Tome, Chap.

 1  I,   21|       plutôt une chose divine qu’humaine ; et, sans savoir pourquoi
 2  I,   25|     modèle et dernier terme de l’humaine beauté. Ô vous ! napées
 3  I,   27|          arrêter, nulle prudence humaine qui puisse le prévenir ?
 4  I,   28|        pas non plus une créature humaine. »~ ~ ~Le jeune homme ôta
 5  I,   31| nécessaires au soutien de la vie humaine, et qui est enfin plus grand
 6  I,   33|        que, pour nulle affection humaine, on ne doit perdre l’affection
 7  I,   34|       dette dont aucune noblesse humaine n’a le privilège d’éviter
 8  I,   48|         être le miroir de la vie humaine, l’exemple des mœurs et
 9  I,   48|        soit toujours tendu, et l’humaine faiblesse a besoin de se
10  I,   48|        fort bien qu’aucune force humaine, à moins d’être surnaturelle,
11 II,    3|        il n’y a point d’histoire humaine en ce monde qui n’ait ses
12 II,   10|          les mérites, terme de l’humaine gentillesse, remède unique
13 II,   12|    naturel les actions de la vie humaine. Aucune comparaison ne saurait
14 II,   48|      coiffée, inutile pour toute humaine récréation. Oh ! qu’elle
15 II,   60|    inouïs, hors de la prévoyance humaine, que le ciel a coutume de
16 II,   62|      table, il n’y avait pas âme humaine qui pût répondre.~ ~ ~«
17 II,   63|        pût peindre l’imagination humaine. Son âge ne semblait pas
18 II,   69|         étant mêlé d’aucune voix humaine, car, en cet endroit, le