Partie,  Chap.

 1     III        |        vu La Rochejacquelein ? Celui-ci est passé ici se rendant
 2      IV        |        mille gars semblables à celui-ci, s’écria Boishardy lorsque
 3    VIII        |        raisons qui empêchaient celui-ci de la faire jeter en prison.~ ~ ~ ~
 4    VIII        |   paquet de papiers à Carrier. Celui-ci s’empressa de les ouvrir
 5      IX        |      la feuille à Diégo.~ ~ ~ ~Celui-ci la prit et la mit dans sa
 6     XII        | orgueil satisfait du corsaire. Celui-ci se dirigea vers l’arrière,
 7      XV        |      gentilhomme, au point que celui-ci, s’approchant davantage
 8      XV        |      un livre placé en montre. Celui-ci est curieux !~ ~ ~ ~En effet,
 9      XV        |   monture sur le libraire, que celui-ci recula vivement pour ne
10      XV        |        sur l’épaule de Brutus. Celui-ci se retourna :~ ~ ~– Tiens,
11     XVI        |        eût terrifié Brutus, si celui-ci l’eût regardé. De sa main
12   XVIII        |      demanda le chef du poste. Celui-ci le renvoya à Pinard, qui
13    XXII        |       diable ! D’ailleurs, que celui-ci me donne les millions en
14    XXIV        |  dévotion du prétendu sorcier. Celui-ci s’est renseigné d’abord
15     XXV        |      qu’après l’arrestation de celui-ci que je me rendrai au Bouffay.~ ~ ~–
16    XXVI        |        que désirait Fougueray. Celui-ci fit son choix, et, ayant
17   XXVII        |      avait été si brusque, que celui-ci demeura lui-même comme étourdi
18  XXVIII        |   laquelle veillait un soldat. Celui-ci présenta les armes à l’officier,
19  XXVIII        |        un nouveau personnage ; celui-ci, qui arrivait au pas de
20  XXVIII        |        une fois jadis, lorsque celui-ci fuyait des souterrains de
21    XXIX        |      pièce que Diégo, bien que celui-ci fût incapable d’essayer
22    XXIX        |   porta à ses lèvres avant que celui-ci eût pu deviner son intention
23    XXXI        |       à l’officier de service. Celui-ci la prit, puis la mettant
24    XXXI        |  Marcof laissait agir son ami. Celui-ci alla droit au bureau du