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   Tome, Chap.  gris = Texte de commentaire

 1  I,    5    |         s’il n’avait pas quelque blessure ; mais il n’aperçut pas
 2  I,    8    |          de se plaindre d’aucune blessure, quand même les entrailles
 3  I,    8(71)| chevalier ne se plaigne d’aucune blessure qu’il ait reçue. » (MARQUEZ,
 4  I,   10    |      craindre de mourir d’aucune blessure. Aussi, quand je l’aurai
 5  I,   11    |         des chevriers, voyant la blessure, dit à don Quichotte de
 6  I,   12    |       pourrait faire mal à votre blessure, bien que le remède qu’on
 7  I,   14    |           puisque cette profonde blessure de mon cœur te donne d’éclatantes
 8  I,   16    |      Quichotte guérisse de cette blessure, ou de cette chute, et que
 9  I,   17    |          beaucoup de sang par la blessure que m’a faite ce fantôme. »~ ~ ~
10  I,   34    |          quand il vit combien la blessure était légère, il perdit
11  I,   34    |          dire à son maître de la blessure de sa maîtresse, s’il était
12  I,   34    |        ruse. Après avoir lavé la blessure avec un peu de vin, elle
13  I,   34    |    Anselme sur la cause de cette blessure qu’il ne pouvait manquer
14  I,   34    |          pourrons-nous cacher la blessure sans qu’il l’aperçoive,
15  I,   34    |   accident de Camille, et que sa blessure sans doute était légère,
16 II,    1    |        découdre les points de sa blessure, qui était encore si fraîchement
17 II,    1(9) |      très en usage de coudre une blessure, et l’on exprimait sa grandeur
18 II,   21    |        de lui, accourut tâter la blessure avec les deux mains. Il
19 II,   22    |          on apprit que la feinte blessure n’avait pas été une ruse
20 II,   32    |          ne pouvait lui faire de blessure, comme fut le célèbre Roland,
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