Tome, Chap.

 1  I,   20|          Voyant le succès de sa ruse, Sancho Panza lui dit aussitôt :~ ~ ~«
 2  I,   27| connaissance. Tout cela fut une ruse du perfide, puisque, l’argent
 3  I,   32|     plus besoin de continuer la ruse, et qu’il pouvait se montrer
 4  I,   33|        ne s’aperçût point de la ruse.~ ~ ~ ~Plusieurs jours se
 5  I,   33|  pourquoi veux-tu m’ôter par ta ruse les moyens que je pourrais
 6  I,   34|         pour donner crédit à sa ruse. Après avoir lavé la blessure
 7  I,   35|          et, pour accréditer la ruse de sa complice, Lothaire
 8  I,   37|         Quichotte, ainsi que la ruse qu’on avait employée pour
 9  I,   37|         Fernand de continuer la ruse jusqu’à ce qu’on eût ramené
10  I,   42|   heureuse issue avaient eue sa ruse et le désir du capitaine,
11  I,   46|        le curé, inventeur de la ruse et de la machination, avait
12 II,   16|  Dulcinée était une œuvre de sa ruse, il n’était point satisfait
13 II,   22|    blessure n’avait pas été une ruse concertée avec la belle
14 II,   25|         je viens d’imaginer une ruse au moyen de laquelle nous
15 II,   25|    écria le maître de l’âne, la ruse est excellente et digne
16 II,   25|      répondit l’inventeur de la ruse, ces louanges vous appartiennent