Tome, Chap.

 1  I,   14|         autres ; ma situation me rend libre, et il ne me plaît
 2  I,   24|  résolution la mieux arrêtée, et rend muette la langue la plus
 3  I,   34|       intégrité de Camille ne se rend pas à d’aussi vils objets
 4  I,   35|          à l’heure qu’il est, et rend compte à Dieu de sa mauvaise
 5  I,   35|       emporte ma queue, et me la rend diminuée de moitié, toute
 6  I,   48|       raison, et c’est là ce qui rend plus dignes de blâme ceux
 7 II,    6|   possesseur des richesses ne se rend pas heureux de les avoir,
 8 II,    8|       car rien dans cette vie ne rend plus braves les chevaliers
 9 II,   18|   meilleure réflexion, ce qui me rend la vie, c’est la crainte
10 II,   34|   sommeil et l’oisiveté ; on s’y rend le corps plus robuste, les
11 II,   35|  entrailles de pierre, qui ne se rend point aux larmes des demoiselles
12 II,   36| gouverneur avaricieux vend et ne rend pas la justice.~ ~ ~– Oh !
13 II,   38|   Chapitre XXXVIII~ ~ ~ ~Où l’on rend compte du compte que rendit
14 II,   43|          tort et à travers, cela rend la conversation lourde et
15 II,   45|       non-seulement il ne me les rend pas, il me les refuse, disant
16 II,   48|         prête de l’argent, et se rend à tout moment caution de
17 II,   62|        celui qui l’exerce, et le rend fameux par tous les pays
18 II,   63|       retrouver le trésor qui me rend le plus riche, ma fille
19 II,   68|       vivre me tue, et mourir me rend la vie. Oh ! dans quelle