Tome, Chap.

 1  I,   15|             main ne causent point d’affront, et cela se trouve écrit
 2  I,   17|           Rossinante, nous firent l’affront que tu sais bien. D’où je
 3  I,   17|        Votre Grâce me venge d’aucun affront ; car, lorsque j’en reçois,
 4  I,   28|        lettre où, se plaignant de l’affront que Luscinde lui faisait,
 5 II,   21| sur-le-champ tirer vengeance de cet affront, et, plusieurs d’entre eux
 6 II,   31|           ce que j’aurais pris pour affront, s’écria la duchesse, plus
 7 II,   32|         ressentirais un irréparable affront ; mais que des pédants,
 8 II,   32|         cette injure, qui paraît un affront, mais ne l’est en aucune
 9 II,   32|         recevoir d’outrage. Entre l’affront et l’offense il y a, en
10 II,   32|           le sait mieux que moi ; l’affront vient de la part de celui
11 II,   32|            quiconque, sans causer d’affront. Par exemple, quelqu’un
12 II,   32|            une offense, mais pas un affront. Un autre exemple confirmera
13 II,   32|            offense, mais non pas un affront, qui, pour être tel, doit
14 II,   32|        resté avec une offense et un affront tout à la fois ; avec une
15 II,   32|       frappé par trahison ; avec un affront, parce que celui qui l’a
16 II,   32|            offense, mais non pas un affront. En effet, ni les enfants,
17 II,   32|              qui ne peut recevoir d’affront, peut encore moins en faire.
18 II,   42|          pas et ne lui fais point d’affront ; au contraire, il faut
19 II,   68|        Laisse-les passer, ami ; cet affront est la peine de mon péché ;
20 II,   70|             Sancho, n’approche de l’affront des croquignoles, par la