gras = Texte principal
    Tome, Chap.   gris = Texte de commentaire

  1  I,    1(16) |                                    Ô bastard ! répliqua Renaud
  2  I,    1(16) |           lui reprochait ses vols, ô fils de méchante femelle!
  3  I,    2     |          mémoire des âges futurs ! Ô toi, qui que tu sois, sage
  4  I,    2     |        réellement amoureux :~ ~ ~« Ô princesse Dulcinée, dame
  5  I,    2     |          de votre beauté. Daignez, ô ma dame, avoir souvenance
  6  I,    3     |           dit à haute voix :~ ~ ~« Ô toi, qui que tu sois, téméraire
  7  I,    3     |           main, il s’écria :~ ~ ~« Ô dame de beauté, aide et
  8  I,    4     |         aujourdhui dans ce monde, ô par-dessus toutes les belles
  9  I,    5     |            le chevalier blessé : « Ô ma dame, où es-tu, que mon
 10  I,    5     |            aux vers qui disent : « Ô noble marquis de Mantoue,
 11  I,    7     |          reviennent tondus ?~ ~ ~– Ô ma nièce ! répondit don
 12  I,    8     |        grand cri en disant :~ ~ ~« Ô dame de mon âme, Dulcinée,
 13  I,   13     |       infortune, nous vous prions, ô discret Ambroise, et moi,
 14  I,   14     |         nue déguisée en mensonge ? Ô jalousie, tyran du royaume
 15  I,   14     |           amis.~ ~ ~– Je ne viens, ô Ambroise, répondit Marcelle,
 16  I,   15     |          pour te faire comprendre, ô Panza ! dans quelle erreur
 17  I,   18     |         dit :~ ~ ~« Voici le jour, ô Sancho, où l’on va voir
 18  I,   18     |          mon ennemi. Car apprends, ô Sancho, qu’il est très-facile
 19  I,   18     |          lui dit :~ ~ ~« Apprends, ô Sancho, qu’un homme n’est
 20  I,   20     |    bonnement, si cette découverte, ô lecteur, ne te donne ni
 21  I,   23     |         disait en pleurant :~ ~ ~« Ô fils de mes entrailles,
 22  I,   24     |          la langue la plus hardie. Ô ciel ! combien de billets
 23  I,   25     |             je veux que tu saches, ô Sancho, que le fameux Amadis
 24  I,   25     |                   Voici l’endroit, ô ciel ! que j’adopte et choisis
 25  I,   25     |          déchire mon cœur outragé. Ô vous, qui que vous soyez,
 26  I,   25     |         terme de l’humaine beauté. Ô vous ! napées et dryades,
 27  I,   25     |            entendre mes plaintes ! Ô Dulcinée du Toboso, jour
 28  I,   25     |           la constance de ma foi ! Ô vous, arbres solitaires,
 29  I,   25     |            déplaît pas157. Et toi, ô mon écuyer, agréable et
 30  I,   25     |           de celui qui l’a perdue, ô coursier aussi excellent
 31  I,   25     |        fera une relation complète, ô belle ingrate, ô ennemie
 32  I,   25     |         complète, ô belle ingrate, ô ennemie adorée, de l’état
 33  I,   27     |         fin.~ ~ ~« Quitte le ciel, ô amitié, et ne permets pas
 34  I,   27     |       entendre : « Que tes œuvres, ô Luscinde, justifient tes
 35  I,   27     |          qui éclairaient la salle. Ô souvenir, ennemi mortel
 36  I,   28     |         ses tristes accents.~ ~ ~« Ô mon Dieu, disait cette voix,
 37  I,   29     |         ici je ne me lèverai plus, ô valeureux et redoutable
 38  I,   30     |            puise l’être et la vie. Ô rustre mal  et malappris,
 39  I,   31     |          tout ce qui est là. »~ ~– Ô discrète personne ! s’écria
 40  I,   33     |           l’or. Je pense en effet, ô mon ami, qu’une femme n’
 41  I,   33     |          mettre en œuvre, je veux, ô mon ami Lothaire, que tu
 42  I,   33     |        sorte :~ ~ ~« Il me semble, ô Anselme, que tu as à présent
 43  I,   33     |            ai dit jusqu’à présent, ô Anselme ! n’a eu trait qu’
 44  I,   33     |           déshonoré191. Vois donc, ô Anselme ! vois le péril
 45  I,   34     |    nouvelles que j’ai à te donner, ô mon ami ! répondit Lothaire,
 46  I,   34     |           plutôt mort à tes pieds, ô belle ingrate ! que repentant
 47  I,   36     |      jetant un cri perçant :~ ~ ~« Ô mon Dieu ! s’écria-t-il,
 48  I,   36     |         tes bras, ne t’ôtent plus, ô mon seigneur, la lumière
 49  I,   36     |            faire, lui disait-elle, ô mon unique refuge, dans
 50  I,   41     |      répondit :~ ~ ~« Je pourrais, ô chrétiens, attendre tout
 51  I,   41     |       quelque extravagance :~ ~ ~« Ô jeune fille infâme et pervertie !
 52  I,   41     |     paroles :~ ~ ~« Allah veuille, ô mon père, que Lella Maryem,
 53  I,   42     |        mélancolie et de tristesse. Ô mon bon frère, qui pourrait
 54  I,   43     |        efforts pour la voir.~ ~ ~« Ô claire257 et brillante étoile,
 55  I,   43     |     continuait de la sorte :~ ~ ~« Ô ma douce espérance, qui,
 56  I,   43     |        tendre et amoureuse :~ ~ ~« Ô ma dame Dulcinée du Toboso,
 57  I,   43     |        plains sincèrement, dit-il, ô charmante dame, d’avoir
 58  I,   46     |             C’est un commun adage, ô belle princesse, que la
 59  I,   46     |            bégayer la rage :~ ~ ~« Ô manant, ô brutal, effronté,
 60  I,   46     |          la rage :~ ~ ~« Ô manant, ô brutal, effronté, impudent,
 61  I,   46     |        parlait de la sorte :~ ~ ~« Ô chevalier de la Triste-Figure,
 62  I,   46     |        images du Zodiaque. Et toi, ô le plus noble et le plus
 63  I,   46     |          un profond soupir :~ ~ ~« Ô toi, qui que tu sois, qui
 64  I,   52     |     tremblante, il s’écria :~ ~ ~« Ô vous qui, peut-être à cause
 65  I,   52     |          lui parlait ainsi :~ ~ ~« Ô fleur de la chevalerie,
 66  I,   52     |         tes ans si bien employés ! ô honneur de ton lignage,
 67  I,   52     |       châtiment de leurs méfaits ! ô libéral par-dessus tous
 68  I,   52     |         mer entoure de ses flots ! ô toi, humble avec les superbes
 69  I,   52     |         derrière son maître.~ ~ ~« Ô vaines espérances des humains !
 70 II,    7     |         une voix éclatante :~ ~ ~« Ô fleur de la chevalerie errante !
 71 II,    7     |            la chevalerie errante ! ô brillante lumière des armes !
 72 II,    7     |      brillante lumière des armes ! ô honneur et miroir de la
 73 II,    8     |            une histoire véridique. Ô envie, racine de tous les
 74 II,    8     |           est marquée. Ainsi donc, ô Sancho, que nos actions
 75 II,   10     |        nous sommes pressées.~ ~ ~– Ô princesse ! répondit Sancho
 76 II,   10     |             répondit Sancho Panza, ô dame universelle du Toboso !
 77 II,   10     |       porte en ma chair.73 Et toi, ô divin extrême de tous les
 78 II,   10     |            et empesté l’âme.~ ~ ~– Ô canaille ! s’écria Sancho
 79 II,   10     |      Sancho de toutes ses forces ; ô enchanteurs pervers et malintentionnés !
 80 II,   12     |       dolente et plaintive :~ ~ ~« Ô la plus belle et la plus
 81 II,   13     |            nymphe du Vert-Bosquet. Ô gueuse, fille de gueuse !
 82 II,   13     |            dire dans le peuple : « Ô fils de gueuse ! comme il
 83 II,   14(102)|                   Senza che tromba ô segno altro accenasse,~ ~ ~ ~
 84 II,   16     |        preuves, tu sais déjà bien, ô Sancho, par une expérience
 85 II,   17     |        chariot et ces mules.~ ~ ~– Ô homme de peu de foi ! répondit
 86 II,   17     |     transport d’admiration :~ ~ ~« Ô vaillant, ô courageux par-dessus
 87 II,   17     |     admiration :~ ~ ~« Ô vaillant, ô courageux par-dessus toute
 88 II,   18     |       entendre, il s’écria :~ ~ ~« Ô doux trésor, trouvé pour
 89 II,   18     |          Dieu le voulait bien119 ! Ô cruches tobosines, qui avez
 90 II,   18     |           il le tînt pour un fou ? Ô puissance de l’adulation !
 91 II,   18     |           Tous deux en même temps, ô cas étrange ! les tue, les
 92 II,   19     |             s’écria don Quichotte, ô prévaricateur du beau langage,
 93 II,   20     |        avant de l’éveiller :~ ~ ~« Ô toi, bienheureux entre tous
 94 II,   20     |            il en arriverait ainsi, ô Sancho, repartit don Quichotte,
 95 II,   21     |          valoir un œil de la tête. Ô sainte Vierge ! quels cheveux !
 96 II,   21     |         regardant fixement :~ ~ ~« Ô Quitéria, lui dit-il, qui
 97 II,   21     |            te conjure d’une chose, ô ma fatale étoile ; c’est
 98 II,   22     |          haute, il s’écria :~ ~ ~« Ô dame de mes pensées, maîtresse
 99 II,   22     |         comme la fleur des champs. Ô malheureux Montésinos !
100 II,   22     |            malheureux Montésinos ! Ô Durandart couvert de blessures !
101 II,   22     |   Durandart couvert de blessures ! ô infortunée Bélerme ! ô larmoyant
102 II,   22     |             ô infortunée Bélerme ! ô larmoyant Guadiana ! et
103 II,   23     |         jetant un cri, s’écria : « Ô mon cousin Montésinos, la
104 II,   23     |         que je vous dis à présent, ô mon cousin, je vous l’ai
105 II,   23     |        même cela n’arriverait pas, ô cousin, je dirai : Patience,
106 II,   23     |          haut de deux aunes.~ ~ ~– Ô sainte Vierge ! s’écria
107 II,   25     |           deux colonnes d’Hercule, ô ressusciteur insigne de
108 II,   25     |       oubliée chevalerie errante ! ô jamais dignement loué chevalier
109 II,   25     |           troubler :~ ~ ~« Et toi, ô bon Sancho Panza, le meilleur
110 II,   26     |         cheval de son époux. Mais, ô l’infortunée ! voilà que
111 II,   26     |           de Paris. Allez en paix, ô paire sans pair de véritables
112 II,   28     |          serve ? » Entre, pénètre, ô félon, bandit et vampire !
113 II,   28     |           un pas de plus avec moi. Ô pain mal agréé ! ô promesses
114 II,   28     |            moi. Ô pain mal agréé ! ô promesses mal placées !
115 II,   28     |            promesses mal placées ! ô homme qui tient plus d’une
116 II,   29     |         les bêtes.~ ~ ~« Apprends, ô Sancho ! répondit don Quichotte,
117 II,   29     |          son aide. Sans nul doute, ô Sancho ! cette barque est
118 II,   29     |          pour se jeter après nous. Ô très-chers amis, demeurez
119 II,   30     |            l’honneur de vous voir, ô valeureux prince, répondit
120 II,   33     |          de faire parade au salon. Ô sainte Vierge ! quelle dent
121 II,   34     |      grands seigneurs. Ainsi donc, ô Sancho, changez d’opinion,
122 II,   35     |           douleur si grande.~ ~ ~« Ô toi, honneur et gloire de
123 II,   35     |         armes.~ ~ ~« À toi je dis, ô héros jamais dignement loué,
124 II,   35     | directement à Sancho Panza :~ ~ ~« Ô malencontreux écuyer, dit-elle,
125 II,   35     |          le cours du temps. Jette, ô animal misérable et endurci,
126 II,   38     |                  Si vos angoisses, ô dame affligée, peuvent se
127 II,   38     |            ces jambes je me jette, ô invincible chevalier, parce
128 II,   38     |          le remède à mes malheurs, ô valeureux errant, dont les
129 II,   38     |            main et lui dit :~ ~ ~« Ô toi, le plus loyal écuyer
130 II,   38     |           à quoi vais-je m’amuser, ô malheureuse ? quelle folie,
131 II,   39     |           visage comme une forêt ? Ô duègnes, mes compagnes,
132 II,   40     |          de savoir et d’apprendre. Ô célèbre auteur ! ô fortuné
133 II,   40     |      apprendre. Ô célèbre auteur ! ô fortuné don Quichotte !
134 II,   40     |            fortuné don Quichotte ! ô fameuse Dulcinée ! ô gracieux
135 II,   40     |   Quichotte ! ô fameuse Dulcinée ! ô gracieux Sancho Panza !
136 II,   40     |          cette promesse, dit-elle, ô valeureux chevalier, a frappé
137 II,   40     |     Grandeur avec des yeux bénins, ô valeureux chevalier ! qu’
138 II,   40     |          mâle d’Hector le Troyen ! Ô géant Malambruno ! qui,
139 II,   42     |          île. Je te dis tout cela, ô Sancho, pour que tu n’attribues
140 II,   42     |          ce que je t’ai dit, sois, ô mon fils, attentif à ce
141 II,   42     |       écueils.~ ~ ~« Premièrement, ô mon fils, garde la crainte
142 II,   42     |         justice.~ ~ ~« Si tu suis, ô Sancho, ces règles et ces
143 II,   43     |          Il faut que tu apprennes, ô Sancho, que, pour un homme,
144 II,   44     |      pendant qu’il se déchaussait (ô disgrâce indigne d’un tel
145 II,   44     |           en écrivant, s’écria : « Ô pauvreté, pauvreté ! Je
146 II,   44     |  conversation :~ ~ ~« N’exige pas, ô Émérancie, n’exige pas que
147 II,   44     |         point cela qui me retient, ô Émérancie, répondit Altisidore ;
148 II,   44     |          chanta ce romance :~ ~ ~« Ô toi qui es dans ton lit,
149 II,   44     |            incendie qui me dévore, ô Manchois, Néron du monde,
150 II,   44     |          de mon âme. Prenez garde, ô troupe amoureuse, que je
151 II,   45     |       commença à gouverner~ ~ ~ ~ ~Ô toi qui découvres perpétuellement
152 II,   45     |            à toi que je m’adresse, ô soleil, avec l’aide de qui
153 II,   48     |           entrailles. Que tu sois, ô ma dame, transformée en
154 II,   48     |          dire :~ ~ ~« Je t’adjure, ô fantôme, ou qui que tu sois,
155 II,   54     |                 Tu sais fort bien, ô Sancho Panza, mon voisin
156 II,   55     |           à notre dernière heure ! Ô mon compagnon, mon ami,
157 II,   57     |                       Tu emportes, ô impie, dans les griffes
158 II,   57     |           encore une seule parole, ô valeureux don Quichotte,
159 II,   58     |                   Est-il possible, ô Sancho ! qu’il y ait dans
160 II,   58     |         air de ces paroles :~ ~ ~« Ô vous, passagers et voyageurs,
161 II,   59     |     imbécile.~ ~ ~« Si tu voulais, ô Sancho, faire pour moi ce
162 II,   60     |         être tombé en ton pouvoir, ô vaillant Roque, dont la
163 II,   60     |     moi-même. Je dois t’apprendre, ô grand Guinart, que, s’ils
164 II,   60     |                   Je te cherchais, ô vaillant Roque, pour trouver
165 II,   60     |        attendre d’un cœur navré. « Ô femme cruelle et inconsidérée,
166 II,   60     |           une si horrible pensée ! Ô rage de la jalousie, à quelle
167 II,   60     |         donne accès dans son âme ! Ô mon cher époux, c’est quand
168 II,   62     |           suffit pour m’apprendre, ô tête, que tu sais tout. »~ ~ ~
169 II,   63     |            crue !~ ~ ~– Suspendez, ô seigneurs, reprit le jeune
170 II,   63     |       sanglots, il s’écria :~ ~ ~« Ô Ana-Félix, ma fille, ma
171 II,   67     |   Quichotte, que tu penses encore, ô Sancho, que ce garçon soit
172 II,   67     |         avis que moi, je voudrais, ô Sancho, qu’à leur imitation
173 II,   68     |           celui de ma peau !~ ~ ~– Ô âme endurcie ! s’écria don
174 II,   68     |             s’écria don Quichotte, ô écuyer sans entrailles !
175 II,   68     |           écuyer sans entrailles ! ô pain mal employé, et faveurs
176 II,   68     |      Sancho :~ ~ ~« Si je pouvais, ô Sancho ! lui dit-il, faire
177 II,   69     |           ici présent. Ainsi donc, ô Rhadamante, toi qui juges
178 II,   69     |       Voici le moment, lui dit-il, ô fils de mes entrailles,
179 II,   69     |         mille années. Quant à toi, ô le plus compatissant écuyer
180 II,   69     |         aujourdhui à tout jamais, ô Sancho, de six de mes chemises
181 II,   70     |          laquelle tu m’as traitée, ô insensible chevalier, plus
182 II,   71     |             Si je devais te payer, ô Sancho, répondit don Quichotte,
183 II,   71     |            dis rien de plus.~ ~ ~– Ô Sancho béni ! ô aimable
184 II,   71     |        plus.~ ~ ~– Ô Sancho béni ! ô aimable Sancho ! s’écria
185 II,   74     |                  Ces miséricordes, ô ma nièce, répondit don Quichotte,
186 II,   74     |      lumière de l’âme. Je me sens, ô ma nièce, à l’article de
187 II,   74     |     crochet et à ce fil de laiton, ô ma petite plume, bien ou
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