Tome, Chap.

 1  I,    6|            Ah ! je verserais les miennes, dit le curé, si j’avais
 2  I,   15|          averses ; mais pour les miennes, élevées dans la fine toile
 3  I,   17|         à mes épaules.~ ~ ~– Les miennes pourraient en donner aussi,
 4  I,   21|      pour en garder mémoire. Des miennes je ne dis rien, parce qu’
 5  I,   21|   écuyers, je crois bien que les miennes ne resteraient pas entre
 6  I,   22|   cousines qui n’étaient pas les miennes. Finalement, nous avons
 7  I,   28| intentions, favorisa si bien les miennes, que, malgré l’insuffisance
 8  I,   42|          fût-ce même au prix des miennes ? Oh ! qui portera à notre
 9  I,   42|       celles de mon frère et les miennes, sauront bien t’en tirer.
10  I,   52|          forces pour dompter les miennes, je t’en prie, faisons trêve,
11 II,    3|     avait tant à écrire avec les miennes. Sans doute il se sera rappelé
12 II,   16|          quelquefois de dire les miennes, j’entends lorsqu’il n’y
13 II,   26|         qui devait défigurer les miennes. »~ ~ ~Sancho se sentit
14 II,   32|         d’autres épaules que les miennes ; c’est une entreprise où
15 II,   38|      chevalier errant, voici les miennes, qui, toutes faibles et
16 II,   44|       robe, la plus bariolée des miennes, celle qu’ornent des franges
17 II,   60|         charge non seulement les miennes, mais encore celles d’autrui.
18 II,   63|  innocence, si ses larmes et les miennes peuvent, à la faveur de
19 II,   64|       soient, je me contente des miennes. Prenez donc du champ ce
20 II,   67|          ma présence ?~ ~ ~– Les miennes, reprit Sancho, ne me laissent
21 II,   67|         à lui donner puisque les miennes appartiennent toutes à Dulcinée,