Caprera, 16 dicembre 1873.
Speranza amatissima,
troverete
qui acclusa la copia della mia lettera alla signora Maier.
“Vous direz à Anita de ma part: qu'il vaut mieux ne pais
faire des fautes que de se répentir après les avoir faites; et que j'espère par
sa conduite future qu'elle saura vous les faire oublier.
“Dites lui: que je suis un Général sans solde, et par
conséquent pas riche, et qu'elle abandonne donc ses velléités de luxe et de
coquetterie, pour n'être qu'unc bonne et hônnete femme de ménage. Vous lui
direz: qu'elle doit considérer Madame de Schwartz comme sa mère adoptive, qui a
déjà eu des soins immenses pour elle et à qui elle devra sa fortune future.
Madame de Schwartz ira ou enverra prendre Anita dans le mois de juillet
prochain, et si elle est sage, comme j'espère, elles viendront ensemble à
Caprera. Surtout qu'Anita aie beaucoup de soins pour Madame de Schwartz. Elle
méritera ainsi toute ma reconnaissance. Je vous prie de faire lire la présente
à Anita et en vous remerciant pour la bienveillance que vous continuez à avoir
pour ma fille, je suis votre devoué G.”.
Questa
mia lettera è stata determinata da due lettere della signora Maier, che vi
unisco. Desidero che l'approviate e sono per la vita vostro
G. Garibaldi.
Ho
dimenticato di dirvi che ho ricevuto da Anita una lettera piena di lamenti che
ho stracciata senza rispondere.
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