Partie,  Chap.

 1     III        |            Il était envoyé par le comte de Provence. Enfin, en dernier
 2     III        |    royaume, Son Altesse Royale le comte de Provence.~ ~ ~– Un brevet
 3      IV        |      forêts.~ ~ ~– Et que fait le comte de La Bourdonnaie ? demanda
 4      VI        |           triste désert. Enfin le comte Alain Barbe-Torte résolut
 5      VI        |          bataille, les soldats du comte, privés d’eau depuis plusieurs
 6      VI        |     commerce revint, et, grâce au comte médecin, la santé reprit
 7      VI        |   illustre d’Henri de Talleyrand, comte de Chalais, qui ne se détacha
 8       X        |    appelais tout haut monsieur le comte de Fougueray, tu pourrais
 9    XIII        |           que j’aime, monsieur le comte.~ ~ ~– Au fait, Boishardy
10    XIII        |          chevalier de Tessy et du comte de Fougueray, Boishardy
11    XIII        | accusait-il de sa mort ?~ ~ ~– Le comte de Fougueray.~ ~ ~– Son
12    XIII        |           n’était pas le frère du comte.~ ~ ~– Qu’est-ce donc ?~ ~ ~–
13    XIII        |           Raphaël qui trompait le comte de Fougueray ; était-ce
14    XIII        |           Fougueray ; était-ce le comte de Fougueray qui se servait
15    XXIV        |         monta au visage.~ ~ ~– Le comte de Fougueray ! dit-il en
16    XXIV        |     Loc-Ronan !~ ~ ~– Monsieur le comte !~ ~ ~– Encore une fois,
17    XXVI        |         dont avait su se doter le comte de Fougueray :~ ~ ~– Citoyenne,
18   XXVII        |          reconnais ! Vous êtes le comte de Fougueray !~ ~ ~ ~Diégo,
19    XXIX        |                  Oui, monsieur le comte, répondit le jeune homme.~ ~ ~ ~
20     XXX        |      envoyer chercher ? Est-ce le comte de Fougueray avec lequel
21    XXXI        |             Non.~ ~ ~– C’était le comte de Fougueray.~ ~ ~– Le comte
22    XXXI        |      comte de Fougueray.~ ~ ~– Le comte de Fougueray ?~ ~ ~– Eh
23    XXXI        |              Eh oui, morbleu ! le comte de Fougueray. C’est sur
24      Ep,      1|        patrie. Mon frère aîné, le comte de Fougueray, nous proposa