Des affaires d'administration (Société Civile) requièrent
la présence de M. d'Arbois chez le notaire. Le
poids des œuvres repose sur le
petit nombre.
27 novembre
1869
Mon bien cher ami et fils en N.S.,
Je ne sais pas si vous pouvez venir, comme le demande M. Paillé, sans grave
inconvénient pour vos affaires. Dans le cas où vous y verriez de graves
difficultés, regardez si quelqu'un ici vous paraîtrait en état de remplir
exactement les formalités nécessaires. M. Lantiez est absent, M. Georges [de
Lauriston] accablé d'occupations; M. Paillé, craintif, méticuleux, a impatienté
M. de Madre qui ne s'entendrait pas volontiers avec lui. Faire venir M. de
Varax, je répugne à le déranger tant que nous n'avons rien de décidé sur la
durée du séjour de M. Lantiez à Rome. Jusqu'ici, nos ff. qui sont en ce poste
ne peuvent se passer de sa présence. Que pensez-vous qui soit à faire de mieux?
N'ai-je pas à vous envoyer le premier trimestre de la pension de M. Boiry? Quelle
somme faut-il vous envoyer? J'ai reçu de M. Boiry une bonne lettre, je lui
répondrai.
Affections à vous et à nos ff.
Votre ami et Père en N.S.
Le Prevost
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