Tome, Chap.

 1  I      | chevalier.~ ~ ~« Car enfin, lui dis-je, comment voudriez-vous que
 2  I,    5|     panser. Maudits soient-ils, dis-je une autre et cent autres
 3  I,    8|          ce sont des géants, te dis-je ; si tu as peur, ôte-toi
 4  I,   12|              Pour elle-même, te dis-je ; et ce qu’il y a de bon,
 5  I,   15|       et si je n’imaginais, que dis-je, imaginer ! si je n’étais
 6  I,   18|        fortune ; voici le jour, dis-je encore, où doit se montrer,
 7  I,   19|                 Halte-là ! vous dis-je, et soyez plus poli. Qu’
 8  I,   19|        de la terre. Ainsi donc, dis-je, le sage dont je viens de
 9  I,   20|  vaillants exploits. C’est moi, dis-je encore une fois, qui dois
10  I,   21|     Sancho ; mais Dieu veuille, dis-je encore, que ce soit de la
11  I,   23|      lui restituer. Mieux vaut, dis-je, sans faire ces inutiles
12  I,   25|          Mais ils en ont menti, dis-je encore, et ils en auront
13  I,   25|        chevaliers errants : que dis-je ? un des plus parfaits !
14  I,   25|         errants, que tout cela, dis-je, n’est que vent et mensonge,
15  I,   25|     rire, vous vous contentiez, dis-je, de les faire dans l’eau,
16  I,   25|       fait nécessaire, je veux, dis-je, que tu me voies tout nu,
17  I,   29|     commandements ; il a voulu, dis-je, ôter aux galères les bras
18  I,   30|         il regarde) ; mon père, dis-je, sut que ce géant, dès qu’
19  I,   31|  chevalier errant, ce magicien, dis-je, a dû t’aider à cheminer
20  I,   37|    lettres humaines201), c’est, dis-je, de faire triompher la justice
21  I,   41|          à ce que je crois, lui dis-je. Il y a ici un vaisseau
22  I,   41|          Ce sont eux, seigneur, dis-je à son père, qui l’ont effrayée,
23  I,   42|       passage. Que Votre Grâce, dis-je, entre dans ce paradis :
24  I,   43|     mille baisers, c’est assez, dis-je. Attendez que le nouveau
25  I,   43|      monde ; prenez cette main, dis-je, qu’aucune main de femme
26  I,   45|      respect à la présence, que dis-je, à l’ombre de tout chevalier
27  I,   45|       Quel est donc l’imbécile, dis-je encore, qui peut ignorer
28  I,   48|      ces comédies à la mode, me dis-je, aussi bien celles d’invention
29  I,   50|       que ce soit ; ces livres, dis-je, seraient pur mensonge,
30  I,   50|    moment d’attention, je veux, dis-je, vous conter une aventure
31  I,   51|      les villages voisins ; que dis-je, dans les villages ? elle
32  I,   52| chevalerie errante ; à présent, dis-je, vous allez voir, par la
33 II,    2|      moitié du juste prix. Lui, dis-je, m’a tiré de ma maison par
34 II,    3|    quelquefois la beauté. Aussi dis-je que celui-là s’expose à
35 II,    8|         la renommée de ceux-là, dis-je, vaudra mieux, pour ce siècle
36 II,   11|         pas éteinte ; tais-toi, dis-je, et ne prononce point de
37 II,   17|         durable. Il sied mieux, dis-je, à un chevalier errant de
38 II,   22|      airain ; Dieu te conduise, dis-je encore, et te ramène sain
39 II,   28|           je ferais bien mieux, dis-je, de regagner pays, d’aller
40 II,   28|         tout cela, enfonce-toi, dis-je, dans le mare magnum des
41 II,   32|        Grâce ; il faut inférer, dis-je, que, pour la hauteur de
42 II,   33|     était enchantée ; je tiens, dis-je, pour certain que ce fut
43 II,   35|    misérable et endurci, jette, dis-je, tes yeux de mulet ombrageux
44 II,   35|        côtés ; pour ton maître, dis-je, dont je vois l’âme en ce
45 II,   38|        de tous les sens. Aussi, dis-je, mes seigneurs, qu’on devrait
46 II,   44| mâchoires. Malheureux celui-là, dis-je, qui a l’honneur ombrageux,
47 II,   45|        fouet. Allons, décampez, dis-je, enjôleuse, dévergondée
48 II,   47|        des Perlerins ? Va-t’en, dis-je, ou sinon, par la vie du
49 II,   54|       transporter ; je résolus, dis-je, de quitter le pays, seul
50 II,   61|         Qu’il soit le bienvenu, dis-je, le valeureux don Quichotte
51 II,   65|          sont sur la plage. Que dis-je, sur la plage ? ils sont
52 II,   65|     trouvent. Mais, hélas ! que dis-je, misérable ? ne suis-je
53 II,   69|        les pincenettes. Allons, dis-je, ministres des commandements,
54 II,   69|      Dulcinée. Voici le moment, dis-je, où ta vertu est juste à