Partie,  Chap.

  1      II        |              ancien ami à toi.~ ~ ~– Marcof ? s’écria Keinec dont les
  2      II        |                     Mène-moi près de Marcof, Fleur-de-Chêne !~ ~ ~–
  3     III        |             Enfin, en dernier venait Marcof, dont l’œil intelligent
  4     III        |                    Mais, interrompit Marcof, si ce décret a quatre mois
  5     III        |            viennent, alors ! s’écria Marcof en frappant sur la table.~ ~ ~–
  6     III        |            libertés, mon cher.~ ~ ~– Marcof a raison, interrompit Boishardy.
  7     III        |             approuvaient tacitement. Marcof reprit la parole sans laisser
  8     III        |          Comme vous, mon cher.~ ~ ~ ~Marcof pâlit. Boishardy voulut
  9     III        |                   Tonnerre ! s’écria Marcof, on ose nous envoyer de
 10     III        |              pas.~ ~ ~– Oh ! s’écria Marcof ; toujours la même chose
 11     III        |            triples des siennes ! dit Marcof. Enfin, espérons en Dieu,
 12     III        |              congé et s’éloignèrent. Marcof et Boishardy demeurèrent
 13     III        |          dit-il.~ ~ ~– Oui, répondit Marcof.~ ~ ~– Si vous aviez été
 14     III        |               Tuer Carrier, répondit Marcof sans la moindre hésitation.~ ~ ~–
 15     III        |         revenant se poser en face de Marcof :~ ~ ~– Vous partez demain ?
 16     III        |                   Comment cela ? dit Marcof étonné.~ ~ ~– Je vous aide.~ ~ ~–
 17     III        |          nous le sauverons.~ ~ ~ ~Et Marcof, prenant Boishardy dans
 18      IV        |             de Boishardy connaissait Marcof depuis longtemps. Comme
 19      IV        |              et vive. L’expansion de Marcof le toucha profondément.
 20      IV        |       fiévreuse nature. Le projet de Marcof d’aller à Nantes délivrer
 21      IV        |     Boishardy, et se retournant vers Marcof : nous allons avoir des
 22      IV        |              La Bourdonnaie ? ajouta Marcof.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Qui donc
 23      IV        |            des deux chefs. En voyant Marcof, le jeune homme ne put retenir
 24      IV        |          saisit pour les lui baiser, Marcof l’arrêta vivement en le
 25      IV        |              Keinec ? demanda-t-il à Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit le
 26      IV        |       massacrés.~ ~ ~– Et Yvon ? fit Marcof vivement.~ ~ ~– Il est mort !~ ~ ~–
 27      IV        |             Qu’est-ce que cela ? fit Marcof en se penchant en avant.~ ~ ~–
 28      IV        |         succès ?~ ~ ~– Certes.~ ~ ~ ~Marcof fit un geste d’étonnement.~ ~ ~–
 29      IV        |                   Mais, fit observer Marcof, pouvez-vous bien vous absenter
 30      IV        |            Je réponds de Keinec, dit Marcof à voix basse. D’ailleurs,
 31      IV        |             un bleu ou d’un traître. Marcof et moi nous partirons cette
 32      IV        |      Boishardy stupéfait, tandis que Marcof faisait un geste d’étonnement.~ ~ ~–
 33      IV        |            interlocuteur.~ ~ ~– Avec Marcof ?~ ~ ~– Oui encore.~ ~ ~–
 34      IV        |                    Boishardy regarda Marcof. Keinec surprit ce coup
 35      IV        |             la main du marin :~ ~ ~– Marcof, lui dit-il, tu sais si
 36      IV        |            rester au placis ? ajouta Marcof.~ ~ ~– Vous auriez tort,
 37      IV        |              comme un père respecté, Marcof. Tu m’as vu à l’œuvre, et
 38      IV        |            je veux servir la tienne, Marcof. C’est mon droit, et vous
 39      IV        |             fait plier. Boishardy et Marcof se regardèrent de nouveau.
 40      IV        |              un léger signe de tête. Marcof posa la main sur l’épaule
 41      IV        |            bien des choses, répondit Marcof.~ ~ ~– Je le crois aussi.~ ~ ~–
 42      IV        |       adresse à votre honneur.~ ~ ~ ~Marcof prit une liasse de papiers
 43      IV        |             du château de Loc-Ronan. Marcof le Malouin les déposa sur
 44      IV        |           près de l’autel improvisé. Marcof l’appela.~ ~ ~– Où est Jahoua ?
 45      IV        |            de pénétrer Keinec.~ ~ ~ ~Marcof en gagna l’entrée et en
 46      IV        |           Bien parlé, mon gars ! dit Marcof en entrant.~ ~ ~ ~Et, approchant
 47       V        |             Vers dix heures du soir, Marcof quitta la cabane de Mariic,
 48       V        |              Vous avez lu ? répondit Marcof en désignant le manuscrit.~ ~ ~–
 49       V        |               La misérable ! murmura Marcof.~ ~ ~– Attendez donc, mon
 50       V        |          Horrible créature ! s’écria Marcof ; et elle prostitue ainsi
 51       V        |              Racontez vite, mon cher Marcof ; tout cela m’intéresse
 52       V        |              vous le savez, commença Marcof, séjourna quelque temps
 53       V        |         vivement Boishardy en voyant Marcof s’arrêter pour reprendre
 54       V        |                    Vous vous appelez Marcof ? me dit-elle d’une voix
 55       V        |            de la nuit, était Keinec, Marcof et Boishardy le suivaient.~ ~ ~ ~
 56       V        |                   En avant ! murmura Marcof.~ ~ ~ ~Presque aussitôt
 57      VI        |       Carrier.~ ~ ~ ~Le jour mêmeMarcof confiait à Boishardy les
 58    VIII        |          puis ?~ ~ ~– Un marin nommé Marcof.~ ~ ~– Sois tranquille ;
 59       X        |              Un diable incarné nommé Marcof, frère naturel du marquis.~ ~ ~–
 60       X        |            naturel du marquis.~ ~ ~– Marcof ! murmura Carrier. Hermosa
 61       X        |            chance de n’avoir pas tué Marcof.~ ~ ~– Ça, c’est bien vrai.~ ~ ~–
 62       X        |               elle pourra rencontrer Marcof, Keinec ou Jahoua et mettre
 63       X        |         fiancée de Jahoua, l’amie de Marcof, celle que Keinec adore,
 64     XII        |            Aucune nouvelle de terre. Marcof aurait-il échoué dans son
 65     XII        |          sans doute des nouvelles de Marcof.~ ~ ~– Je ne crois pas.~ ~ ~–
 66     XII        |              mousse avec joie.~ ~ ~– Marcof ! fit la religieuse en s’
 67     XII        |           bord avec le petit navire. Marcof, suivi de Boishardy et de
 68     XII        |             religieuse s’avança vers Marcof et lui tendit sa petite
 69     XII        |               Enfin il s’approcha de Marcof qui venait de quitter Julie,
 70     XII        |              Comment cela ? répondit Marcof en souriant.~ ~ ~– Mais
 71     XII        |       présenter, je vous suis.~ ~ ~ ~Marcof se dirigea vers l’escalier
 72     XII        |            les égards.~ ~ ~ ~Lorsque Marcof avait conduit Julie à son
 73     XII        |           empressés dont l’entourait Marcof.~ ~ ~– Vous êtes reine et
 74     XII        |         paroles. Puis, le soir même, Marcof était parti pour le placis
 75     XII        |              premières tentatives de Marcof furent vaines et que son
 76     XII        |              le sauverai ! avait dit Marcof en quittant pour la seconde
 77     XII        |       péniblement attendue du marin. Marcof lui avait promis de revenir
 78     XII        |              courage, voudrait aider Marcof de tout son pouvoir, et
 79     XII        |              marchant sur les pas de Marcof, était donc descendu dans
 80     XII        |        effaçant pour livrer passage. Marcof et Boishardy pénétrèrent
 81     XII        |            ce pronostic lugubre, que Marcof et Boishardy se sentirent
 82     XII        |           Julie.~ ~ ~– Non, répondit Marcof ; nous passons la journée
 83     XII        |                  Faites et ordonnez, Marcof, dit Boishardy ; je me fie
 84     XII        |     manuscrits que lui avait confiés Marcof ; il connaissait l’histoire
 85     XII        |            lougre.~ ~ ~ ~Jusqu’alors Marcof avait veillé en personne
 86    XIII        |            mouillerons pas, répondit Marcof. Tiens le cap droit devant
 87    XIII        |    conséquence.~ ~ ~– Mais, mon cher Marcof, vous oubliez encore que,
 88    XIII        |          objection à soulever.~ ~ ~ ~Marcof monta sur le pont ; cinq
 89    XIII        |             du crépuscule. Néanmoins Marcof, ignorant s’il se trouvait
 90    XIII        |        quatre heures du matin.~ ~ ~ ~Marcof, avant de mouiller, envoya
 91    XIII        |      trouvait.~ ~ ~– Très bien ! dit Marcof avec joie ; nous sommes
 92    XIII        |             le milieu du fleuve, dit Marcof au vieux maître. Aucun homme
 93    XIII        |       balbutier quelques mots ; mais Marcof l’arrêta.~ ~ ~– Pas de phrases !
 94    XIII        |             fois le courageux marin, Marcof s’élança dans un canot que
 95    XIII        |              homme arma les avirons, Marcof s’assit à la barre, et l’
 96    XIII        |                     Un noyé ! répéta Marcof en saisissant une gaffe.~ ~ ~–
 97    XIII        |            fit Boishardy en arrêtant Marcof. Le sauvetage n’est pas
 98    XIII        |           Mais en voici encore ! dit Marcof stupéfait.~ ~ ~ ~Bientôt,
 99    XIII        |                   Tonnerre ! s’écria Marcof : la Loire est-elle donc
100    XIII        |            la racine de ses cheveux. Marcof et Boishardy se regardaient
101    XIII        |         trouvait à quelque distance, Marcof l’appela.~ ~ ~– Que signifie
102    XIII        |           transmis l’ordre donné par Marcof de se rendre à Lavau. Le
103    XIII        |      compagnons.~ ~ ~– Oui, répondit Marcof ; nous serons à Nantes au
104    XIII        |              Pourquoi donc ? demanda Marcof.~ ~ ~– Regardez nos habits.~ ~ ~–
105    XIII        |         prévu tout cela, interrompit Marcof ; ne vous inquiétez de rien.
106    XIII        |                murmura Keinec.~ ~ ~ ~Marcof l’entendit.~ ~ ~– Tu espères
107    XIII        |           pas cette histoire, ajouta Marcof. Raconte-la-lui, Keinec ;
108    XIII        |       échangea un regard rapide avec Marcof.~ ~ ~– Ce sont les mêmes,
109    XIII        |              pouvoir achever, ajouta Marcof avec un mouvement de colère.~ ~ ~–
110    XIII        |             Que pensez-vous de cela, Marcof ?~ ~ ~– Je ne sais que supposer !
111    XIII        |           elle vit encore ! répondit Marcof.~ ~ ~– N’en doute pas !
112    XIII        |              la retrouvons, continua Marcof, malheur à ceux qui l’auront
113     XIV        |              Erdre.~ ~ ~ ~Boishardy, Marcof et Keinec, semblaient méconnaissables
114     XIV        |       battrait-on à Nantes ? murmura Marcof.~ ~ ~– Pas possible !~ ~ ~–
115     XIV        |            le citoyen Carrier.~ ~ ~ ~Marcof et Boishardy se regardèrent.~ ~ ~–
116     XIV        |             guillotine ? interrompit Marcof avec impatience.~ ~ ~– Eh
117     XIV        |             ça tous les jours.~ ~ ~ ~Marcof poussa un soupir qui ressemblait
118     XIV        |                 C’est fini ! s’écria Marcof.~ ~ ~– Êtes-vous fou ? répondit
119     XIV        |           elle ne tardera pas.~ ~ ~ ~Marcof ne répondit pas, mais il
120     XIV        |              net et pointa. Celui de Marcof poussa un hennissement et
121     XIV        |           voici un second ! continua Marcof.~ ~ ~– Et un troisième,
122     XIV        |            pavée de cadavres !~ ~ ~ ~Marcof ne se trompait pas. La lune
123     XIV        |            vite de ce charnier ! dit Marcof d’une voix sourde.~ ~ ~–
124     XIV        |        résolution et de fermeté, que Marcof et Boishardy tressaillirent.
125     XIV        |            Mon Dieu ! dit subitement Marcof en pâlissant encore sous
126     XIV        |        Boishardy. Cela ne peut être, Marcof ; cette pensée est presque
127     XIV        |                Vous avez raison, dit Marcof en baissant la tête.~ ~ ~ ~
128      XV        |      applaudirent avec enthousiasme. Marcof et Boishardy échangèrent
129      XV        |                    Pendant ce temps, Marcof et Boishardy, toujours dans
130      XV        |       Discipline républicaine.~ ~ ~ ~Marcof, sans se préoccuper de la
131      XV        |          effet, le livre indiqué par Marcof portait cet entête significatif :~ ~ ~«
132      XV        |        Niveau.~ ~ ~– Niveau ? répéta Marcof avec étonnement.~ ~ ~– Eh
133      XV        |           complète ?~ ~ ~– Oui ! dit Marcof en avançant à son tour.~ ~ ~–
134      XV        |              crieurs des rues.~ ~ ~ ~Marcof arracha plutôt qu’il ne
135      XV        |          aimes ; cela se voit.~ ~ ~ ~Marcof n’entendit pas cette réflexion,
136      XV        |            en désignant Boishardy et Marcof, sont des aristocrates ou
137      XV        |         demanda vivement Boishardy à Marcof, qui froissait dans sa main
138      XV        |              encombrait déjà lorsque Marcof, Boishardy et Keinec y pénétrèrent.
139      XV        |          partout à Nantes ! répondit Marcof.~ ~ ~– Tournons bride alors ;
140      XV        |        toujours, Boishardy, répondit Marcof à voix basse ; la dernière
141      XV        |         colère du pauvre gars.~ ~ ~ ~Marcof se retourna vers le jeune
142      XV        |          arrivés trop tard, répondit Marcof en se mêlant à la conversation.~ ~ ~–
143      XV        |              eu lieu l’avant-veille. Marcof et Boishardy comprirent
144      XV        |      Boishardy saisissait la main de Marcof, et la lui serrait silencieusement.~ ~ ~–
145      XV        |      Boishardy se mordit les lèvres, Marcof voulut s’approcher de son
146      XV        |            attention du jeune homme. Marcof et Boishardy firent simultanément
147      XV        |       viens-tu l’offenser ? répondit Marcof en souriant.~ ~ ~– C’est
148      XV        |         répondirent de toutes parts. Marcof et Boishardy se retournèrent
149      XV        |    entouraient.~ ~ ~– Tais-toi ! dit Marcof à voix basse. Tais-toi !
150      XV        |             que l’avait dit l’ami de Marcof, une femme et un vieillard.
151      XV        |             quais. Boishardy regarda Marcof.~ ~ ~– Allons avec eux,
152      XV        |             ici avec les amis.~ ~ ~ ~Marcof, Boishardy et Keinec s’éloignèrent,
153     XVI        |          soldats se referma sur eux. Marcof, Boishardy et Keinec frémissaient
154     XVI        |            avoir cinquante ans ? fit Marcof d’une voix parfaitement
155     XVI        |            sais où le trouver.~ ~ ~ ~Marcof serra le bras de Boishardy,
156     XVI        |            La suite à demain !~ ~ ~ ~Marcof et Keinec se tenaient appuyés
157     XVI        |          dans l’air.~ ~ ~ ~Un moment Marcof et ses amis se crurent transportés
158     XVI        |           les plus invraisemblables. Marcof se rappelait les Calabres,
159     XVI        |            troupe se remit en route. Marcof et Keinec s’étaient rapprochés
160     XVI        |                  Je pense comme toi, Marcof !~ ~ ~– C’est bien ! Je
161     XVI        |                    Pendant ce temps, Marcof qui s’était glissé près
162    XVII        |             était déjà engagée entre Marcof, Boishardy et les membres
163    XVII        |           Marat.~ ~ ~– Ainsi, disait Marcof qui poursuivait toujours
164    XVII        |             C’est possible, répondit Marcof ; j’ai connu du monde jadis
165    XVII        |                 Au lieu de répondre, Marcof se laissa aller sur le dossier
166    XVII        |              lire pour toi.~ ~ ~ ~Et Marcof se levant, et déployant
167    XVII        |              qui veut dire, continua Marcof, liberté à chacun de faire
168    XVII        |            pas encore trempé !~ ~ ~ ~Marcof parlait ainsi en se laissant
169    XVII        |             que sur un seul geste de Marcof, il allait prendre part
170    XVII        |              Brutus en s’adressant à Marcof, tandis que maître Nicoud
171    XVII        |             clef.~ ~ ~ ~Boishardy et Marcof échangèrent de nouveau un
172    XVII        |         poignée de leur sabre.~ ~ ~ ~Marcof et Keinec bondirent sur
173    XVII        |             C’est mon avis, répondit Marcof en souriant.~ ~ ~– À la
174    XVII        |           parleras même plus, ajouta Marcof ; car nous t’en livrerons
175    XVII        |            appelle le second ?~ ~ ~– Marcof le Malouin.~ ~ ~– Celui
176    XVII        |           peine ! répondit le marin. Marcof a dit qu’il tuerait Carrier
177    XVII        |              le faire. Ah ! continua Marcof en donnant enfin libre cours
178    XVII        |            le prix du sang ; je suis Marcof le Malouin ! Vive le roi !~ ~ ~–
179    XVII        |           ils avaient affaire.~ ~ ~ ~Marcof et Boishardy levèrent leurs
180    XVII        |       atteindre personne. Boishardy, Marcof et Keinec ne se servaient
181    XVII        |        certain de la victoire, quand Marcof l’atteignit et l’envoya
182    XVII        |             d’eux ne palpitait plus. Marcof, la bouche entrouverte,
183    XVII        |                  Tonnerre ! répondit Marcof en soupirant, pourquoi n’
184    XVII        |              Pas encore, interrompit Marcof ; ne compromettons pas nos
185    XVII        |              un geste d’assentiment. Marcof tira sa bourse de sa poche
186    XVII        |              au dehors. Boishardy et Marcof restèrent seuls. Ils repoussèrent
187   XVIII        |            la salle où se trouvaient Marcof et Boishardy était éclairée,
188   XVIII        |            dont venait de le charger Marcof. Keinec referma la porte
189   XVIII        |         intérieur de la ville.~ ~ ~– Marcof et Boishardy à Nantes !
190   XVIII        |           satisfaire sa haine contre Marcof et Keinec ; de l’autre,
191     XIX        |              ET TIGRE~ ~Boishardy et Marcof étaient demeurés dans la
192     XIX        |           Keinec.~ ~ ~ ~Boishardy et Marcof se dirigèrent vers la porte
193     XIX        |              leurs branchages noirs. Marcof écoutait toujours avec une
194     XIX        |           dit-il à voix basse.~ ~ ~ ~Marcof lui fit signe de garder
195     XIX        |           deux pas devant soi…~ ~ ~ ~Marcof l’interrompit en lui saisissant
196     XIX        |            nous !~ ~ ~ ~Boishardy et Marcof saisirent leurs pistolets
197     XIX        |                Les chevaux ! s’écria Marcof.~ ~ ~ ~C’était en effet
198     XIX        |             pâle une partie du quai. Marcof et Boishardy, imitant le
199     XIX        |            donc découverts ? demanda Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit Keinec.~ ~ ~–
200     XIX        |                  Ian Carfor ! répéta Marcof en arrêtant son cheval par
201     XIX        |             il eut achevé son récit, Marcof sauta à bas de son cheval.~ ~ ~–
202     XIX        |            pas environ de la maison, Marcof fit arrêter Boishardy près
203     XIX        |            prends ce poignard.~ ~ ~ ~Marcof tirant deux espèces de dagues
204     XIX        |        vivant.~ ~ ~– Compte sur moi, Marcof ! Ou je mourrai sous tes
205     XIX        |       pénétrer dans la cour, lorsque Marcof le retint encore par la
206     XIX        |              appuya sur la gauche et Marcof gagna le côté droit, puis
207     XIX        |            Ainsi que l’avait supposé Marcof, Pinard avait laissé au
208     XIX        |        hommes. Toujours persuadé que Marcof, Boishardy et Keinec n’avaient
209     XIX        |           allaient avoir à affronter Marcof et Keinec pour pénétrer
210     XIX        |             ardemment fixé en avant. Marcof imitant la même marche,
211     XIX        |        arrêté, appartenait à Keinec, Marcof ne s’en préoccupa donc pas.
212     XIX        |  sans-culotte au pied duquel passait Marcof. Le marin profitant de l’
213     XIX        |        devant le royaliste accroupi. Marcof avait la main gauche appuyée
214     XIX        |     atteignit l’endroit où se tenait Marcof.~ ~ ~ ~Les nerfs du marin
215     XIX        |           lame acérée du poignard de Marcof au cou de la sentinelle,
216     XIX        |           une seule plainte. À peine Marcof se redressait-il, que Keinec
217     XIX        |      tâcherai.~ ~ ~– Viens.~ ~ ~ ~Et Marcof entra résolument dans l’
218     XIX        |         arrivant près de l’escalier, Marcof se trouva face à face avec
219     XIX        |        répéta le sans-culotte.~ ~ ~ ~Marcof passa devant le soldat de
220     XIX        | sans-culottes portant des flambeaux. Marcof, en arrivant au sommet de
221     XIX        |            derrière un sans-culotte. Marcof, frappant dans le vide,
222     XIX        |                    Pendant ce temps, Marcof s’était relevé et terrassait
223     XIX        |                hâtons-nous ! s’écria Marcof en s’élançant en avant.~ ~ ~ ~
224     XIX        |              par huit ou dix hommes. Marcof brandit sa hache et sauta
225     XIX        |           accoururent de tous côtés. Marcof tomba au milieu d’un cercle
226      XX        |           puissant auxiliaire.~ ~ ~ ~Marcof avait abattu trois hommes
227      XX        |              en dehors de la maison, Marcof voulait lui donner le temps
228      XX        |       portait sur ses épaules.~ ~ ~ ~Marcof s’opposa donc comme une
229      XX        |             ils allaient s’adresser. Marcof rugissait comme le lion
230      XX        |     frémissait d’une ardeur sauvage. Marcof, ainsi, était admirable
231      XX        |           forces herculéennes.~ ~ ~ ~Marcof avait oublié et la noble
232      XX        |           balle effleura l’épaule de Marcof, l’autre arriva en plein
233      XX        |            était plus tenable.~ ~ ~ ~Marcof s’était bien emparé d’une
234      XX        |             force et d’adresse entre Marcof et Boishardy, que les sans-culottes,
235      XX        |             s’empara d’eux en voyant Marcof qui se relevait et revenait
236      XX        |           fuite par le verger.~ ~ ~ ~Marcof bondit pour les poursuivre ;
237      XX        |             que montait son gardien. Marcof et Boishardy se mirent en
238      XX        |          poings, je n’ai rien fait ! Marcof a agi seul.~ ~ ~– Ne dis
239      XX        |              Saint-Étienne, répondit Marcof.~ ~ ~– Chez Kérouac, qui
240      XX        |      inquiète pas !~ ~ ~ ~Tandis que Marcof répondait ainsi aux questions
241      XX        |             sa droite et à sa gauche Marcof et Boishardy galopant rapidement,
242      XX        |      Boishardy en se retournant vers Marcof, lorsque vous aurez tiré
243      XX        |              ses réponses, dit enfin Marcof.~ ~ ~ ~
244     XXI        |  Saint-Herblain.~ ~ ~– Non, répondit Marcof ; cela nous ferait faire
245     XXI        |            le pays du sud à l’ouest. Marcof et Keinec le suivirent.
246     XXI        |          plus profonde encore.~ ~ ~ ~Marcof sauta à terre et heurta
247     XXI        |            Pas précisément, répondit Marcof ; mais nous avons bon espoir,
248     XXI        |         effaçant pour laisser passer Marcof, Boishardy et Keinec qui
249     XXI        |         Pinard sur un siège, lorsque Marcof l’arrêta.~ ~ ~– Pas ici,
250     XXI        |       Boishardy.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~ ~Et Marcof, prenant une lumière, conduisit
251     XXI        |                     Jette-le là, dit Marcof à Keinec en désignant le
252     XXI        |        mouvement qui n’échappa pas à Marcof.~ ~ ~– Le drôle revient
253     XXI        |          ancien berger de Penmarckh. Marcof vit l’émotion profonde qui
254     XXI        |                   Celui-là, répondit Marcof, celui-là nous procurera
255     XXI        |             t’entends et je te vois, Marcof ; mais sache bien que si
256     XXI        |        bandit parle de son âme ! fit Marcof en riant. Il nous défie ;
257     XXI        |              fit un geste de dégoût. Marcof haussa les épaules.~ ~ ~–
258     XXI        |           plaque, dit tranquillement Marcof ; nous, pendant ce temps,
259     XXI        |            aux charbons étincelants. Marcof et Keinec avaient délié
260     XXI        |              sa chemise ; cela fait, Marcof étendit le corps de Pinard
261     XXI        |          chaude ? demanda froidement Marcof.~ ~ ~– Oui, répondit Boishardy
262     XXI        |        apparaissaient scintillantes. Marcof secoua la tête en signe
263    XXII        |           PUBLIC~ ~À l’heure mêmeMarcof, Boishardy et Keinec, enfermés
264    XXII        |        plutôt par un seul homme, car Marcof avait lutté presque seul ;
265    XXII        |           dont on lui parlait ne fût Marcof.~ ~ ~ ~Marcof à Nantes !
266    XXII        |         parlait ne fût Marcof.~ ~ ~ ~Marcof à Nantes ! Il y avait bien
267    XXII        |           faire part des exploits de Marcof.~ ~ ~– Malheureusement,
268    XXII        |             Quel est son nom ?~ ~ ~– Marcof le Malouin.~ ~ ~– Marcof
269    XXII        |             Marcof le Malouin.~ ~ ~– Marcof le Malouin ? Marcof qui
270    XXII        |                  Marcof le Malouin ? Marcof qui a attaqué le convoi
271    XXII        |             donner le signalement de Marcof ; je vais l’écrire. Fouiller
272    XXII        |    disparaissent. Pinard me gênait ; Marcof m’en débarrasse ! Merci,
273    XXII        |             m’en débarrasse ! Merci, Marcof ! tu ne croyais pas si bien
274    XXII        |              femme sans doute. Damné Marcof ! Grâce à mon génie, à mon
275    XXII        |              à bord du Jean-Louis et Marcof n’est pas retourné à la
276   XXIII        |            victimes.~ ~ ~ ~Ainsi que Marcof l’avait raconté à Boishardy,
277    XXIV        |            chose sera le supplice de Marcof le Malouin, de Marcof le
278    XXIV        |             de Marcof le Malouin, de Marcof le chouan, de Marcof ton
279    XXIV        |              de Marcof le chouan, de Marcof ton frère, entends-tu ?~ ~ ~–
280    XXIV        |            frère, entends-tu ?~ ~ ~– Marcof ! répéta Philippe.~ ~ ~–
281    XXIV        |          agir. Dans quelques heures, Marcof et ses compagnons seront
282    XXIV        |         pauvre homme est le frère de Marcof ! Eh bien ! je vais d’abord
283     XXV        |            emparerai de deux chefs : Marcof et Boishardy. Demain tu
284   XXVII        |       assisté à l’interrogatoire que Marcof s’était préparé à faire
285   XXVII        |           venait de parcourir.~ ~ ~ ~Marcof, lors de ses précédents
286  XXVIII        |           veille au soir, Boishardy, Marcof et Keinec. Deux des trois
287  XXVIII        |           rendez-vous, n’est-ce pas, Marcof ?~ ~ ~– Sans doute, Boishardy,
288  XXVIII        |         Alors tu tiendras ta parole, Marcof ?~ ~ ~– Est-ce que j’ai
289  XXVIII        |       conduise ?~ ~ ~– Non, répondit Marcof ; attendons Keinec, dès
290  XXVIII        |                     Il va venir, fit Marcof.~ ~ ~– Oui ! si le pauvre
291  XXVIII        |           donc ? demanda brusquement Marcof en soutenant Carfor qui
292  XXVIII        |           griffes du lion ! répondit Marcof.~ ~ ~– Tonnerre ! Keinec
293  XXVIII        |          tout doit bien aller.~ ~ ~ ~Marcof s’arrêta en fixant son œil
294  XXVIII        |             revinrent vers Carfor et Marcof.~ ~ ~– Eh bien ? demanda
295  XXVIII        |              même temps Boishardy et Marcof.~ ~ ~– Yvonne ! Yvonne est
296  XXVIII        |             cela plus tard, répondit Marcof. Maintenant, ne perdons
297  XXVIII        |              Carfor ne répondit pas. Marcof lui prit le bras et tous
298  XXVIII        |            Carfor, toujours enlacé à Marcof, les remercia de leurs démonstrations
299  XXVIII        |            Fougueray. Carfor regarda Marcof avec inquiétude. Le marin
300  XXVIII        |           endroit où il se trouvait, Marcof s’arrêta et ses compagnons
301  XXVIII        |  contre-temps ! dit Boishardy.~ ~ ~ ~Marcof frappa du pied avec impatience.
302  XXVIII        |            ne vous trompe pas.~ ~ ~ ~Marcof haussa les épaules.~ ~ ~–
303  XXVIII        |                   Écoutez-moi alors, Marcof, et vous allez comprendre.
304  XXVIII        |             Cela est vrai ! répondit Marcof.~ ~ ~– Tandis qu’en adressant
305  XXVIII        |               Je comprends ! s’écria Marcof ; l’ordre que vous avez
306  XXVIII        |             le chef royaliste.~ ~ ~ ~Marcof réfléchit quelques instants,
307  XXVIII        |              place du Bouffay.~ ~ ~– Marcof ! Marcof ! réfléchissez !~ ~ ~–
308  XXVIII        |              Bouffay.~ ~ ~– Marcof ! Marcof ! réfléchissez !~ ~ ~– À
309  XXVIII        |             Bien, mes amis, répondit Marcof. Le temps presse, agissons
310  XXVIII        |           gens. À bientôt !~ ~ ~ ~Et Marcof, brusquant les adieux dans
311  XXVIII        |             était, comme l’avait dit Marcof, le tigre dompté par le
312  XXVIII        |             prêts à porter secours à Marcof.~ ~ ~ ~Tous deux s’élancèrent
313    XXIX        |          Boishardy. Sans lui et sans Marcof, je ne te sauvais pas. Ils
314    XXIX        |          maintenant et hâtons-nous ! Marcof est peut-être en péril et
315     XXX        |              Comité de salut public, Marcof et Carfor pénétraient dans
316     XXX        |           Pinard, sous l’étreinte de Marcof, joua son rôle à merveille.
317     XXX        |          mort immédiate. Il présenta Marcof comme l’un des braves patriotes
318     XXX        |               Tout en parlant ainsi, Marcof s’était peu à peu rapproché
319     XXX        |         portée de son bras terrible. Marcof fit encore un mouvement,
320     XXX        |             ses ennemis en face, lui Marcof enfin, lever son bras armé
321     XXX        |             qu’il allait accomplir ? Marcof recula.~ ~ ~ ~Carrier ne
322     XXX        |           peu vers la porte, lorsque Marcof releva brusquement la tête.
323     XXX        |             papier, plumes et encre. Marcof se dirigea vers le meuble,
324     XXX        |            il fit un pas en arrière. Marcof lui tournait le dos, et
325     XXX        |         encore et c’en était fait de Marcof ; car la liberté de Pinard
326     XXX        |         Philippe de Loc-Ronan.~ ~ ~ ~Marcof avait pris une plume et
327     XXX        |              bien ? fit-il en voyant Marcof se lever.~ ~ ~– Je ne sais
328     XXX        |             la feuille de papier que Marcof avait repoussée. Que faut-il
329     XXX        |              dit-il en s’adressant à Marcof qui avait repris le bras
330     XXX        |              bien oui, Jocelyn ! dit Marcof étonné de l’accent avec
331     XXX        |            attendre, à moi ! s’écria Marcof qui sentait qu’il allait
332     XXX        |          ordre ? signe-le donc ! dit Marcof en se contenant à peine.~ ~ ~–
333     XXX        |           amis nous attendent.~ ~ ~ ~Marcof dévora son impatience. Il
334     XXX        |           moyen de se débarrasser de Marcof et de se venger de son ennemi.
335     XXX        |             ornait le langage.~ ~ ~ ~Marcof, l’intrépide corsaire, le
336     XXX        |        apanage des villes maritimes, Marcof n’avait jamais contemplé
337     XXX        |         place au centre de la table. Marcof s’assit en face de lui,
338     XXX        |               l’autre à la droite de Marcof.~ ~ ~ ~La table était servie
339     XXX        |           placé sur le même rang que Marcof et presque en face de Carrier.~ ~ ~–
340     XXX        |                 Au nom de Fougueray, Marcof avait tressailli.~ ~ ~–
341     XXX        |              Je souffre trop !~ ~ ~ ~Marcof laissa échapper de ses lèvres
342     XXX        |      compliquait singulièrement pour Marcof. Le marin reconnut sur-le-champ
343     XXX        |            resté vide à la droite de Marcof. Hermosa, occupée de répondre
344     XXX        |         horriblement critique.~ ~ ~ ~Marcof, résolu à tout, la main
345     XXX        |           menaces.~ ~ ~ ~Le geste de Marcof avait attiré tout d’abord
346     XXX        |              elle se trouvait. Alors Marcof releva brusquement la tête,
347     XXX        |              en une scène sanglante. Marcof se taisait, mais ses yeux
348     XXX        |             Carrier en s’adressant à Marcof ; eh ! citoyen, comment
349     XXX        |            tueur de hyènes, répondit Marcof.~ ~ ~– Le tueur de hyènes ?~ ~ ~–
350     XXX        |              la citoyenne ! répondit Marcof en élevant son verre de
351     XXX        |             tu es morte ! lui glissa Marcof à l’oreille, en effleurant
352     XXX        |               tu es jaloux ? riposta Marcof ; vilain défaut, citoyen,
353     XXX        |     cria-t-on de toutes parts.~ ~ ~ ~Marcof grandissait en popularité.
354     XXX        |              a rendu muet ?~ ~ ~ ~Et Marcof, passant encore son bras
355     XXX        |                  Parle donc ! répéta Marcof.~ ~ ~– Qu’ai-je à dire ?
356     XXX        |       compagnie Marat se pencha vers Marcof, et, le regard plus suppliant
357    XXXI        |             s’occuper de son voisin. Marcof alors se pencha vers Hermosa,
358    XXXI        |                     Allons, continua Marcof, il faut que je te raconte
359    XXXI        |            mort.~ ~ ~– On ne tue pas Marcof comme cela. J’ai encore
360    XXXI        |             qui t’environne, s’écria Marcof avec violence. Je le veux !
361    XXXI        |          contenance d’Hermosa.~ ~ ~ ~Marcof, entraîné par la violence
362    XXXI        |              saisissant l’instantMarcof se levait, il avait arraché
363    XXXI        |              voix triomphante.~ ~ ~ ~Marcof fit un bond en arrière au
364    XXXI        |            répondit à la détonation. Marcof comprit qu’il était perdu.~ ~ ~ ~
365    XXXI        |             ouvrait en face de lui ; Marcof n’hésita pas un moment,
366    XXXI        |           course.~ ~ ~ ~Par bonheur, Marcof avait pris la direction
367    XXXI        |   attendaient.~ ~ ~– Perdu ! s’écria Marcof avec désespoir ; tout est
368    XXXI        |           geôliers.~ ~ ~ ~Boishardy, Marcof et Keinec pénétrèrent dans
369    XXXI        |          pénétrèrent dans la prison. Marcof laissait agir son ami. Celui-ci
370    XXXI        |                 Impossible, répondit Marcof ; Pinard m’a affirmé le
371    XXXI        |             bien.~ ~ ~ ~Au momentMarcof et ses compagnons gravissaient
372    XXXI        |              oui, tonnerre ! s’écria Marcof en avançant.~ ~ ~ ~La figure
373    XXXI        |           exclamation joyeuse.~ ~ ~– Marcof ! s’écria-t-il.~ ~ ~– Tais-toi !
374    XXXI        |               Brave garçon ! s’écria Marcof dont les larmes sillonnaient
375    XXXI        |           son tour.~ ~ ~– Tiens, dit Marcof, prends ce poignard.~ ~ ~–
376    XXXI        |        toujours de vaincre, répondit Marcof.~ ~ ~– Non, non, fuyons,
377    XXXI        |              alors saisit la main de Marcof et l’entraîna dans l’obscurité.
378    XXXI        |           les barreaux, fit observer Marcof.~ ~ ~– Ils le sont, répondit
379    XXXI        |             ce côté.~ ~ ~– Mais, dit Marcof, tu avais donc tout préparé ?~ ~ ~–
380    XXXI        |            et toi, d’abord, répondit Marcof.~ ~ ~– Mais…~ ~ ~– Il y
381    XXXI        |             s’élança sur l’autre, et Marcof aida Jocelyn à escalader
382    XXXI        |                cria le gentilhomme à Marcof qui restait immobile.~ ~ ~ ~
383    XXXI        |          renversée dans l’intérieur. Marcof venait de saisir la corde
384    XXXI        |              fracassait la mâchoire. Marcof laissa tomber son pistolet
385    XXXI        |              Où est Keinec ? demanda Marcof.~ ~ ~– Il est parti en éclaireur,
386    XXXI        |              déjà à Nantes ? demanda Marcof sans ralentir la marche.~ ~ ~–
387    XXXI        |        Piétro qui n’avait pas quitté Marcof, et venait d’entendre cette
388    XXXI        |        arrivée d’un nouveau renfort. Marcof et Boishardy comprirent
389    XXXI        |       habilement.~ ~ ~– Fuyez ! cria Marcof. Je reste avec Fleur-de-Chêne
390    XXXI        |        Boishardy et Keinec saisirent Marcof et l’entraînèrent malgré
391    XXXI        |             proconsul.~ ~ ~ ~Quant à Marcof, à Boishardy, à Philippe,
392      Ep,      1|             l’arrière. C’est d’abord Marcof, puis Keinec, Jahoua et
393      Ep,      1|       anxiété visible les paroles de Marcof, qui semble terminer un
394      Ep,      1|                    Piétro interrogea Marcof du regard.~ ~ ~– Parle !
395      Ep,      1|               je l’ai déjà raconté à Marcof, et je le tiens de la bouche
396      Ep,      1|            qui s’est passé après que Marcof vous eut arrachée à une
397      Ep,      1|              au péril de ses jours ! Marcof ! comment vous exprimer
398      Ep,      1|          facile à comprendre, reprit Marcof. Une fois à Paris, les bandits
399      Ep,      1|             visage, et s’adressant à Marcof :~ ~ ~– Ainsi, dans quelques
400      Ep,      1|                     Oh ! interrompit Marcof, vous pouvez dire « mon
401      Ep,      1|              votre généreuse action, Marcof, car il savait, lui, ce
402      Ep,      1|         ignorais ces détails, reprit Marcof. Mon frère lui-même m’engagea
403      Ep,      1|                 Au lieu de répondre, Marcof appela un mousse qui rôdait
404      Ep,      1|             le portefeuille indiqué. Marcof le prit et l’ouvrit ; il
405      Ep,      1|             cachets étaient volants. Marcof tendit l’enveloppe à mademoiselle
406      Ep,      1|         dit-il.~ ~ ~– Bien, répondit Marcof.~ ~ ~ ~Puis, se tournant
407      Ep,      1|              approcha du bastingage. Marcof les suivit des yeux et laissa
408      Ep,      1|            Julie et Yvonne ! s’écria Marcof en se penchant sur le bastingage.~ ~ ~ ~
409      Ep,      1|              le bras que lui offrait Marcof. Un canot accostait le lougre,
410      Ep,      1|            Yvonne. Pendant ce temps, Marcof avait présenté mademoiselle
411      Ep,      2|            Julie de Loc-Ronan.~ ~ ~ ~Marcof, heureux du bonheur dont,
412      Ep,      2|              le prétendait l’auteur, Marcof, disons-nous, n’avait plus
413      Ep,      2|            salle du rez-de-chaussée. Marcof venait d’entrer en tenant
414      Ep,      2|       française.~ ~ ~– Eh bien ? fit Marcof.~ ~ ~– Il s’agit de Carrier.~ ~ ~–
415      Ep,      2|          dernier.~ ~ ~– Ah ! s’écria Marcof ; il y a une justice au
416      Ep,      2|       premiers. »~ ~– Ainsi, s’écria Marcof en s’interrompant, ce misérable
417      Ep,      2|        arrivé sans l’intervention de Marcof !~ ~ ~– Il a conservé jusqu’
418      Ep,      2|             brigands sont morts, dit Marcof ; mais j’aurais voulu les
419      Ep,      2|                 Il le faut, repartit Marcof.~ ~ ~– Tu pars… et je reste.~ ~ ~–
420      Ep,      2|           point du jour. Maintenant, Marcof, j’ai une grâce à vous demander.~ ~ ~–
421      Ep,      2|                  Où vas-tu ? demanda Marcof.~ ~ ~– À bord du lougre ;
422      Ep,      2|            homme s’élança au dehors. Marcof frappa du pied avec impatience.
423      Ep,      2|         crainte ! il est à bord avec Marcof. Mais écoute, Yvonne, le
424      Ep,      2|      bénédiction, je m’embarque avec Marcof, et j’irai chercher l’oubli
425      Ep,      2|            sur le pont.~ ~ ~– Où est Marcof ? demanda le jeune homme
426      Ep,      2|              dans l’entrepont.~ ~ ~ ~Marcof effectivement était assis
427      Ep,      3|           femmes croyaient Keinec et Marcof auprès de Philippe. Elles
428      Ep,      3|             à bord du Jean-Louis, et Marcof va nous le ramener.~ ~ ~–
429      Ep,      3|              de vous remettre.~ ~ ~– Marcof ?~ ~ ~– Oui, monseigneur.~ ~ ~–
430      Ep,      3|          tous ceux que j’aime.~ ~ ~« MARCOF. »~ ~ ~Julie s’arrêta. Des
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