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Jean-Léon Le Prevost Lettres IntraText CT - Lecture du Texte |
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141 à M. MaignenMLP. est affligé d'avoir reçu de lui une lettre "dure et décourageante". Mais il n'a pas à se justifier des reproches qu'elle contient. Comment l'humeur vive et impressionnable de M. Maignen doit se corriger. Chercher à éviter tout froissement.
St Valéry-en-Caux, 25 juin 1846 Votre lettre me fait tant de peine que j'y veux répondre tout de suite, bien qu'en attendant à demain au plus tard, j'eusse plus d'espérance de le faire avec calme et à propos; ce me sera un soulagement sinon une consolation. Il faut en effet, cher ami, qu'à mon insu et bien contre mon gré, je vous aie bien profondément irrité pour m'attirer une lettre aussi dure et aussi décourageante que la vôtre; je n'ai pas souvenir d'en avoir écrit de pareille à personne, et malgré la connaissance que j'ai de mes fâcheuses imperfections, je ne puis m'empêcher de croire qu'un peu moins de sévérité vous eût tenu plus près de la vérité. Je passe volontiers, du reste, par tout ce que vous énoncez sur mon caractère et les excès de ma volonté, je sais que vos reproches ne sont pas sans fondement; si quelques restrictions sont à faire pour les atténuer, ce n'est pas à moi à les mettre en avant, je laisse à votre cœur d'ami à les trouver, sinon maintenant, du moins à quelque autre temps où votre esprit sera moins défavorablement prévenu contre moi. Mais je n'accepte rien, mon cher enfant, de tout ce que vous m'imputez d'oublis ou d'impuissance de cœur à votre égard, et dans mes rapports avec mes autres amis. J'ai quelques affections bien sincères et bien dévouées que je cultive fidèlement depuis de longues années et que je garderai, je l'espère, jusqu'au bout; j'évite il est vrai, d'en accroître le nombre et, sous ce rapport, il serait, je crois, exact de dire que je fuis les amitiés de grande intimité plutôt que d'avancer, comme vous le faites, qu'elles se retirent de moi. Je me fais une grande idée des obligations qu'un lien de cœur impose et, me sentant si faible, je recule devant une charge dont je connais le poids. Quant à vous, mon cher enfant, que vous dire, sinon que je vous ai aimé dans toute la naïveté, dans toute la simplicité d'un cœur qui, dans tous les autres cas, ne s'était livré qu'avec réserve, et avec vous seulement s'abandonnait pleinement et tout entier. J'avais rêvé toujours une affection si dévouée, si généreuse, si pure, qu'elle fût la fusion réelle des âmes et leur vie en une seule; j'avais pensé que Dieu intervenant sans cesse pour sanctifier et maintenir cette union sainte, elle pourrait durer, se préserver de toute atteinte, soutenir et consoler dans le chemin de l'exil les pauvres cœurs qui tendent à la patrie. Une pareille union est pour les anges et non pour nous, y aspirer est trop de présomption; du moins, les saints tout seuls en peuvent approcher; et moi, je devais trop le savoir, je ne suis pas un saint. Donc, cher ami, mon affection, se fiant trop sur la puissance et l'intensité intérieure qu'elle sentait en elle-même, se montrait exigeante, et, dans son illusion, voyait en cette exigence même une preuve de sollicitude et de dévouement. Je ne cherche pas si vous eussiez dû comprendre cette disposition de cœur, l'excuser, ou du moins, sans laisser grossir en vous tant de mécontentement, m'avertir plus nettement et plus tôt que votre âme n'avait pas ainsi assez d'espace et de libre essor. La faute est à moi, sans doute, qui eusse dû m'en apercevoir, prévenir vos plaintes et demander moins à votre affection. Mais vous êtes bien injuste, cher ami, quand vous parlez de mépris, de supériorités hautaines, de méconnaissance de ce qui peut être de bon pour vous. Il n'est que deux choses dont nous ayons droit de nous montrer jaloux, c'est notre intelligence et notre cœur; sous ce double rapport, j'ose vous défier de trouver un seul fait ni une seule parole dans mes rapports si intimes et si habituels avec vous, que vous puissiez, avec quelque apparence de raison, prendre pour une négation de vos qualités d'esprit et de cœur. J'ai, en toute occasion, cherché vos avis et bien fréquemment suivi vos inspirations, et, quant à votre cœur, cent fois je vous ai déclaré que la raison unique ou première, au moins, de mes préférences affectueuses pour vous n'était autre que la délicatesse et l'élévation de vos sentiments. Pourquoi m'obligez-vous à vous répéter ici crûment des choses qu'on aime mieux deviner qu'entendre dire trop directement? En quelques courts instants d'irritation, excusables peut-être dans mon état de santé et pour bien d'autres causes encore, j'ai seulement blâmé en vous quelques petits défauts de caractère; mais n'est-ce pas en garder de trop vifs ressentiments que d'entrer sur vous-même en des défiances exagérées, d'exalter votre esprit en mille imaginations tristes et décourageantes, et de m'écraser ensuite du contrecoup de ces luttes intérieures? Pour une faute si légère, je vous ai sur l'heure et toujours demandé grâce et ce tendre retour d'affection eût dû guérir aussitôt de pareilles égratignures. Il n'en est pas ainsi, cher ami, là est la seule cause de nos froissements, il ne la faut pas chercher ailleurs; en bien des cas, j'eusse pu montrer une semblable susceptibilité, mais je fais un effort alors que vous refusez de faire, je remonte à l'intention, j'apprécie la portée du coup et j'arrache l'épine sans y plus penser. Si vous aviez fait subir cette épreuve aux légères piqûres qui vous sont venues de moi, je mets la main sur ma conscience, et je déclare que pas une ne partait du cœur et n'allait au cœur, pas une ne portait atteinte à votre esprit et à vos sentiments, pas une ne décelait de ma part le défaut d'estime, ni l'amoindrissement de mon affection. J'ose vous conjurer, cher ami, sinon pour moi, au moins pour vous, d'essayer cette méthode à l'avenir, elle épargnera bien des soucis à vous, bien des peines à vos amis. Vous ne méconnaissez pas moins ma pensée et mes sentiments, cher ami, quand vous me reprochez de n'avoir pas provoqué de vous une explication. Votre conduite envers moi me semblait si blessante et si inconcevable que je ne la pouvais attribuer qu'à l'inconstance ou à la lassitude du cœur; devant une pareille cause, je ne pouvais que gémir péniblement sur vous et sur moi; je l'ai fait avec plus de trouble et de douleur qu'il n'eût fallu sans doute, mais je n'ai rien dit, ayant l'habitude, non pas d'être impitoyable comme vous le dites, mais de souffrir en silence et de prier quand je suis profondément blessé. Il me semble alors que Dieu tout seul peut m'entendre et me guérir et je me tourne vers Lui; c'est là une grande ressource dans mes découragements et ces malentendus si fréquents où de pauvres cœurs comme les nôtres ont bon vouloir, se parlent, se lamentent pour se faire comprendre et n'y peuvent parvenir. Ici même, dans cette petite ville où je suis, j'ai retrouvé une vieille dame amie et parente de ma pauvre mère. Jugeant que je ne la visitais pas assez vite, elle m'est venue trouver elle-même, malgré ses 80 ans, m'a emmené chez elle et m'a comblé de bienveillance. Mais elle est sourde à ne pouvoir entendre le plus petit mot; à tout ce que je pouvais dire pour lui exprimer ma vive gratitude, elle me criait: "C'est inutile, je n'entends rien." Alors j'ai pris sa main et l'ai serrée affectueusement en regardant au ciel; elle m'a compris ainsi et m'a souri doucement. Tournons-nous de ce côté, cher ami, et, comme nous l'avons fait si souvent, nous saurons encore nous entendre et rapprocher nos cœurs. Vous trouverez, je le crains, encore que cette lettre est plus triste que tendre; vous vous tromperez de nouveau, elle est l'un et l'autre tout ensemble; ma première lettre était pleine de bienveillance et de douce conciliation, j'ai désiré que celle-ci fût dans le même sentiment; je ne sais si vous m'en saurez gré. Comment ne serai-je pas triste: épuisé de corps et d'esprit, brisé par le cœur tant de fois, j'avais cru trouver en vous un peu de repos et de consolation et vous m'affligez plus que les autres, les mouvements continuels de votre esprit qui ne se peut tenir à la sainte monotonie d'une affection paisible me troublent et m'inquiètent perpétuellement; ici même, où je cherche, en vain sans doute, un peu de force et quelque répit à ma souffrance, vous m'accablez de durs reproches, sans un mot du cœur pour en adoucir l'amertume. Si cette plainte, faite bien bas pourtant et mise au Cœur de Dieu encore plus qu'au vôtre, vous irrite encore, si, malgré tout ce que j'ai pu faire et souhaiter, si malgré les bons désirs qui sont en vous aussi et que je ne mets pas en doute, nous restons sans nous entendre, il faut, cher enfant, courber notre tête et laisser faire le bon Dieu; il a rapproché nos cœurs et les maintiendra dans la vraie charité; sans Lui, comme la pauvre dame sourde, nous ne saurons que dire: Tout est inutile, je n'entends rien. Adieu, mon enfant chéri, une fois encore et pour la dernière je vous donne avec larmes ce nom dont vous ne voulez plus et auquel ma tendre affection avait attaché tant de sollicitude et d'ardent dévouement; il me restera désormais heureusement encore à me dire pour vous, comme aujourd'hui Votre dévoué frère et ami en N.S. Le Prevost
P.S. Ma santé n'a pas reçu encore d'amélioration bien sensible; le grand air, la mer, une vie de grand repos me donnent un peu de soulagement, mais je n'y trouve pas ces retours de force et de vie que comporte la convalescence. Tout sera bien du reste, car tout viendra de Dieu, et ne sera pas, je l'espère, placé dans un cœur ingrat. Ecrivez-moi après la séance de dimanche et dites-moi si tout est bien à la Sainte-Famille et à VȌrȈ S Ƹꕘ෹SȐ佴ƒ~ﭘ 0 ûҌ礠Ҍ ŀȌ ³ la Caisse NȈ un ヸ买ƒ~nȈ佴ƒ~ﭘ ʛ 艬Ҍ臸Ҍ ŏȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw äxҌ KȈ wҌ苸ҌéìҌ LȈ de lȈ佴ƒ~ﭘ ʞ ˆ©Ҍ芨Ҍ hȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 苰Ҍ 买ƒ~ ĬȈ 苌Ҍä¼Ҍ艈Ҍ eȈ ses ȈĔȈ佴ƒ~ﭘ ʢ ÛҌ‘‘Ҍ eȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw äºҌ AȈ ä¶Ҍ葘Ҍ苸Ҍ Ƹꕘ෹cȈ dons CȈ佴ƒ~ﭘ ʧ 籜Ҍ萈Ҍ DZȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 葐Ҍ ùȈ ǸȈ äÝҌ糨Ҍä¼Ҍ ÿȌŠҌ–nඒǡȌ ʅ LA VISITE DES ǧȈ 頔Ҍ蔐Ҍ鶰Ҍ ǪȈ佴ƒ~ﭘ f 篜Ҍ箐ҌǑȈ â¼Ҍ殠Ҍ蓀Ҍ ǔȈ . ǙȎ A 2 270 Litres ǟȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 謸Ҍ ÇȌ džȈ . Ƹꕘ෹NjȈ佴ƒ~ﭘ } 虴Ҍ蘀Ҍ ǎȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 虈Ҍ ƹȈ 蘤Ҍ瞸Ҍ譀Ҍ ƼȈ J ¡Ȍ譠ҌĠ䄎ƣȎ L LA CAISSE DU ƩȈ佴ƒ~ﭘ n 蝤Ҍ蛰Ҍ ƬȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 蜸Ҍ  ƗȈ 蜔Ҍ蟰Ҍ靘Ҍ ƛȈƚȈ ne ƟȈ佴ƒ~ﭘ N 蠔Ҍ螠Ҍ ƂȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 蟨Ҍ ƍȈ åҌåÜҌ蝀Ҍ UȈ soient ,uȌLjLjŷȈ佴ƒ~ﭘ Ŏ åáҌ衠Ҍ zȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 袨Ҍ tȈ 袄Ҍ襰Ҍ蟰Ҍ iȈŨȈ prévenus uȈ佴ƒ~ﭘ ŗ 覔Ҍ褠Ҍ ŒȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 襨Ҍ ꕘ෹ sȈ åõҌ銰ඍåÜҌ ŀȈ de ヸ ŅȈ佴ƒ~ﭘ S 鋔ඍ觐Ҍ nȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 銨ඍ 3Ȍ쫨Ҍ﶐ඎjȊ ½ la Charit← ĸȈ佴ƒ~ﭘ t 諬Ҍ詸Ҍ ĿȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 諀Ҍ 訨Ҍ ĦȈ 誜Ҍ譀ҌꟸҌ IȈĭȈ enfants DȈ佴ƒ~ﭘ { 藄Ҍ蕸ҌeȈ åOҌsҌ諈Ҍ ȌùµҌ蚈ҌSȌ Þ la Communaut←. M. aȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 诰Ҍ Ȍ CȈ 诌Ҍ‰ÝҌçØҌ ㏰Ҁ§"dzȈ les ǴȈ佴ƒ~ﭘ ɍ 賌Ҍ豘Ҍ ǻȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw •‰Ҍ ǢȈ æ¿Ҍ贠Ҍ诸Ҍ ǩȈ moments ǬȈ佴ƒ~ﭘ ɕ ÎҌ崸ҌǓȈ ½Ҍ帠Ҍ‰ÝҌ ǖȈ , ǛȈ ƒ 55fǜȈ ure ǃȈ ' nsieur nt. džȈ ken List ǍȈ佴ƒ~ﭘ ꅌҎæöҌ ưȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 蹘Ҍ ¸Ȉ ƻȈ æûҌ²ҌꄐҎ ƾȈ佴ƒ~ﭘ ꅼҎ躨Ҍ ƥȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 軰Ҍ ꕘ෹ ƬȈ OҌ辐ҌçGҌ ƓȈ佴ƒ~ﭘ •Ҍ轀Ҍ ƖȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 辈Ҍ ƁȈ ç‚Ҍ猨൯²Ҍ ƄȈ佴ƒ~ﭘ �൪狘൯ƋȈ ƌȈ A uȈ佴ƒ~ﭘ + ꖄ෹ä¦ۉŴȈ ZȎ Ǘ la Sainte Vierge Ȉ toute tȈ佴ƒ~ﭘ Ƚ 鄴Ҍ郀Ҍ ŦȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 鄈Ҍ oȈ çºҌçØҌèSҌ RȈ pureté XȌsȈ佴ƒ~ﭘ Ʉ 釴Ҍ醀Ҍ SȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw ßҌ ʼnȈ ÝҌ诸Ҍ鄐Ҍ LjLjOȈ dans ıȈ佴ƒ~ﭘ ɉ 谜Ҍ讨ҌJȈ Ȝ la Sœur Rosalie lȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 騐Ҍ "Ȍ hȈ Dieu ҌĦȈ佴ƒ~ﭘ ȴ èGҌ鋨Ҍ ĭȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 錰Ҍ ĔȈ 錌ҌèSҌ騘Ҍ eȈ de SȈ佴ƒ~ﭘ ȷ ŠÒҌ鎘Ҍ aȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 鏠Ҍ 逈Ҍ CȐ 鎼Ҍ鄐Ҍ錸Ҍ ǰȎ ȋ la Seine ǷȈ佴ƒ~ﭘ j 뗴ҌèjҌ ǺȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 钨Ҍ ⢀Ҍ ǥȈ 钄Ҍ镈Ҍ떸Ҍ ǩȈǨȈ佴ƒ~ﭘ k 镬Ҍ铸Ҍ ǯȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 镀Ҍ ǖȈ 锜Ҍ闸Ҍ钰Ҍ 㳄ヸ ǝȈ moins ǞȈ佴ƒ~ﭘ L •ŒҌèҌ DžȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 闰Ҍ ǍȈ njȈ èŒҌç¬Ҍ镈Ҍ ƳȈ qu >µȌƴȈ佴ƒ~ﭘ Ŀ “Ҍ陘Ҍ ƻȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw ‰BҌ ƢȈ 陼Ҍ靘Ҍ闸Ҍ LjLjƩȈ ' ƪȈ佴ƒ~ﭘ ŀ èØҌè¼Ҍ ƑȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 靐Ҍ ™Ȍ ƘȈ 霬Ҍ蝀Ҍç¬Ҍ ㏰ҀâҌƟȐ ils ƃȌ ʆ la Vve Lecœur ƉȈ佴ƒ~ﭘ e �೏韰Ҍ ƌȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw öҌ ŠèҌ ŷȐ l ZȈ ƒ la Pr←sentationšȈ佴ƒ~ﭘ ȧ éTҌ颰Ҍ TȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 飸Ҍ  uȈ 飔Ҍ馰ҌҌ œȈŒȈ vers ŗȈ佴ƒ~ﭘ Ȭ 駔Ҍ饠Ҍ SȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw Š]Ҍ ŅȈ 馄Ҍ騘Ҍ餀Ҍ ňȈ le ōȈ佴ƒ~ﭘ ȯ 銬Ҍ鉠ҌİȈ 銄Ҍ錸Ҍ馰Ҍ ķȈ Ǒ la Sainte MesseĽȈ pour ƒ~ľȈ佴ƒ~ﭘ ʒ 鬜ҌœҌ ĥȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 髰Ҍ ĬȈ 髌Ҍé½Ҍ루Ҍ ēȈ moi ĔȈ佴ƒ~ﭘ ʖ 鯌Ҍé´Ҍ ěȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw é¼Ҍ 买ƒ~ ĂȈ 魼Ҍ鱘Ҍ髸Ҍ ĉȈ l ȈĊȈ佴ƒ~ﭘ ʗ 鱼ҌéÕҌ DZȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 鱐Ҍ ǸȈ 鰬ҌéìҌé½Ҍ Ƹ逈ҌǿȈ ' ǠȈ佴ƒ~ﭘ ʘ 膼Ҍ鲸Ҍ ǧȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 鴀Ҍ ïȈ ǮȈ 鳜Ҍ艈Ҍ鱘Ҍ ÕȌ ҍ葸ҌǗȌ ň la Guerre ǚȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 鶨Ҍ ÂȌ DžȈ 鶄Ҍ蓀Ҍ뉘Ҍ ㏰Ҁ鷰ҌLjȐ ' njȈ Č la Conf←rence. Cacheter ƴȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw Œ²Ҍ ¼Ȍ ƿȈ 鹔Ҍ齀Ҍ엸Ҍ ㏰Ҁ膐ҌƢȈ conseiller ƦȈƩȈ佴ƒ~ﭘ ΂ 齤Ҍ黰Ҍ ƬȌ㺬ヸ 佈ƒ~㹼ヸﭘ ꗜƒw 鼸Ҍ&la Conférence. Faites pour le mieux quant à la statue, n'oubliez pas le dessin. Priez pour moi, dites à nos amis mille choses cordiales pour moi.
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