Fragment de lettre. remerciements
pour les nouvelles de Metz. MLP. exprime sa confiance: à travers les difficultés, nous progressons sans cesse.
[Fin décembre 1867]
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Je ne renonce pas à vous écrire, bien cher ami et fils en
N.S., mais comme acompte, je joins ici quelques lignes à celles que vous
adresse notre cher abbé Planchat. J'ai été, ces temps derniers, un peu
souffrant et, par là, retardé dans mes correspondances. Je suis heureux des
nouvelles, bonnes dans leur ensemble, que me transmet votre lettre. Combien je bénis
Dieu qui se montre si condescendant pour nos œuvres et qui donne à toutes son
appui. A travers les difficultés quotidiennes, en effet, toutes nos petites
familles prospèrent et se constituent peu à peu, le travail est lent, mais
progressif; puisse l'avancement se faire sentir surtout dans le bon esprit et
l'amélioration spirituelle.
Soyez bien assuré, cher ami, que ce nous est une douce joie de suivre des yeux
vos mouvements et le bien que le Seigneur daigne faire par vous et les vôtres.
Aussi recevrons-nous avec une vive satisfaction le journal [...........]
Le Prevost
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