L'armata d'Italia
    Capitolo
1 3 | trentasei ballate mirabili: «je ne m’entends quà la métrique!» Libro segreto Capitolo
2 3 | parole de la Lointaine.~ ~Je me rappelle: on devait aller 3 3 | armoirie, rendu vivant par je ne sais quel sortilège et 4 3 | comme la neige de la cime. je souffre de la voir , dans 5 3 | elle porte son chapeau avec je ne sais quelle ombre de 6 3 | ou la pensée de moi.~ ~Je n’aime point ce chapeau, 7 3 | chapeau, cette haute plume. je regarde son visage, je bois 8 3 | je regarde son visage, je bois le blanc de ses yeux, 9 3 | arrête, comme à la limite de je ne sais quelle désolation. 10 3 | remonte dans la voiture. je ne sais pas pourquoi, derrière 11 3 | derrière les devantures fermées je vois des merveilles bleues, 12 3 | rappelle toutes les choses que je n’ai pas vues?~ ~Elle dit: ‘ 13 3 | bleu. tout est sombre.~ ~Je me déshabille. je rentre 14 3 | sombre.~ ~Je me déshabille. je rentre de ma course à cheval 15 3 | cependant il y a dans ma chair je ne sais quel bonheur contre 16 3 | longue manche, avec laquelle je frotte mes épaules et mes 17 3 | partir pour Saint-Moritz. je déjeunais seul avec elle. 18 3 | déjeunais seul avec elle. je crois que je l’aimais déjà. 19 3 | avec elle. je crois que je l’aimais déjà. sans doute 20 3 | l’aimais déjà. sans doute je la désirais comme toujours. 21 3 | désirais comme toujours. je lui avais apporté la longue 22 3 | ses mains. javais en moi je ne sais quelle rougeur cuisante…]~ ~ 23 3 | quelle rougeur cuisante…]~ ~Je suis sur le lit, sur la 24 3 | par l’image voluptueuse. je suce son cou blanc et gracile, 25 3 | fleurs bleues à calice. je les détachais de la corolle 26 3 | quand jétais enfant, et je les suçais soigneusement.]~ ~ 27 3 | suçais soigneusement.]~ ~Je songe à sa rose comme à 28 3 | songe à sa rose comme à je ne sais quelle chose profondément 29 3 | connaîtra jamais le baiser.~ ~Je tremble. ma gorge est sèche. 30 3 | chez le vieux jeune Greppi, je crois, le charmant ambassadeur 31 3 | Cette nuit, elle m’attend. je suis arrivé le soir. je 32 3 | je suis arrivé le soir. je prépare mon corps comme 33 3 | ne les sent pas vivre. or je sens vivre mon corps entier, 34 3 | un battement de fièvre.~ ~Je suis dans la gondole. je 35 3 | Je suis dans la gondole. je traverse le canal. je m’ 36 3 | gondole. je traverse le canal. je m’approche du palais. une 37 3 | eau contre les marches.~ ~Je vois luire les dentelles 38 3 | plume blanche verticale.~ ~Je l’ouvre. je la couche. je 39 3 | verticale.~ ~Je l’ouvre. je la couche. je la trouve, 40 3 | Je l’ouvre. je la couche. je la trouve, agenouillé devant 41 3 | agenouillé devant elle. je trouve, dans l’étoffe somptueuse 42 3 | toi!’~ ~Mon cœur s’arrête. je l’ai clouée dans le cercueil 43 3 | vie et embrouillés; et que je la dévide, et que je la 44 3 | que je la dévide, et que je la tisse, suivant mon songe.~ ~‘ 45 3 | était dans mon lit vivante, je sentirais la brûlure de 46 3 | regardant la Figure de cire.~ ~Je sais une volupté inouïe.~ ~ 47 3 | longuement prêté l’oreille. je n’ai pas entendu le battement 48 3 | moindre battement.~ ~‘Non, je ne suis pas vivante.’~ ~ 49 3 | mon langage natal. mais je remarque les déformations 50 3 | meurtre. la Cire est . quand je tue la femme vivante – je 51 3 | je tue la femme vivanteje n’ai pas peurquand j’ 52 3 | bon!’ disse il sergente. ‘je n’aurai pas besoin de sable.’~ ~ 53 3 | dolcigna, forse amariccia: ‘je suis amoureux de l’amitié.’~ ~ Le faville del maglio Parte
54 14 | seul au milieu des hommes, je rentre pour rêver avec moi-même 55 14 | scritto con inchiostro rosso: Je ne cède jamais. Al suono L'innocente Paragrafo
56 Intro | sentimento non rivelato.~ ~ ~ ~Je veux, guidé par vous, beaux ¶ 57 Intro | encombrent le chemin;~ ~ ~ ~Oui, je veux marcher droit et ¶ Laudi Sezione, Parte, Capitolo, Paragrafo, Verso
58 not, 6 | tutta la vettovaglia. «Car je ferai acheter toutes les ¶ 59 not, 6 | dévotement: O sire Dieux, je n'ose requerre fontaine 60 5, 1, 0, 1, 12| Je ne suis plus en terre d' 61 5, 1, 0, 1, 13| je ne suis plus l'étranger 62 5, 1, 0, 1, 14| je ne suis plus le banni sans 63 5, 1, 0, 1, 18| Je suis une offrande d'amour,~ ~ 64 5, 1, 0, 1, 19| je suis un cri vers l'aurore,~ ~ 65 5, 1, 0, 1, 20| je suis un clairon de rescousse~ ~ 66 5, 1, 0, 2, 22| Voyez, je tremble. Voyez, je chancelle,~ ~ 67 5, 1, 0, 2, 22| Voyez, je tremble. Voyez, je chancelle,~ ~ 68 5, 1, 0, 2, 23| je suis ivre d'amour et d'épouvante.~ ~ 69 5, 1, 0, 2, 31| Je dis: «Me voici. Envoyez-moi, 70 5, 1, 0, 2, 33| Je connais le signe, je sais 71 5, 1, 0, 2, 33| Je connais le signe, je sais le pacte.~ ~ 72 5, 1, 0, 2, 36| Je n'ai plus de chair ni d' 73 5, 1, 0, 2, 41| je lis le nom ineffable.~ ~ 74 5, 1, 0, 4, 68| toi que je vis sur l'aridité sublime~ ~ 75 5, 1, 0, 4, 80| si jamais en ton nom je reprochai son opprobre~ ~ 76 5, 1, 0, 4, 83| si jamals je fus ivre de ton regard changeant,~ ~ 77 5, 1, 0, 5, 88| tel à grande voix je crie,~ ~ 78 5, 1, 0, 5, 92| je crie et j'invoque les deux 79 5, 1, 0, 5, 99| je crie et j'invoque: «O Italie! 80 5, 1, 0, 6, 123| Je te montre le signe.~ ~ 81 5, 1, 0, 8, 166| Souviens-toi. Je veux peser ma haine~ ~ 82 5, 1, 0, 8, 167| dans ta balance. Je veux brûler ton cœur, sans 83 5, 1, 0, 9, 169| Je te le dis, je ne te donnerai 84 5, 1, 0, 9, 169| Je te le dis, je ne te donnerai pas de trêve~ ~ 85 5, 1, 0, 9, 179| et je bus en silence mes larmes,~ ~ 86 5, 1, 0, 9, 182| Or, je te jure, par tes sources 87 5, 1, 0, 9, 186| je te jure que tu sculpteras~ ~ 88 5, 1, 0, 11, 224| je sens sur mon front, dans 89 5, 1, 0, 11, 227| je dis: «Vous avez entendu 90 not | Mon cherami, je pars pour Gênes. On va jeter 91 not | amour pour la France, et je les publie au profit de 92 not | Au revoir, ¶ cher ami. Je vous serre le main bien Il piacere Parte, Paragrafo
93 1, 2 | interiore.~ ~- Temete?~ ~- Je crains ce que j'espère.~ ~ 94 1, 3 | faites plus ça en dansant; je frissonne toute... »~ ~Le San Pantaleone Capitolo, parte
95 12, II | ha fatte avare; e lu vine je piace ¶ assa'. 'Mbé, jémele Il sudore di sangue Capitolo, paragrafo
96 | TOUJOURS ET QUAND MÊME~ ~Je veux parler, en bon français. 97 | trop hésité. A tout cela je peux bien opposer un sourire 98 | unique. En toute modestie, je ne crois pas être un lettré 99 | on encense et on conspue. Je suis un combattant sans 100 | soir de mai lointain, quand je partais tout seul de Paris 101 | Qui donc ira pour nous? – Je dis: Me voici. Envoyez-moi, 102 | signe? pour quel pacte? – Je connais le signe, je sais 103 | Je connais le signe, je sais le pacte. Jobéis à 104 | de mon âme.»~ ~Ces mots, je les avais écrits aux premiers 105 | ceux qui allaient nocer.~ ~Je n’étais pas alors l’Italien 106 | deux sangs fraternels.~ ~Je suivais les grands chars 107 | prières pour les combattants, je croyais voir apparaître 108 | tradition m’était certitude. Je sentais que vraiment en 109 | le chant de l’offertoire! Je dis que toute ma race, avec 110 | formait une âme sublime. Et je sentais la mienne s’y dissoudre 111 | Seigneur. Pour quel pacte?»~ ~Je savais le pacte. C’est celui, 112 | dans la vôtre? A la sortie, je voyais le long des murs 113 | le feu clos du vouloir, je m’inclinais sur la carte 114 | lui, témoin du miracle, je pus voir sur les champs 115 | votre orgueil victorieux, je veux enfin le revendiquer. 116 | veux enfin le revendiquer. Je l’ai écrit le premier, en 117 | dans le creux de sa main, je tremblais d’émerveillement 118 | le feu de l’envahisseur, je reconnus la ville de Clovis 119 | beauté déchirante et que je revive toute ma passion 120 | le tonnerre des obusiers, je pensais au chant de l’alouette 121 | de l’alouette gauloise. Je pensais à toutes vos cathédrales, 122 | haut. Ainsi, de ce talus, je sentais et je mesurais le 123 | ce talus, je sentais et je mesurais le rythme générateur 124 | quand pour la première fois je franchis le désespoir sublime 125 | ces bandages tachés, avec je ne sais quelle fraîcheur 126 | comme toutes ces créatures. Je croyais entendre, derrière 127 | comme la gorge du pigeon. Je croyais les voir, à chaque 128 | Paradis et de l’Enfer.~ ~Je prêtais l’oreille pour percevoir 129 | éclat de toutes vos gloires. Je tendais mon esprit pour 130 | moignon.~ ~Du haut de la pente je criai vers les chars. Alors 131 | comme un étranger quand je crie contre vous mon angoisse, 132 | encore plus admirables. Je vis une autre cathédrale, 133 | parfaire dans la flamme. Je vis la flamme, divine artiste, 134 | levés au ciel et disjoints, je vis la flamme les joindre. 135 | debout, comme le réapparu.~ ~Je vous dirai peut-être, plus 136 | moi-même la paix et le silence, je vous dirai ce que j’ai vu, 137 | amour d’hier, que m’importe? Je saurai bien me faire aimer 138 | pour connaître la terre je suis né, les empreintes 139 | né, les empreintes dont je porte la puissance, le peuple 140 | mienne, était bien à moi. Je peux le dire. «L’ai-je annoncée 141 | le saviez, certes, quand je partais pour aller brûler 142 | des mots pour brandons».~ ~Je ne me mettais pas seulement 143 | d’exposer nos griefs (et je suis sûr que la grandeur 144 | de tout accommodement), je veux répéter le cri fidèle 145 | vie. Et si, par exemple, je dis que j’ai donné la prunelle 146 | marbre de Traü la Dorée, je suis sûr que personne pour 147 | dans mes âpres songes, je m’attends enfin de sa fureur 148 | fureur un acte silencieux. Je le vois entrer tout à coup 149 | pas peur. Restez assis, je vous en prie. Il est bien 150 | remettre debout. Causons.»~ ~Je regrette qu’il n’y ait pas 151 | comprenez, vous me croyez, si je vous le dis, héros de la 152 | dis, héros de la Marne. Je vous dis quelle était à 153 | elle était toute nôtre…» Je croyais que la vérité était 154 | vérité était enfin connue. Je me trompais.~ ~Voici les 155 | saisir et à broyer l’ennemi? Je vous répète que verser son 156 | réalité de notre effort, je me décide à rapprocher de 157 | imposteurs, réduits par la faim à je ne sais quelle finesse vulpine 158 | naïfs, celui que justement je me suis plu à marquer avec 159 | Valentine la Milanaise. Je n’ai plus envie de railler. 160 | railler. Le cœur bondit. Je me rappelle qu’un jour de 161 | l’ardeur de leurs yeux, je dis: «Il y a parmi vous – 162 | dis: «Il y a parmi vousje le saisquelqu’un, peut-être 163 | LA LETTRE AUX DALMATES~ ~Je vais traiter le feu sans 164 | lettre du grand sceau, si je peux en appeler à l’ancien 165 | matins sombres et humides je ne sais quelle sueur d’angoisse 166 | Prussien,» avait-il dit, «je suis un homme mortQuand 167 | racines les plus profondes.~ ~Je cite ces trois témoignages, 168 | parmi les innombrables que je connais. Ils résument les 169 | couronne de leur long martyre. Je leur ai dit: «Le renieur 170 | du palais de Dioclétien, je leur dis: «Après tant de 171 | tant d’ardeur consumée, je devrais recevoir à genoux 172 | le vaincu.~ ~J’ai dit, et je répète, pour tous les combattants 173 | Adriatique jusquà Otrante. Je répète que notre foi découvrait 174 | des anges toscans.~ ~Si je pense au tremblement de 175 | Soissons Reims Arras menacées, je ne peux pas croire qu’une 176 | précisions irréfutables, je peux vous en donner. Mais 177 | ont voulu faire croire que je donnais trop d’importance 178 | un mémorial assermenté, je peux les soumettre à quiconque Il trionfo della morte Capitolo, paragrafo
179 Inc | umgekehrten Werth haben, je nachdem die ¶ niedere Seele,
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