Tome, Chap.

 1 II,   39|        cheval de bois, le géant Malambruno, cousin germain de Magoncia ;
 2 II,   39|     brutal et malintentionné de Malambruno. Il couvrit la blancheur
 3 II,   40| maudissent, enchanteur et géant Malambruno ! ne pouvais-tu trouver
 4 II,   40|       faut savoir également que Malambruno me dit qu’à l’instant où
 5 II,   40|       que personne l’eût monté. Malambruno l’a tiré de là par la puissance
 6 II,   40|          Eh bien, ce cheval, si Malambruno veut mettre fin à notre
 7 II,   40|         me voie aux prises avec Malambruno. Ce que je sais, c’est qu’
 8 II,   40|      sur ses épaules la tête de Malambruno. Dieu souffre les méchants,
 9 II,   40|      Hector le Troyen ! Ô géant Malambruno ! qui, bien qu’enchanteur,
10 II,   41|     lequel concluait, de ce que Malambruno tardait à l’envoyer, ou
11 II,   41| réservée cette aventure, ou que Malambruno n’osait point en venir aux
12 II,   41|    avoir confiance au valeureux Malambruno, certain de n’avoir à craindre
13 II,   41|         aux lieux où les attend Malambruno. Mais, pour que la hauteur
14 II,   41|     chevalier, les promesses de Malambruno sont accomplies, le cheval
15 II,   41|        car, bien qu’enchanteur, Malambruno est chrétien ; il fait ses
16 II,   41|         caution, et je sais que Malambruno n’est capable ni d’une trahison
17 II,   41|    avoir seulement entreprise ; Malambruno se donne pour pleinement
18 II,   44|    vraiment ce qui a pu pousser Malambruno à se défaire d’une monture