Affaire à régler avec M. Lantiez envoyé à Rome en lui
"montrant de l'affection".
Vaugirard,
13 novembre [1869]
Mon bien cher ami et fils en N.S.,
M. Lantiez m'écrit que l'affaire de Gennetier, qui demande toujours 500f, ne se termine point; il
désirerait que vous lui écriviez un mot d'avis; M. Descemet déclare que cela
nous regarde et ne veut pas se mêler, dit-il, de cette affaire qu'il trouve mal
commencée; tous nos ff. jugent la prétention injuste et croient qu'on ne doit
rien donner. Ecrivez un mot à M. Lantiez; montrez-lui affection, il reste fort
abattu et consomme difficilement le sacrifice que nous lui imposons. Ne touchez
point cette question, cordiale affection seulement.
Votre tout dévoué ami et Père en N.S.
Le Prevost
M. Paillé vous aura dit que je vous priais de prendre le dernier avis de M. Boucault.
Devons-nous, à l'arrivée de M. Benoît d'Azy, nous borner à une lettre de
remerciement, en avertissant que M. Boucault est content, ou faudra-t-il faire
une visite pour connaître mieux les intentions de M. Benoît?
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