Partie. Livre, Chap.
1 I. 2, 3| Il leur baragouinait la vieille langue militaire ; pour
2 I. 4, 3| chemins où se dressait une vieille croix de pierre. Sur le
3 I. 4, 3| l'heure charmante que la vieille langue paysanne normande
4 II. 2, 2| toujours vécu, je suis la vieille souffrance humaine, j'ai
5 II. 3, 1| portait dans les camps sa vieille contre-épaulette de chef
6 III. 1, 3| La Bretagne est une vieille rebelle. Toutes les fois
7 III. 1, 3| trouer dans tous les sens la vieille ombre bretonne et de percer
8 III. 2, 2| ville, c'est une rue. Grande vieille rue gothique, toute bordée
9 III. 2, 2| l'une après l'autre. La vieille halle était à peu près au
10 III. 2, 3| bagages sous les voûtes de la vieille halle, et, las, buvant,
11 III. 2, 3| toutes les futailles de la vieille halle, et improvisé une
12 III. 2, 3| ville ; il savait que la vieille halle, où les Vendéens s'
13 III. 2, 9| une forteresse. C'était la vieille bastille des Gauvain, gardant
14 III. 2, 9| défendue par un Gauvain, cette vieille demeure revenait, en pleine
15 III. 4, 3| le camp. Cette cruche de vieille tour était fêlée. Voici
16 III. 6, 2| resterait à plat ventre dans la vieille ornière féroce, tandis que
17 III. 6, 2| réveillé en lui ce fond de vieille pitié humaine, sorte de
18 III. 7, 1| notre histoire, et que la vieille seigneurie française, même
19 III. 7, 1| grand royaume ; être la vieille France, être ce pays d'arrangement
20 III. 7, 3| frémissait devant Aujourd'hui, la vieille férocité constatait et subissait
|