcof.~ ~ ~– Mais…~ ~ ~–
207    XXXI        |            est parti en éclaireur, répondit Philippe.~ ~ ~– Silence !
208    XXXI        |              je réponds du reste ! répondit le chouan qui venait de
209      Ep,      1|           du regard.~ ~ ~– Parle ! répondit le marin.~ ~ ~ ~L’Italien
210      Ep,      1|          desquels je vous conduis, répondit le marin, qui d’un geste
211      Ep,      1|           une heure, mademoiselle, répondit le marin, vous serez près
212      Ep,      1|                   Oui, commandant, répondit le mousse en se précipitant
213      Ep,      1|     mouillage, dit-il.~ ~ ~– Bien, répondit Marcof.~ ~ ~ ~Puis, se tournant
214      Ep,      1|      souffres bien, n’est-ce pas ? répondit Keinec.~ ~ ~– Non, fit le
215      Ep,      2|        marquise.~ ~ ~– Ce journalrépondit Philippe en désignant le
216      Ep,      2|         que ses propres instincts, répondit Jahoua. J’ai connu jadis
217      Ep,      2|         murmura-t-elle.~ ~ ~– Oui, répondit le fermier, Jahoua qui voulait
218      Ep,      2|      habits.~ ~ ~– Dans sa cabine, répondit le vieux marin.~ ~ ~– Merci.~ ~ ~ ~
219      Ep,      2|          qu’Yvonne soit heureuse ! répondit Keinec d’une voix sourde ;
220      Ep,      3|        avec étonnement.~ ~ ~– Non, répondit Philippe ; il se prépare
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