Tome, Chap.

 1  I      |           contrevenir aux lois de la nature, qui veut que chaque être
 2  I,    8|              d’autant plus que de ma nature je suis pacifique, et fort
 3  I,   13|           tous, il est aussi bien de nature et d’essence d’être amoureux,
 4  I,   14|          cause la mort, parce que la nature le lui a donné, de même
 5  I,   16|           qui tiraient un peu sur la nature et la couleur du crin, il
 6  I,   20|             le plus probable, que la nature opérât en lui, il arriva
 7  I,   20|             nullement fougueux de sa nature, il se mit à piétiner du
 8  I,   22|         esclaves ceux que Dieu et la nature ont faits libres. Et d’ailleurs,
 9  I,   22|              pas fort endurant de sa nature, et qui n’était plus à s’
10  I,   23|               ayant d’ailleurs de sa nature le pas court et l’humeur
11  I,   26|           don Quichotte et l’étrange nature de cette folie, leur étonnement
12  I,   28|              que, si les biens de la nature eussent égalé pour eux ceux
13  I,   29|         abondance. En considérant la nature de mes disgrâces, vous reconnaîtrez
14  I,   33|             libérale les biens de la nature et ceux de la fortune, surtout
15  I,   33|              que permet de l’être la nature de cette pierre précieuse,
16  I,   33|          faibles étais de sa fragile nature ? Prends garde que celui
17  I,   35|           abandonné du ciel et de la nature entière, et pardessus tout
18  I,   37|             femmes, qui sont de leur nature plus tendres et plus compatissantes.
19  I,   38|              toutes les règles de la nature. Maintenant, que la nuit
20  I,   39|              ma famille, pour qui la nature se montra plus libérale
21  I,   46|              loin de moi, monstre de nature, dépositaire de mensonges,
22  I,   47|   vraisemblance et l’imitation de la nature, en quoi consiste la perfection
23  I,   49|          hors des lois de la commune nature ; ils la méritent comme
24  I,   50|          varié, où l’art, imitant la nature, semble la vaincre cette
25  I,   51| merveilleuses qualités le ciel et la nature l’avaient enrichie. Toute
26 II,    3|           bride les mouvements de la nature. Ce fut donc plongé et abîmé
27 II,   10|       répliqua don Quichotte, car la nature n’a rien mis en Dulcinée
28 II,   16|         posséder les avantages de la nature et ceux de la fortune, d’
29 II,   16|              de sa mère, le poëte de nature sort poëte ; et avec cette
30 II,   16|        ajoute encore que le poëte de nature qui s’aidera de l’art sera
31 II,   16|              ne l’emporte pas sur la nature, mais qu’il la perfectionne ;
32 II,   16|         perfectionne ; ainsi, que la nature se mêle à l’art, et l’art
33 II,   16|          mêle à l’art, et l’art à la nature, alors ils formeront un
34 II,   19|            par la fortune que par la nature ; car, s’il faut dire la
35 II,   20|            imposent aux seigneurs la nature et l’usage. Le valet dort,
36 II,   20|              ailleurs, l’ordre de la nature veut que le jour de ma mort
37 II,   23|      délicieuse que puisse former la nature, ou rêver la plus riante
38 II,   30|              que ce qu’on appelle la nature est comme un potier qui
39 II,   33|             je suis charitable de ma nature, et j’ai compassion des
40 II,   36|           chairs tiennent plus de la nature du coton que de celle du
41 II,   38|         perfection de beauté, que la nature n’aurait pu lui en donner
42 II,   42|              à tes devoirs envers la nature.~ ~ ~« Si tu conduis ta
43 II,   42|              aux infirmités de notre nature dépravée. En tout ce qui
44 II,   44|            non à nulle autre, que la nature m’a jeté dans ce monde.
45 II,   47|          fortune, ni dans ceux de la nature. En effet, pour dire la
46 II,   49|              ils doivent donner à la nature ce qu’elle exige d’eux naturellement,
47 II,   58|            sur son cœur, comme si la nature était obligée de donner
48 II,   60|          plus calmes. Je suis, de ma nature, compatissant et bien intentionné ;
49 II,   62|             en effet, ne sont pas de nature à être confiés à tout le
50 II,   68|           Quichotte paya tribut à la nature en dormant le premier sommeil ;