1136  à M. Caille³⁸⁷

Aide financière demandée pour le Noviciat.

Paris, ce 16 octobre 1866

            Bien cher frère,

            Nos paiements de fin d'année, qui s'élèvent à une somme considérable, rendent notre situation financière tellement difficile que nous allons nous trouver dans l'obligation, malgré nos répugnances à cet égard, d'augmenter la pension des enfants de l'Orphelinat. Nous vous verrions donc avec reconnaissance faire quelques efforts sérieux pour verser la subvention de 300f. due par votre maison au Noviciat, aux besoins duquel nous avons infiniment de peine à pourvoir.

            Recevez, bien cher frère, la nouvelle expression de notre bien vive affection en N.S.

                                                                                             Le Prevost

            Il est bien entendu que la somme due par la maison de Vaugirard sera déduite des 300f.