Tome, Chap.

 1  I,   20|    tapage de cette eau que nous étions venus chercher, et qui semble
 2  I,   23|        de pierre, nous tous qui étions à l’écouter, si nous n’eussions
 3  I,   23|         élevé, si bien que nous étions tous des rustres, et que,
 4  I,   27|         basse par lesquels nous étions séparés. Mais la nuit qui
 5  I,   39|    après lui avoir dit que nous étions assez jeunes pour avoir
 6  I,   40|       pays232. Mais, quand nous étions le plus loin de croire que
 7  I,   41|        barque. Pendant que nous étions encore à balancer, arriva
 8  I,   41|        d’une voix basse si nous étions nazarani250, c’est-à-dire
 9  I,   41|       étaient écoulées que nous étions tous réunis dans la barque.
10  I,   41| commença de poindre ; mais nous étions à peine à trois portées
11  I,   41|     vent si favorable, que nous étions persuadés de nous voir,
12  I,   41| troubler notre allégresse. Nous étions en pleine mer, à plus de
13  I,   41|        à nous demander qui nous étions, où nous allions et d’où
14  I,   41|       au coucher du soleil nous étions assez près, à ce qu’il nous
15  I,   41| ignorions en quels parages nous étions arrivés, il ne nous parut
16  I,   41|      nous fît connaître où nous étions. Ce qui me tourmentait le
17  I,   41|        nous venions et qui nous étions, un chrétien de ceux qui
18  I,   41|  cavaliers entendirent que nous étions des captifs chrétiens, ils
19  I,   51|     réflexion que, puisque nous étions égaux, il ferait bien de
20 II,   63|         de chrétiens, dont nous étions pourvus, voulurent d’abord
21 II,   68|        nous autres écuyers nous étions fils des chevaliers que