Tome, Chap.

 1  I,   22|             cessé mes caresses. Je fus pris en flagrant ; il n’
 2  I,   22|      aurait pu s’y reconnaître. Je fus convaincu par preuves et
 3  I,   22|      manqua, l’argent aussi, et je fus mis en danger de périr par
 4  I,   27|          frère de don Fernand ; je fus bien reçu de lui, mais non
 5  I,   27|       plaindre ! Enfin, puisque je fus alors imbécile et lâche,
 6  I,   29|            Dorothée, c’est moi qui fus le témoin et la victime
 7  I,   39|           vainqueurs), moi seul je fus malheureux. Au lieu de recevoir,
 8  I,   39|          son prisonnier. Ainsi, je fus le seul triste parmi tant
 9  I,   39|           les Trois-Fanaux. Là, je fus témoin de l’occasion qu’
10  I,   40|         courir la chance, et je ne fus pas plutôt arrivé sous la
11  I,   41|       arriva donc qu’à peine je me fus montré avec mes compagnons,
12  I,   43|          et tant de larmes, que je fus bien obligée de le croire,
13  I,   43|         jaloux de toi que tu ne le fus de cette légère ingrate
14  I,   45|      château, en deux fois que j’y fus hébergé, que je n’ose plus
15  I,   45| enchantement. La première fois, je fus fort ennuyé des visites
16 II,   12|      vengeance.~ ~ ~– Jamais je ne fus dédaigné par ma dame, répondit
17 II,   23|         hésitation, tout à coup je fus saisi d’un profond sommeil,
18 II,   35|         grossière villageoise ; je fus ému de pitié, et, enfermant
19 II,   57|         seigneur duc, jamais je ne fus voleur, et je pense bien
20 II,   63|          cours de nos malheurs, je fus emmenée par deux de mes
21 II,   63|        lait la foi catholique ; je fus élevée dans de bonnes mœurs ;
22 II,   63|            ont tué vos soldats, je fus également suivie par ce
23 II,   66|          fis de mon mieux, mais je fus culbuté, et, bien que j’
24 II,   74|           réputation de fou. Je le fus, il est vrai ; mais je ne