1796  à M^me et M^lle Salva

Les douleurs physiques augmentent; néanmoins, MLP. est encore debout.

Chaville, 18 août 1874

            Chères amies,

            Il me semble bien que je n'ai rien de nouveau à vous écrire au sujet de ma santé, sinon que tous les accidents dont je souffre s'accroissent de jour en jour; et cependant, je demeure debout et je reste levé presque autant que de coutume, le lit ne me donnant guère de soulagement ni de repos. Si les soins pouvaient me guérir, je les ai abondamment; je compte sur vos prières pour acquitter ma dette envers ceux qui me traitent si charitablement.

            Adieu, chères amies, je demande à Dieu qu'Il vous garde le don précieux de la santé.

            Votre frère et oncle affectionné

                                                                                                Le Prevost