Partie,  Chap.

 1       V        |          Comment cela ?~ ~ ~– J’étais à Rennes jadis, lorsque
 2       V        |       de ménage, chagrin dont j’étais tout d’abord fort loin de
 3       V        |       coquetterie infernales. J’étais alors en Vendée, La Rouairie
 4       V        |      passion, me répondit que j’étais dans l’erreur, et que sa
 5       V        |      dirigeant vers la Loire. J’étais, vous le voyez, en plein
 6    XVII        |      Très bien !~ ~ ~– Et si tu étais incarcéré, tu payerais ?~ ~ ~–
 7    XXII        |      aurai les écus ! Allons, j’étais un sot de me tourmenter !
 8   XXIII        |     côté. Sachant bien que si j’étais pris je serais pendu, je
 9   XXIII        |      siennes ; mais…~ ~ ~– Tu t’étais trompé !~ ~ ~– Je le sais.~ ~ ~–
10     XXV        |        Tu as dû apprendre que j’étais tombé, la nuit dernière,
11   XXVII        |        exprimer ma gratitude. J’étais folle tout à l’heure, maintenant
12     XXX        |        Fougueray avec lequel tu étais en relation politique ?
13    XXXI        |         parler d’affaires, et j’étais venu le chercher hier. Eh
14      Ep,      1|       conduire Philippe. Puis j’étais poussé encore par deux autres
15      Ep,      1| interrompit Marie-Augustine ; j’étais privée de la raison. La
16      Ep,      1|       abandonnée. Et pourtant j’étais pauvre, je ne possédais